:: Anciens RPs
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(-18) Remember me for centuries. (raymora) Jeu 6 Avr - 16:20
Rehan Lavellan
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And you will go to Ajan Kloss, with a vision of a gentle coast and a sun to maybe dissipate shadows of the mess you made.
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--- family without blood.
Shall we look at the moon, my little loon ? Why do you cry ? Make the most of your life, while it is rife, while it is light.
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”You haven’t seen me mean. When you do, you’ll require a very big hanky.” ”To dry my tears ?” "To stop the bleeding."
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--- valkyrie.
They said she was cruel because she'd been harmed in the past. They claimed she was cold because she just hadn't met the right fellow to warm her. Anything to soften her edges and sweeten her disposition—and what was the fun in that ? Her company was like strong drink. Bracing— and best to abstain if you couldn't handle the kick.
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Remember me for centuries.
Le silence était revenu. Derrière ses barreaux, Gamora ne voyait pas une ombre au loin. Sa compagne de cellule avait été emmenée, et maintenant elle ne pouvait se raccrocher qu'au bruit de sa respiration. Comme le temps semblait long, lorsqu'elle était seule entre ces murs. Comme il est difficile de sentir si solitaire. Quand bien même Gamora avait recroisé le chemin de Sehrin et de Lyana, des amis d'enfance qu'elle avait perdu de vue après son entrée à l'Académie du Premier Ordre. Puis, l'inévitable, la surprise, le cadeau : l'annonce de la mort d'Audran, quelques années auparavant. La Commandante avait tari ses dernières larmes : elle n'était pas franchement jolie à voir. Si la Résistance avait eu la délicatesse de lui procurer suffisamment de soins pour la maintenir en vie, elle n'était pas au top de sa forme. La fatigue avait prit de l'ampleur suite aux heures qu'elle avait passé à pleurer en essayant de se souvenir des traits de son premier amour, qu'elle ne pourrait plus jamais recroiser. Ses pensées vont en la personne de Ti'ilandra, la sœur d'Audran, qu'elle n'a pas encore revu. Peut-être se trouvait-elle sur ce camp : peut-être ne voulait-elle tout simplement pas la voir, elle qui avait disparu du jour au lendemain. Alors elle attend : elle attend ses prochaines visites. Elle attend les interrogatoires, avec l'espoir de voir un vaisseau de sauvetage, ou un visage familier venir la sortir de ce trou à rat. Elle ne pouvait pas mourir ici : pas après tout ce qu'elle avait accompli ! Pourtant, la brune n'avait plus rien à quoi se raccrocher, si ce n'est son uniforme de commandant et ses grades accrochés sur sa poitrine. De temps en temps, de hautes figures venaient lui rendre visite, mais cela ne durait jamais longtemps, principalement parce que Gamora refusait de coopérer. Même si elle n'adhérait pas avec toute les idées du Premier Ordre, il était contraire à tous les enseignements de l'Académie et de Thrace de trahir son propre camp. Pas une ombre, pas une silhouette. Le silence le plus total dans cette cage. Puis, soudain, une porte qui s'ouvre : un rayon de lumière. Avec espoir, la brune se dirige vers les barreaux et elle observe à travers son micro-environnement, en tentant d’apercevoir une silhouette familière. La théorie d'une visite de Lyana est vite écartée, puis qu'il s'agit d'un homme qui approche. Étrange. « Sehrin ? C'est toi ? » Avec encore quelques petites secondes de concentration, elle essaye de discerner le pas bourru de Sehrin, bien encré dans ses rangers. Encore raté. Merde, elle ne connaît pas cette personne. Habituellement, lorsque quelqu'un vient la voir, il est au moins annoncé, sauf quand il s'agit de ses anciens amis. Curieuse, la jeune femme essaye de distinguer d'autres petits détails l'aidant, tant que l'obscurité l'empêche de discerner qui s'approche. Soudain, ses yeux s'habituent, et elle peut distinguer avec certitude... Du rouge. Beaucoup de rouge. En réalité, la silhouette est entièrement revêtue de rouge. Une combinaison plutôt atypique, pour un homme qui semble désarmé. « Oh. Vous n'êtes pas Sehrin. » Encore un interrogatoire ? Gamora, par instinct, recule dans sa cage, pour empêcher l'homme d'approcher. Mais elle sait pertinemment que les hauts gradés peuvent accéder à l'intérieur de sa cellule sans mal. Que lui avaient-ils encore réservé ? « Euh... Bonjour ? D'habitude, on me prévient lorsque quelqu'un vient me voir. Vous savez, au cas où je sors dans une tenue indécente. Je suis prisonnière mais je suis un être vivant. » Même elle, elle n'était pas convaincue par ses paroles, et son faux air condescendant. D'un air las, elle lui fait signe de partir. « Je ne vous dirais rien non plus. Ce n'est pas la peine d'essayer. » Pourtant, ses tripes lui disent que quelque chose ne va pas. Elle connaît plus ou moins cette démarche, et elle la l'impression de reconnaître une vieille connaissance... Mais sans certitude.
Re: (-18) Remember me for centuries. (raymora) Jeu 6 Avr - 23:22
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It's better to keep your mouth shut and look stupid than open it and prove it.
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Sun of the night, burn in hell, love and jealousy, you left me without looking back.
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Look at me, listen to me, would you rather shoot me or rip my clothes off? either way is fine, as long as it's with you[/i]
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REMEMBER ME FOR CENTURIES.
Ray & Gamora
La Résistance était de retour sur Fenves ou pas mal des leurs étaient déjà présents pour les accueillir. Même s’ils avaient remporté la carte menant à Skywalker, ils avaient énormément perdu d’hommes et de femmes au combat, chose que Ray avait eu du mal à avaler. Le Général avait pris part à la bataille, auprès de la très talentueuse Jade pour aider la population à s’en sortir. La brune pilotait son vaisseau jusqu’aux Défenseurs Stellaires de la Résistance, tandis que l’homme en rouge s’attaquait aux hommes vêtus de blanc pour les tuer les uns après les autres. La fuite de Naboo avait été un véritable spectacle… Ray avait totalement succombé à ses pulsions, affecté par cette bombe il avait fallu quatre hommes pour le maintenir et le faire entrer de force dans le vaisseau de Jade sans quoi, il serait reparti sur le terrain à découper tout ce qu’il trouvait. Ce qui lui était arrivé… c’était arrivé à tout le monde, Résistants, Premier Ordre, Civils, même les Jedi, c’était une connerie encore à cause de la Force. Il avait du mal à gober que ça puisse devenir une telle arme chimique mais la preuve était bien la. Il l’avait vécu, il l’avait ressenti, cet appel à la haine, à la violence et il y avait presque prit goût.
Revenu sur Fenves, il avait pris un peu de temps pour se remettre, juste quelques heures et était repartit travailler, il en avait besoin. On lui affecta différentes taches bien qu’il soit Général, il avait pratiquement tout délégué à Kael qui faisait un travail remarquable. Il assistait même à pas mal de réunion à sa place, mais au bout d’un moment, il tomba sur une information qu’on lui avait apparemment caché. Une information qui n’avait pas énormément filtré apparemment ou tout le monde en tout cas tentait de le lui cacher et c’était une bien mauvaise idée. Ray avait encore des oreilles et son expérience le confortait à toujours avoir plusieurs réseaux et ce dernier, extérieur à la Résistance annonçait qu’une certaine Commandante du Premier Ordre avait été capturée pendant la guerre de Theed. Après quelques recherches dans le camp, il était devant le centre de détention ou elle se trouvait. Elle. Cette femme qui hantait encore certaines de ses nuits. Ce n’était pas la pire, ce n’était pas celle qui revenait tout le temps à son esprit, mais elle était bien présente, son regard froid et pourtant amusé, son sourire lorsqu’elle le faisait souffrir plus que de mesure.
Elle était derrière toutes ces portes et Ray fit le forcing pour entrer. Apparemment, les gardes ne voulaient pas qu’il passe, mais que faire face à un tel ordre ? Et bien ils résistèrent tous les deux ! N’allaient pas croire que le Général laisse passer cela. Qu’il ne puisse pas… se venger. Alors oui, il donna une leçon aux deux gardes, leur tirant dessus avec un tir paralysant avant d’entrer et de trouver la pièce. A son entrée, elle croyait que quelqu’un venait la voir, mais non, ce n’était pas lui. Il reconnut sa voix, il s’en souvenait encore, surtout son rire, mais elle n’allait pas rire aujourd’hui. Il avança, la laissant parler, sans soucis, c’était bien elle, avec sa tenue de Commandante en sale état, mais toujours bien la. Il entra dans sa cage, refermant derrière lui, alors qu’elle parlait d’être humain, de droit, un léger son sortit de sa bouche, comme s’il venait de rire. Il resta un moment devant elle, oui, elle ne voulait rien dire, il s’en doutait qu’elle n’allait pas parler, mais il resta un moment planté la, le poing serré, tremblant. S’il n’avait pas eu ses gants, ses ongles se serraient probablement plantés dans sa peau, mais la non.
Puis le coup partit. Un coup de poing. Il avait fait un pas et avait et l’avait frappée en plein visage, puis un second, toujours dans le visage histoire de lui faire comprendre que ses intentions n’étaient pas bonnes. Son pied balaya ceux de la femme affaiblit, la faisant tomber au sol et sans ménagement, sa botte rencontra le ventre de la Commandante du Premier Ordre. « Tu peux parler ou non. Tu peux me dire que tu n’es qu’une simple étudiante qui joue à un jeu interdit et qui a rencontré un homme louche habillé en latex et qui livre des pizzas, je n’en ai rien à foutre. » Il était… bien. Les coups qu’il avait porté à l’attention de la demoiselle lui faisait du bien. « Tu peux me dire tout ce que tu veux sur ton statut de prisonnière et d’humaine, mais je n’en ai rien à foutre. » Il s’agenouilla à côté de la jeune femme, attrapant une poignée de ses cheveux pour tirer sa tête en arrière pour bien qu’elle puisse le voir. « Ce que je veux… c’est t’entendre hurler, crier… supplier. » Il attrapa une lame dans son dos et mit la lame sur la peau de la femme, appuyant légèrement sur sa peau, tout en découpant sa tenue petit à petit.
« Je veux que tu souffres espèce de garce. T’utiliser comme monnaie d’échange ? Comme mine d’information ? » Il rigola. « Non, je veux juste… réparation. » Il enfonça un peu plus la lame au niveau de son ventre, juste assez pour la couper un peu plus et se redressa finalement. Il sautilla sur place et se pencha finalement de nouveau pour lui empoigner de nouveau les cheveux, mais cette fois ci pour les découper d’une traite. « Je veux… que personne ne te reconnaisse… mais de toute manière, tu ne sortiras jamais d’ici pouffiasse. » C’était le surnom qu’il lui donnait quand leurs places étaient inversés.
Il ne tenait plus… Mais il attendait de voir si elle se souviendrait de lui.
Revenu sur Fenves, il avait pris un peu de temps pour se remettre, juste quelques heures et était repartit travailler, il en avait besoin. On lui affecta différentes taches bien qu’il soit Général, il avait pratiquement tout délégué à Kael qui faisait un travail remarquable. Il assistait même à pas mal de réunion à sa place, mais au bout d’un moment, il tomba sur une information qu’on lui avait apparemment caché. Une information qui n’avait pas énormément filtré apparemment ou tout le monde en tout cas tentait de le lui cacher et c’était une bien mauvaise idée. Ray avait encore des oreilles et son expérience le confortait à toujours avoir plusieurs réseaux et ce dernier, extérieur à la Résistance annonçait qu’une certaine Commandante du Premier Ordre avait été capturée pendant la guerre de Theed. Après quelques recherches dans le camp, il était devant le centre de détention ou elle se trouvait. Elle. Cette femme qui hantait encore certaines de ses nuits. Ce n’était pas la pire, ce n’était pas celle qui revenait tout le temps à son esprit, mais elle était bien présente, son regard froid et pourtant amusé, son sourire lorsqu’elle le faisait souffrir plus que de mesure.
Elle était derrière toutes ces portes et Ray fit le forcing pour entrer. Apparemment, les gardes ne voulaient pas qu’il passe, mais que faire face à un tel ordre ? Et bien ils résistèrent tous les deux ! N’allaient pas croire que le Général laisse passer cela. Qu’il ne puisse pas… se venger. Alors oui, il donna une leçon aux deux gardes, leur tirant dessus avec un tir paralysant avant d’entrer et de trouver la pièce. A son entrée, elle croyait que quelqu’un venait la voir, mais non, ce n’était pas lui. Il reconnut sa voix, il s’en souvenait encore, surtout son rire, mais elle n’allait pas rire aujourd’hui. Il avança, la laissant parler, sans soucis, c’était bien elle, avec sa tenue de Commandante en sale état, mais toujours bien la. Il entra dans sa cage, refermant derrière lui, alors qu’elle parlait d’être humain, de droit, un léger son sortit de sa bouche, comme s’il venait de rire. Il resta un moment devant elle, oui, elle ne voulait rien dire, il s’en doutait qu’elle n’allait pas parler, mais il resta un moment planté la, le poing serré, tremblant. S’il n’avait pas eu ses gants, ses ongles se serraient probablement plantés dans sa peau, mais la non.
Puis le coup partit. Un coup de poing. Il avait fait un pas et avait et l’avait frappée en plein visage, puis un second, toujours dans le visage histoire de lui faire comprendre que ses intentions n’étaient pas bonnes. Son pied balaya ceux de la femme affaiblit, la faisant tomber au sol et sans ménagement, sa botte rencontra le ventre de la Commandante du Premier Ordre. « Tu peux parler ou non. Tu peux me dire que tu n’es qu’une simple étudiante qui joue à un jeu interdit et qui a rencontré un homme louche habillé en latex et qui livre des pizzas, je n’en ai rien à foutre. » Il était… bien. Les coups qu’il avait porté à l’attention de la demoiselle lui faisait du bien. « Tu peux me dire tout ce que tu veux sur ton statut de prisonnière et d’humaine, mais je n’en ai rien à foutre. » Il s’agenouilla à côté de la jeune femme, attrapant une poignée de ses cheveux pour tirer sa tête en arrière pour bien qu’elle puisse le voir. « Ce que je veux… c’est t’entendre hurler, crier… supplier. » Il attrapa une lame dans son dos et mit la lame sur la peau de la femme, appuyant légèrement sur sa peau, tout en découpant sa tenue petit à petit.
« Je veux que tu souffres espèce de garce. T’utiliser comme monnaie d’échange ? Comme mine d’information ? » Il rigola. « Non, je veux juste… réparation. » Il enfonça un peu plus la lame au niveau de son ventre, juste assez pour la couper un peu plus et se redressa finalement. Il sautilla sur place et se pencha finalement de nouveau pour lui empoigner de nouveau les cheveux, mais cette fois ci pour les découper d’une traite. « Je veux… que personne ne te reconnaisse… mais de toute manière, tu ne sortiras jamais d’ici pouffiasse. » C’était le surnom qu’il lui donnait quand leurs places étaient inversés.
Il ne tenait plus… Mais il attendait de voir si elle se souviendrait de lui.
BesidetheCrocodile pour May the Force
Re: (-18) Remember me for centuries. (raymora) Ven 7 Avr - 10:13
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Remember me for centuries.
Le type en combinaison écarlate rentre dans sa cellule sans la moindre gêne. Au début, il ne dit rien, il reste planté là, devant elle. Une forme de malaise s'instille doucement dans le cœur de la Commandante, alors qu'elle n'ose pas relever les yeux vers son visiteur, peut-être par peur de découvrir l'identité de la personne masquée. De longues secondes s'étirent... Le silence prend possession des lieux, comme si ce dernier hurlait à Gamora de se méfier de ce qui allait se passer. Elle passe le cap et relève les yeux. « Mais qu'est-ce que... » Sa phrase est interrompue et lorsqu'elle réussit à retrouver un semblant de concentration, elle est au sol et une vive douleur lui parcourt la mâchoire. Sans qu'elle ne puisse riposter, un second coup s’abat et lui arrache ce qui ressemble à un râle, autant de surprise que de douleur. Il faut qu'elle se redresse : pourquoi n'avait-elle pas envisagé la possibilité que cela puisse arriver ? Elle était au plein cœur d'un camp ennemi et elle représentait une des hautes figures d'autorité de la flotte du Premier Ordre. Si ce n'était pas quelqu'un qu'elle connaissait, c'était au moins quelqu'un qui avait besoin de se venger. De nombreuses personnes n'avaient pas du survivre à la bataille de Naboo, et il fallait bien un bouc émissaire. Un nouveau coup, cette fois porté à son ventre et si il avait eu un poil plus de force, il lui aurait peut-être explosé un organe, ou bien lui aurait pété un côté. Nouveau gémissement de douleur. Merde. Elle ne peut pas rester exposée au sol comme ça. C'est un soldat : elle ne peut pas courber l'échine et attendre que ça passe, ou pleurer pour avoir de l'aide. Alors qu'elle tente de se redresser, malgré le souffle court et la douleur, la voix de son agresseur s'élève et son timbre fait immédiatement frémir la jeune femme. Cette voix... Elle ne peut pas l'avoir oubliée, c'est impossible. Nox. Gamora rampe un peu, dans l'espoir de s'éloigner un peu avant de se redresser. Il va se venger. Merde. Il va me buter. Je peux pas crever ici. Non, j'peux pas. Il s'agenouille, la saisit par sa crinière sombre et il se sert de sa force pour la forcer à affronter sa cagoule rouge et noire. Elle n'arrive pas à distinguer son visage, il fait trop sombre. Sa main réussit cependant, à approcher, et d'un coup sec, elle lui arrache cette ultime rempart entre leurs visages. C'est avec effroi qu'elle reconnaît son visage mutilé. « Ray Nox... » réussit-elle à prononcer. « Ce que je veux… c’est t’entendre hurler, crier… supplier. » Tout en prononçant ces mots, il se saisit d'une lame et il déchire petit à petit le tissu de son uniforme, seule rempart qui lui reste, seule distinction qui lui rappelle qui elle est. Elle tente d'avaler avec difficulté la boule de lave liquide qui lui traverse la gorge, son cœur qui bat à tout rompre, et elle sent qu'elle tremble alors qu'elle ne comprend que trop bien ce qu'il lui réserve. La lame, froide, cruelle, s'appuie sur la peau de la commandante, tandis qu'elle essaye de bloquer sa respiration comme si cela ferait moins mal. Il rit, et son rire rebondit sur les murs. Ils sont seuls et il n'a pas du accéder à l'endroit de manière douce, si bien que Gamora comprend très vite qu'elle est à sa merci. Elle ferme les yeux tandis que la lame passe derrière elle. Il va me trancher la carotide. Faites que ça passe vite putain. « Tu vas foutre du sang partout... » réussit-elle à dire dans une pointe d'humour qui n'a pas du tout sa place ici. Le soulagement la remplit lorsqu'elle réalise que seules des mèches de cheveux rencontrent la lame. Ses mèches sombres tombent sur le sol et sur les débris de sa tenue de commandement, alors qu'il ne lui reste déjà pas grand chose pour cacher son corps. « Je veux… que personne ne te reconnaisse… mais de toute manière, tu ne sortiras jamais d’ici pouffiasse. » La douleur des coups précédents retombe immédiatement et elle sent des gouttes de sueur froide lui glisser dans le dos. Mais il s'agit de Gamora Kelso. Elle n'est pas prête de se montrer faible, même lorsque la peur et l'angoisse prennent le dessus sur tout le reste. « Nox. Je sais que ce que j't'ai fais est impardonnable... Mais on est en temps de guerre, j'obéissais aux ordres... » Elle tente de se justifier, tout en sachant pertinemment qu'il est inutile de le faire. Il est consumé par la rage et la vengeance. Elle réussit à se relever, les dernières mèches de ses cheveux coupés lui glissant dessus pour finir au sol. « Je suppose que tu as fais de la route pour venir me voir. Je me sens presque honorée. T'as du dégommer quelques collègues pour arriver jusqu'ici ? » Elle sent ses yeux la piquer. De peur ? De douleur ? Aucune idée. Mais même si elle sent ses yeux bruns se remplir de larmes, elle ne lui donnera jamais satisfaction, du moins pas si facilement. De plus, malgré tous ces sentiments négatifs, elle restait la Commandante Kelso, et que serait-elle sans son franc parlé et son sarcasme permanent ? Quitte à aggraver sa situation. Après tout, si elle ne devait pas s'en sortir, elle pouvait bien se le permettre. Si elle se montrait comme elle se sentait réellement, c'est à dire pleine de regrets pour ses actes, elle est persuadée qu'il n'entendrait jamais raison. Si bien qu'elle préfère reprendre sa carapace, celle qu'elle avait l'habitude d'enfiler avant d'entrer dans la salle où il était gardé. Elle relève les yeux vers Ray, et prend un air triste. « Tu m'as abandonnée... J'étais si triste... Tu es parti, alors qu'on s'amusait si bien, toi et moi. Tu te souviens ? » Elle sourit en coin, et agite doucement ses doigts, comme si elle donnait un coup de griffe dans le vide. Griffer. Elle lui faisait souvent. Peut-être même avait-il conservé les marques sur son torse. Un souvenir d'elle, éternellement encré dans sa peau. « Et le pire dans tout ça, c'est que je t'ai laissé partir... Mais tu n'as pas l'air de t'en rappeler. » Gamora relève la main en direction du bleu qui se forme sur sa mâchoire. « Que dirait Angie si elle voyait cela ? » C'était leur dénominateur commun, Angie. Il allait sans doute péter un câble. Mais tant pis. Elle comptait sur le fait qu'il fasse suffisamment de vacarme pour attirer l'attention de quelqu'un. Elle passe la langue sur ses lèvres avec un air de défi. « Aller, frappe plus fort. On sait tous les deux que t'aimes ça. » Comme elle se détestait, quand elle parlait de la sorte. Elle se reconnaissait à peine dans ce personnage qu'elle avait inventé pour protéger son ancienne elle, son traumatisme jamais surmonté.
Re: (-18) Remember me for centuries. (raymora) Ven 7 Avr - 11:46
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REMEMBER ME FOR CENTURIES.
Ray & Gamora
C’était la première fois qu’il se retrouvait en face d’une des personnes qui lui avait fait vivre des mois de tortures et de souffrances. Autant physiquement que mentalement, il en avait eu pour tous les goûts, par toutes les préférences. Ses ongles arrachés, ses os brisés les uns après les autres, tout, il avait tout eu et son visage en était une preuve, tout comme son corps à jamais touché par cette misère. Il commençait à se dire qu’il serait bon d’au moins remettre son visage en état, mais il y avait tant de choses à faire avant et le Résistant avait une femme à faire gémir de douleur avant. Elle l’avait rapidement reconnu une fois qu’elle lui avait subtilisé sa cagoule, montrant son véritable visage à cette brune qui avait pris un malin plaisir à le faire souffrir lorsque les rôles étaient échangés. Le général tremblait autant de plaisir que d’excitation, la frapper lui procurer une sensation de liberté, comme si tout ce qu’elle lui avait fait n’était rien à côté de ce qu’il était en train de lui faire. Oh, elle pouvait le voir sourire, jouer avec sa lame à découper sa tenue qui faisait ce qu’elle était. Oui, au Premier Ordre, tout n’était qu’apparence, ils avaient beau être tiré à quatre épingles, ils n’étaient que pourriture à l’intérieur et cette dernière était franchement la pire. Alors qu’il joue de sa lame, elle semble avoir peur qu’il foute du sang partout. Il ne répondit même pas, trop occupé à son petit jeu, à son propre plaisir. Du sang partout ? Mais qu’est-ce qu’il en avait à foutre putain ? Elle pouvait bien se vider de son sang qu’il ne lèverait pas le petit doigt, rien du tout. Il la regarderait mourir en rigolant, peut-être même accompagnerait il tout ça avec quelques coups pour la faire souffrir un peu plus, il ne savait pas trop comment gérer le bordel. Non, il ne l’aiderait certainement pas. Il s’occupa également des cheveux de la Commandante, commençant par couper grossièrement, peut-être ferait-il mieux au prochain coup, un scalp peut-être ? Ça pourrait donner un côté un peu plus sauvage et tragique à la situation, ce qui était tout à fait transcendant.
Tout en la laissant se redresser, il la laisse déblatérer ses conneries sur ce qu’elle avait fait, qu’elle était en période de guerre, qu’il fallait faire ce qu’elle avait à faire. Qu’elle obéissait aux ordres. Au diable tout ce qu’elle pouvait dire, les yeux du général balançaient littéralement des éclairs dans ceux de la femme qui semblait en vouloir un peu plus. Cela fit sourire l’homme qui jouait avec sa lame entre les doigts. « T’inquiète, je suis aussi les ordres, on est toujours en temps de guerre… » Il ricana. « Comme si mes potes allaient me barrer la route. On ne remet pas en cause les ordres d’un Général et sur ce point, nous sommes assez semblables au Premier Ordre. » Il mentait, bien entendu, on lui avait refusé l’accès à ces lieux, son temps ici était surement à présent compté, mais il n’en avait rien à faire. Il allait faire ce qu’il avait à faire avec cette charmante demoiselle incarnation du mal avant de se faire arrêter. « T’inquiète, je vais bien t’honorer comme il se doit. » Souriant, il passa sa langue sur ses lèvres de façon assez désagréable, annonçant la couleur pour les minutes à venir. Les mots qu’elle énonça après le fit se redresser et faire les cents pas. Elle le cherchait, elle le cherchait ! Elle parla même d’Angie dans cette histoire. Ça le stoppa pendant une demie seconde, parlant presque tout seule. Des murmures, à peine audible sur ce qu’il allait faire par la suite. Gamora devait se dire qu’il était complétement cinglé, comme s’il était possédé même. Parfois il s’arrêtait, la regardait, ouvrait la bouche comme s’il allait dire quelque chose, puis la fermait et repartait, mais finalement, il revint vers elle, se planta devant cette dernière et lui assena un nouveau coup de poing dans le ventre. « JE T’AI DIS DE LA FERMER SALE PUTE ! » Et dans un mouvement de rage, il agrippa les tissus de la tenue de la femme et les lui arracha, la mettant nue dans cette cellule comme elle-même l’avait fait des mois plus tôt.
On pouvait voir la marque de la lame le long de son ventre, passant entre sa fine poitrine, remontant vers la gorge. Il se colla à elle, frissonnant de plaisir, elle pouvait sentir son souffle sur son visage. « Angie… Ne parle pas d’elle… » La lame est rangée dans sa ceinture et d’un coup, il la retourne et la plaque contre le mur de sa cellule, tenant le bras droit de cette dernière pour la bloquer… tandis que l’autre main maintenait fermement la tête de la femme conte le mur sans ménagement. « Voyons voir çaaaaaaaaa ! » Sa main droite agrippa un peu plus le bras de la Commandante et lentement, très lentement, il le tirait vers l’arrière, tentant de l’amener vers l’autre bras, chose complétement impossible à faire, inhumain. Il allait lui déboiter l’épaule… lentement, très lentement, on pouvait sentir l’os criser. « Tu sens ? Que ça bloque… » Oh que oui elle le sentait… et ce qui devait se passer se passa et le bras se déboita lentement dans un craque distinct. Il frissonna, mais maintenait toujours la femme contre le mur. « Ce n’est que le début… » Il lâcha le bras, reprit sa lame et se cola un peu plus à elle, pour l’empêcher de se décoller de ce mur. « On fait quoi maintenant ? Tu as une préférence ? » La lame se planta gentiment au niveau de la hanche droite de la demoiselle et commença à bouger la pointe dans la chaire de la brune qui n’appréciait pas tant que ça. Il n’enfonçait pas totalement la lame, juste assez pour graver sur la peau à nue… Le sang commençait à perler le long du corps de la belle et les lettres R, A et Y se dessinait toutes seules. « C’est magnifique, dommage que tu ne puisses pas voir ça… » Elle était bloquée contre le mur son bras ballottait lui-même contre le mur…
Il se recula un peu histoire de la laisser respirer un peu, sa langue passant de nouveau sur ses lèvres. Il y prendrait presque goût. « On passe à quoi alors… » Il se mit à réfléchir sérieusement…
Tout en la laissant se redresser, il la laisse déblatérer ses conneries sur ce qu’elle avait fait, qu’elle était en période de guerre, qu’il fallait faire ce qu’elle avait à faire. Qu’elle obéissait aux ordres. Au diable tout ce qu’elle pouvait dire, les yeux du général balançaient littéralement des éclairs dans ceux de la femme qui semblait en vouloir un peu plus. Cela fit sourire l’homme qui jouait avec sa lame entre les doigts. « T’inquiète, je suis aussi les ordres, on est toujours en temps de guerre… » Il ricana. « Comme si mes potes allaient me barrer la route. On ne remet pas en cause les ordres d’un Général et sur ce point, nous sommes assez semblables au Premier Ordre. » Il mentait, bien entendu, on lui avait refusé l’accès à ces lieux, son temps ici était surement à présent compté, mais il n’en avait rien à faire. Il allait faire ce qu’il avait à faire avec cette charmante demoiselle incarnation du mal avant de se faire arrêter. « T’inquiète, je vais bien t’honorer comme il se doit. » Souriant, il passa sa langue sur ses lèvres de façon assez désagréable, annonçant la couleur pour les minutes à venir. Les mots qu’elle énonça après le fit se redresser et faire les cents pas. Elle le cherchait, elle le cherchait ! Elle parla même d’Angie dans cette histoire. Ça le stoppa pendant une demie seconde, parlant presque tout seule. Des murmures, à peine audible sur ce qu’il allait faire par la suite. Gamora devait se dire qu’il était complétement cinglé, comme s’il était possédé même. Parfois il s’arrêtait, la regardait, ouvrait la bouche comme s’il allait dire quelque chose, puis la fermait et repartait, mais finalement, il revint vers elle, se planta devant cette dernière et lui assena un nouveau coup de poing dans le ventre. « JE T’AI DIS DE LA FERMER SALE PUTE ! » Et dans un mouvement de rage, il agrippa les tissus de la tenue de la femme et les lui arracha, la mettant nue dans cette cellule comme elle-même l’avait fait des mois plus tôt.
On pouvait voir la marque de la lame le long de son ventre, passant entre sa fine poitrine, remontant vers la gorge. Il se colla à elle, frissonnant de plaisir, elle pouvait sentir son souffle sur son visage. « Angie… Ne parle pas d’elle… » La lame est rangée dans sa ceinture et d’un coup, il la retourne et la plaque contre le mur de sa cellule, tenant le bras droit de cette dernière pour la bloquer… tandis que l’autre main maintenait fermement la tête de la femme conte le mur sans ménagement. « Voyons voir çaaaaaaaaa ! » Sa main droite agrippa un peu plus le bras de la Commandante et lentement, très lentement, il le tirait vers l’arrière, tentant de l’amener vers l’autre bras, chose complétement impossible à faire, inhumain. Il allait lui déboiter l’épaule… lentement, très lentement, on pouvait sentir l’os criser. « Tu sens ? Que ça bloque… » Oh que oui elle le sentait… et ce qui devait se passer se passa et le bras se déboita lentement dans un craque distinct. Il frissonna, mais maintenait toujours la femme contre le mur. « Ce n’est que le début… » Il lâcha le bras, reprit sa lame et se cola un peu plus à elle, pour l’empêcher de se décoller de ce mur. « On fait quoi maintenant ? Tu as une préférence ? » La lame se planta gentiment au niveau de la hanche droite de la demoiselle et commença à bouger la pointe dans la chaire de la brune qui n’appréciait pas tant que ça. Il n’enfonçait pas totalement la lame, juste assez pour graver sur la peau à nue… Le sang commençait à perler le long du corps de la belle et les lettres R, A et Y se dessinait toutes seules. « C’est magnifique, dommage que tu ne puisses pas voir ça… » Elle était bloquée contre le mur son bras ballottait lui-même contre le mur…
Il se recula un peu histoire de la laisser respirer un peu, sa langue passant de nouveau sur ses lèvres. Il y prendrait presque goût. « On passe à quoi alors… » Il se mit à réfléchir sérieusement…
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Re: (-18) Remember me for centuries. (raymora) Ven 7 Avr - 14:17
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And you will go to Ajan Kloss, with a vision of a gentle coast and a sun to maybe dissipate shadows of the mess you made.
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--- family without blood.
Shall we look at the moon, my little loon ? Why do you cry ? Make the most of your life, while it is rife, while it is light.
◊ ◊ ◊ ◊
◊ ◊ ◊ ◊
”You haven’t seen me mean. When you do, you’ll require a very big hanky.” ”To dry my tears ?” "To stop the bleeding."
◊ ◊ ◊ ◊
--- valkyrie.
They said she was cruel because she'd been harmed in the past. They claimed she was cold because she just hadn't met the right fellow to warm her. Anything to soften her edges and sweeten her disposition—and what was the fun in that ? Her company was like strong drink. Bracing— and best to abstain if you couldn't handle the kick.
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Remember me for centuries.
Jouer les provocatrices n'avait certainement pas aidé son cas. Elle le sent bouillir, comme son son esprit vagabondait ailleurs, il marmonne dans sa barbe des menaces que Gamora est bien contente de ne pas pouvoir comprendre. Pour le moment, elle avait autre chose en tête. Un, elle avait face à elle un animal sauvage prêt à bondir sur sa proie. Deux, il avait un grade suffisamment important pour que ses faits et gestes ne soient pas sous surveillance continue. Trois, elle avait encore une once d'espoir que quelqu'un intervienne, s'il avait fait du forcing pour entrer. Il était maintenant question de gagner du temps. « JE T’AI DIS DE LA FERMER SALE PUTE ! » Encore un coup dans son ventre, et elle laisse échapper cette fois son premier gémissement de douleur, plus distinct que les autres. Elle sent son estomac remonter dans sa gorge, la bile remonter dans son œsophage. Heureusement qu'elle n'avait pas trop de rations de repas depuis qu'elle était prisonnière, sinon elle aurait tout rendu. Avant qu'elle ne puisse reprendre son souffle, il la saisit par les restes de son uniforme et les arraches d'un coup sec, les coutures cédant sans la moindre résistance à la poigne du Général. Plus aucune rempart pour la protéger. Mise à nue, littéralement. Humiliée face à cet ancien ennemi. Comme les choses étaient moins drôles lorsque l'on passait de l'autre côté de la barrière... La cruelle et horrible sensation du sang qui commençait à coaguler sur la fine ouverture qu'il lui avait infligée jusqu'à sa poitrine fit frissonner Gamora de dégoût. Essayant de protéger son reste de pudeur, la Commandante grogne entre ses dents « Je savais que tu avais des fantasmes bizarre, connard. » Sans qu'elle ne puisse continuer sur le flot d'insultes qui lui brûlait les lèvres, il la plaque contre le mur, ne laissant que son dos exposé, sa colonne vertébrale qui pliait face à la force dont il faisait preuve pour l'empêcher de bouger. Sur sa peau nue, elle peut sentir d'un côté les parois de la cellule, le froid, l'humidité. Elle frissonne, essaye de se débattre mais il est bien décidé à ne pas la laisser partir, il ne fait que commencer son petit jeu, sa vengeance tant attendue et servie sur un plateau d'argent. Il lui saisit le bras, et lorsqu'il commence à tirer, Gamora ne réalise que trop bien ce qu'il lui réserve. « Attends... Non... Non... ! Arrête ! » Il tire, il tire, elle essaye de se débattre. « Tu sens ? Que ça bloque… » Elle ne voulait pas le supplier, ne serait-ce que dans son ton, mais la douleur est telle que ses supplications sont transformées en un cri déchirant alors qu'elle sent son épaule finalement céder. La douleur est insupportable et les larmes qu'elle retenaient viennent baigner ses joues. Secouée de sanglots, elle en oublie presque qu'il est plaqué contre elle dans une position qu'elle a du mal à supporter, cette proximité la mettant extrêmement mal à l'aise alors qu'elle devine la moindre parcelle du corps de Ray sous sa combinaison écarlate. « Ce n’est que le début… » Merde, elle s'en doutait bien qu'il était loin d'avoir eu son compte. Il maintient la tête de la jeune femme alors qu'elle se mord la lèvre jusqu'au sang pour éviter de lui donner plus de satisfaction en continuant à sangloter. Cependant, la jeune femme distingue clairement la pointe de sa lame qu'il a sans doute eu le temps de récupérer tracer quelque chose sur sa hanche, et elle essaye désespérément de supporter le choc. La douleur de son bras s'était amoindrie, mais elle continuait de la paralyser et lui laissait une possibilité de moins de se défendre. « On passe à quoi alors… » Le ton qu'il prend ne lui plaît absolument pas. Et elle fait d'un coup, beaucoup moins la maligne. Elle espère que son cri aura alerté les gardes postés un peu plus loin et qu'ils feront venir du renfort, sauf si ces Résistants n'avaient aucun sens de la morale, et laisserait leur prisonnière se faire massacrer, ou pire, par l'un de ses généraux. Gamora cesse de mordre sa lèvre lorsqu'elle sent le goût métallique de son sang contre sa langue et couler sur son menton. « Quel héros de guerre, t'en prendre à une gamine qui n'est pas armée, affamée et enfermée, sans possibilité de se défendre... Il est beau le général Ray Nox. » Et dans un murmure, elle se répète comme si elle se parlait à elle même : « Ils te le feront payer, ils te le feront payer... » Elle n'avait aucune idée de ce qu'elle disait, elle pensait en partie à Sehrin ou Lyana qui ne toléreraient pas ce traitement s'ils venaient à trouver le cadavre de la Commandante dans sa cellule. Dans un ultime rugissement, elle reprend avec plus de virulence : « Si tu es encore en vie, c'est grâce à moi, espèce de psychopathe ! Tu me crois assez débile pour rater ta navette de merde alors que t'es à dix mètres de mon croiseur ?! Je t'ai laissé te carapater et c'est comme ça que tu me remercies ?! » Ses paroles sont de nouveau interrompues par un sanglot qu'elle n'a pas réussi à contenir. « Qu'est-ce que tu pourrais bien me faire de pire ? Si tu me butes, j'aurais souffert un peu et tu me libérera de ma souffrance. Toi tu vivras avec les tiennes jusqu'à la fin de tes jours. Avec mon visage gravé dans ta mémoire jusqu'à la fin de la vie. Tu te souviendras de moi jusqu'à la fin des temps. Alors que moi... » Elle ricane à travers ses larmes. « Toi, tu ne me laisseras aucun souvenir si je crève. » Peut-être creusait-elle sa propre tombe. Puisque dans un sens, elle l'incitait à la faire souffrir, en contrepartie de sa vie. C'est vrai : elle lui suggère de lui laisser des marques indélébiles, qu'il devienne un véritable cauchemar vivant pour elle, et cela signifiait qu'il devrait épargner sa vie. Et dans sa folie, il serait bien capable de comprendre cette opportunité.
Re: (-18) Remember me for centuries. (raymora) Sam 8 Avr - 17:35
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REMEMBER ME FOR CENTURIES.
Ray & Gamora
Cette pièce était toujours plus agréable à vivre que celle dans laquelle ou l’avait enfermé du temps de son emprisonnement au Premier Ordre. Il prenait un malsain plaisir à s’occuper de la prisonnière et sa conscience vint lui parler au creux de l’oreille. Oui, tout à fait ! Est-ce que ce qu’il faisait était bien ? Est-ce que ça ferait justice ? Est-ce qu’il pourrait vivre le lendemain avec ces images en tête ? Est-ce que c’était dans les habitudes de la Résistance que de faire souffrir leurs prisonniers de cette façon ? Assurément non ! Et l’ancien Ray était avec sa conscience, à deux contre un, lui, n’aurait jamais fait ça. En tant que Général, il portait les valeurs de la Résistance et en tant que Général des Renseignements, il devait tenter de soutirer des informations à la jeune femme, non pas la faire souffrir inutilement. Juste avoir des informations intéressantes pour leur groupe et pourquoi pas l’échanger ensuite pour récupérer des membres importants de la Résistance. Non, le nouveau Ray n’était pas dupe, les petites voix qu’il entendait disaient que de la merde. Personne n’avait été échangé contre lui, alors personne ne serait échangé avec cette brune qui avait un peu trop passé de temps avec Ray lorsqu’il était détenu par le Premier Ordre.
Il déboita donc le bras de la jeune femme sans sourciller, allant même jusqu’à graver son prénom sur ses hanches afin qu’elle puisse avoir un petit souvenir de Ray jusqu’à sa fin. Allait-il la tuer ? Non, ce serait contraire aux principes de la Résistance, il n’irait pas jusqu’à ce point. Irait-il ? Gentil Ray ? Il n’en savait rien ! Ni lui-même, ni le lui-même d’avant, comme les nouveaux lui-même d’après interrogatoire. C’était un joyeux bordel, mais tous s’accordaient à dire ô combien il était plaisant de l’entendre crier de douleur, pleurer sous les griffures de sa lame… Alors qu’il proposait à Gamora de participer en lui demandant ce qu’elle voulait pour la suite, elle se mit à le critiquer, l’insulter. Etrangement, très étrangement, Ray la lâche et se mit à rire, reculant vers le fond de la cellule, il riait à gorge déployée, comme si elle venait de sortir la meilleure blague de l’année diffusée sur HumourNet ! C’était une dinguerie ! Cela dura un petit moment, le temps qu’il se remette. « Oh putain, toi, tu es vraiment trop drôle putain. Ouuuuuh ! » Le voilà qui se remet petit à petit, rangeant sa lame dans sa ceinture tout en s’approchant de la jeune femme à terre, s’accroupissant à quelques centimètres d’elle.
« Héro de guerre moi ? Putain elle est bien bonne celle-là ! Je suis celui qui se salira les mains sans une once d’hésitation… j’irais plus loin que quiconque pour vous défoncer votre sale gueule tu comprends ? » Il attrapa le visage de Gamora au niveau du menton histoire qu’elle le regarde bien. « J’userais de vos propres méthodes radicales et vous le ferez payer fois cent. » Il relâcha le visage de la jeune femme et fit mine de se redresser, mais se retourna de nouveau vers elle pour lui foutre une baffe magistrale. Le claquement résonna dans la pièce, un doux son merveilleux. Il l’attrapa de nouveau par les cheveux, et la traina sur le sol, pour l’allonger sans ménagement, le bras droit de la jeune femme toujours disloqué de sa position, il n’osait imaginer la douleur… Oh attendez… Il l’avait déjà vécu plus d’une fois ! Ca passait au bout d’un moment. « J’espère ne jamais oublier ce délicieux moment avec toi Gamora… » Il attrapa les deux mains de la belle, les joignants au-dessus de la tête de cette dernière. Assis à califourchon sur elle, il sentait que le bras droit de la Commandante avait bien du mal à suivre, mais il forçait. Il s’approcha du visage de la brune et lui parla tout doucement. « Vous m’avez tous rendus comme ça… Je vais tous vous montrer ce que ça fait… je ne tuerais aucuns d’entre vous, je veux que vous subissiez ce que vous m’avez fait subir et franchement, je prends mon pied tu peux pas savoir. »
Ray tenant les poignets de Gamora avec sa main gauche et sa main droite, tenant de nouveau son couteau vint s’abattre avec violence sur les deux mains de la brune, s’enfonça dans sa chaire, puis dans le sol, peu profondément, mais juste assez pour qu’elle ne bouge plus. Il se redressa d’un coup ! « AAAAAAAAAAAH ! PUTAIN C'EST BON ! » Un cri de plaisir, de délectation ! Tout comme les réactions de la brune qui lui offrait pratiquement un orgasme visuel de plaisir… Le visage de cette dernière était franchement… trop plaisant. Il s’en délecta une seconde… puis sortit de la pièce, comme s’il quittait les lieux après un tel supplice… Elle pouvait le croire, mais il réapparu… un son étrange le suivant. C’était une barre de fer, qu’il laissait trainer sur le sol, pour rendre les choses plus dramatiques. « Tu sais… » Il s’approchait d’elle, elle ne pouvait pas vraiment bouger, elle était pratiquement crucifiée au sol, son épaule déboitée… il shoota dans la jambe gauche de la belle pour se faire un peu de place. « Tu aurais dû me tuer. » La barre de fer caressa le pied droit, le mollet, la cuisse et vint butter un endroit important et particulier, un endroit ou aucunes personnes ne devraient avoir accès sans l’accord de la propriétaire, mais Ray n’avait plus aucunes règles. Il appuya légèrement la barre de fer contre cette partie et ajouta. « Parce que je vais te la mettre bien profonde… bien plus profondément que ce que vous m’avez fait. » Les choses étaient bien clairs à présent.
Il déboita donc le bras de la jeune femme sans sourciller, allant même jusqu’à graver son prénom sur ses hanches afin qu’elle puisse avoir un petit souvenir de Ray jusqu’à sa fin. Allait-il la tuer ? Non, ce serait contraire aux principes de la Résistance, il n’irait pas jusqu’à ce point. Irait-il ? Gentil Ray ? Il n’en savait rien ! Ni lui-même, ni le lui-même d’avant, comme les nouveaux lui-même d’après interrogatoire. C’était un joyeux bordel, mais tous s’accordaient à dire ô combien il était plaisant de l’entendre crier de douleur, pleurer sous les griffures de sa lame… Alors qu’il proposait à Gamora de participer en lui demandant ce qu’elle voulait pour la suite, elle se mit à le critiquer, l’insulter. Etrangement, très étrangement, Ray la lâche et se mit à rire, reculant vers le fond de la cellule, il riait à gorge déployée, comme si elle venait de sortir la meilleure blague de l’année diffusée sur HumourNet ! C’était une dinguerie ! Cela dura un petit moment, le temps qu’il se remette. « Oh putain, toi, tu es vraiment trop drôle putain. Ouuuuuh ! » Le voilà qui se remet petit à petit, rangeant sa lame dans sa ceinture tout en s’approchant de la jeune femme à terre, s’accroupissant à quelques centimètres d’elle.
« Héro de guerre moi ? Putain elle est bien bonne celle-là ! Je suis celui qui se salira les mains sans une once d’hésitation… j’irais plus loin que quiconque pour vous défoncer votre sale gueule tu comprends ? » Il attrapa le visage de Gamora au niveau du menton histoire qu’elle le regarde bien. « J’userais de vos propres méthodes radicales et vous le ferez payer fois cent. » Il relâcha le visage de la jeune femme et fit mine de se redresser, mais se retourna de nouveau vers elle pour lui foutre une baffe magistrale. Le claquement résonna dans la pièce, un doux son merveilleux. Il l’attrapa de nouveau par les cheveux, et la traina sur le sol, pour l’allonger sans ménagement, le bras droit de la jeune femme toujours disloqué de sa position, il n’osait imaginer la douleur… Oh attendez… Il l’avait déjà vécu plus d’une fois ! Ca passait au bout d’un moment. « J’espère ne jamais oublier ce délicieux moment avec toi Gamora… » Il attrapa les deux mains de la belle, les joignants au-dessus de la tête de cette dernière. Assis à califourchon sur elle, il sentait que le bras droit de la Commandante avait bien du mal à suivre, mais il forçait. Il s’approcha du visage de la brune et lui parla tout doucement. « Vous m’avez tous rendus comme ça… Je vais tous vous montrer ce que ça fait… je ne tuerais aucuns d’entre vous, je veux que vous subissiez ce que vous m’avez fait subir et franchement, je prends mon pied tu peux pas savoir. »
Ray tenant les poignets de Gamora avec sa main gauche et sa main droite, tenant de nouveau son couteau vint s’abattre avec violence sur les deux mains de la brune, s’enfonça dans sa chaire, puis dans le sol, peu profondément, mais juste assez pour qu’elle ne bouge plus. Il se redressa d’un coup ! « AAAAAAAAAAAH ! PUTAIN C'EST BON ! » Un cri de plaisir, de délectation ! Tout comme les réactions de la brune qui lui offrait pratiquement un orgasme visuel de plaisir… Le visage de cette dernière était franchement… trop plaisant. Il s’en délecta une seconde… puis sortit de la pièce, comme s’il quittait les lieux après un tel supplice… Elle pouvait le croire, mais il réapparu… un son étrange le suivant. C’était une barre de fer, qu’il laissait trainer sur le sol, pour rendre les choses plus dramatiques. « Tu sais… » Il s’approchait d’elle, elle ne pouvait pas vraiment bouger, elle était pratiquement crucifiée au sol, son épaule déboitée… il shoota dans la jambe gauche de la belle pour se faire un peu de place. « Tu aurais dû me tuer. » La barre de fer caressa le pied droit, le mollet, la cuisse et vint butter un endroit important et particulier, un endroit ou aucunes personnes ne devraient avoir accès sans l’accord de la propriétaire, mais Ray n’avait plus aucunes règles. Il appuya légèrement la barre de fer contre cette partie et ajouta. « Parce que je vais te la mettre bien profonde… bien plus profondément que ce que vous m’avez fait. » Les choses étaient bien clairs à présent.
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Re: (-18) Remember me for centuries. (raymora) Sam 8 Avr - 22:09
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”You haven’t seen me mean. When you do, you’ll require a very big hanky.” ”To dry my tears ?” "To stop the bleeding."
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Remember me for centuries.
Le temps passe au ralenti, comme si les images se dispersaient, trop lentement ou trop vite. Il recule, et elle a l'espoir pendant quelques instants qu'il s'est lassé de ce petit jeu. Elle se recroqueville un peu en tentant de cacher les parties de son corps qu'elle ne souhaite pas exposer. Gamora tourne doucement la tête vers lui alors que son rire se répercute sur les murs et arrache un frisson à la jeune femme de part la déstructuration mentale que ce rire laisse apercevoir. Une toute petite fenêtre vers la folie qu'avait engendrée toute ces heures de torture. Et soudain, la culpabilité lui revient de plein fouet. Car elle avait participé à créer ce monstre, même si cela ne lui avait pas plu, même si cela avait été forcé et que dans un sens, elle se contentait d'appliquer les ordres de l'officier des renseignements qui lui avait demandé de faire preuve d'imagination avec ce Général Nox. Soudain, il la saisit par le menton, et Gamora peut détailler avec attention son visage meurtri par les nombreuses scarifications et autres expériences qui avaient forgé cette peau pleine d'imperfections. Il siffle ses menaces, et la Commandante est bien consciente qu'il est très sérieux. Ray la relâche, mais alors qu'elle se croyait tirée d'affaire, il la gifle avec une force monumentale. Elle sent le sang se répandre dans sa bouche, alors que les larmes coulent encore sur ses joues, le claquement de sa main résonnant encore. La force qu'il y met est si importante qu'elle finit face contre terre. Il la saisit par les cheveux et elle grogne, tente de se débattre, l'insulte de tous les noms alors qu'il la retourne, et la voilà nue, face à son tortionnaire, sans moyen de se défendre. Assis à califourchon sur elle, il se délecte de cette position de force. « J’espère ne jamais oublier ce délicieux moment avec toi Gamora… » Elle lui crache à la figure. « Ne m'appelle pas par mon prénom, salaud. » Elle pouvait au moins lui interdire ça. La riposte ne se fait pas attendre : lui saisissant les mains, il les met à l'écart, au dessus de sa tête, et la douleur de son épaule disloquée la fait de nouveau gémir de douleur. Gamora serre les dents, évite le regard du Général pour qu'il ne puisse pas se délécter de cette nouvelle flopée de larmes. La voix doucereuse de son tortionnaire prend de nouveau possession de la pièce, et sans crier garde, il se saisit de son couteau et le plante avec une violence inouïe sur la seule main encore opérationnelle de la commandante. Par réflexe plus que par douleur, la jeune femme pousse cette fois un cri alors que la douleur se propage le long de son bras et qu'elle peut distinguer le liquide rouge et épais se faufiler entre ses doigts. « Salopard... Salopard... Espèce d'enfoiré... » Chaque insulte est coupée par un long sanglot. Puis enfin... Il se lève. Et quitte la pièce. Gamora relève la tête pour vérifier qu'il est bien parti, elle essaye de reprendre son souffle alors qu'elle est partagée entre la douleur et l'épuisement. Tout son corps la fait souffrir. Avait-il eu sa dose ? Honnêtement, elle n'en était pas sûre. Et ses soupçons sont confirmés lorsqu'elle entend un bruit au sol... Comme une espèce de raclement au sol, quelque chose de lourd... Et de métallique. Le sang de la Commandante ne fait qu'un tour lorsqu'elle comprend que Ray s'est saisit d'une barre de fer et qu'il approche, doucement. Oh mon Dieu. Il va m'achever. Il va me tabasser à mort et il va m'achever. Gamora ferme les yeux, respire de manière chaotique, pleure encore. Je vais mourir. Je vais rejoindre Audran, ça y est. Attend moi, je t'en supplie. Elle revoit le visage de son premier amour avec une distinction qu'elle aurait qualifié de presque surnaturelle tant elle avait l'impression qu'il était physiquement avec elle. J'arrive. J'en suis sûre, j'arrive ; tu m'as tant manqué. « Tu sais… » La voix de Ray la sort de ses souvenirs alors qu'il frappe dans une de ses jambes pour les écarter. Le malaise prend possession d'elle alors qu'elle sent le métal remonter le long de l'intérieur de sa jambe jusqu'à... Non. Non. « Tu aurais dû me tuer. Parce que je vais te la mettre bien profonde… bien plus profondément que ce que vous m’avez fait. » Et sa menace est claire. Précise. Horrible. Le cœur de Gamora s'emballe alors que pèse sur elle un sort qu'elle ne préconise même pas à son pire ennemi. « Ray... Ray, non attend, ne fais pas ça... Ne fais pas ça... ! » Rassemblant ses dernières forces, la Commandante, prend appui sur une jambe et donne un coup le plus fort possible au niveau d'une des genoux de son tortionnaire, ne serait-ce que pour le déséquilibrer. Brusquement, la brune entend de l'agitation dehors, un peu plus loin, au niveau des couloirs qui mènent à la cellule. Manifestement, Ray avait du fait un sacré grabuge pour arriver ici, et des gens approchaient. Sans attendre un instant de plus, Gamora stoppe ses sanglots, regarde fixement Ray, et alors qu'elle entend des pas se rapprocher de plus en plus, elle se mit à pousser un cri déchirant, un appel au secours. Chose qu'elle n'a jamais fait de sa vie. L'image d'Audran disparaît peu à peu. Pardon, mon amour. Mais je crois que ce n'est pas pour aujourd'hui. J'ai encore un tas de choses à faire, ici. Elle crie une seconde fois alors que des voix se font entendre au loin : et enfin, la porte s'ouvre dans un fracas. La tête de Gamora retombe lourdement sur le sol : quelqu'un est venu la sauver.
- Spoiler:
- Les prochaines réponses seront de Sehrin, Lyana et Angie pour l'intervention/la constatation.
Re: (-18) Remember me for centuries. (raymora) Mer 12 Avr - 23:14
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Remember me for centuries ▼ |
Il revenait de l’entrainement des nouvelles recrues quand sa route avait croisée celle de gardes plus qu’affolés. Cela ne pouvait présager que de mauvaises choses? Il s’en inquiéta immédiatement, priant pour ce ne soit pas une attaque imprévue du Premier Ordre. La Résistance était revenue trop affaiblie pour pouvoir faire face à une nouvelle bataille maintenant. Les hommes étaient encore trop épuisés, les cœurs trop meurtris. Même lui n’en était pas ressorti indemne : son passé était revenu le narguer sous la forme de Gamora. Il n’avait été la voir qu’une seule fois. Il n’était pas capable d’y retourner. La revoir là, dans leurs cellules, avec les insignes du camp ennemi accrochés à sa poitrine, avait été difficile. Lui annoncer la mort d’Audran et la voir s’effondrer l’avait été encore plus.
Il aurait sans doute préféré que ce soit une attaque surprise. Sur le coup, cela lui semblait plus gérable que la réelle raison de ce vent de panique. Le Général Nox avait pété un plomb et était descendu « voir » les prisonniers. Il ne faisait aucun doute du sort qu’il leur réservait. Quand on en venait à assommer les gardes, on n’y allait surement pas pour prendre le thé. Et cela, ça mettait Sehrin en rogne. S’il s’était engagé dans la Résistance, c’était pour les idéaux et les valeurs qu’elle défendait. Pas parce qu’il avait envie de rejoindre une bande qui se faisait passer pour les gentils alors qu’ils adoptaient les mêmes méthodes qu’en face. Tout le monde savait ce qui était arrivé au Général. Il était difficile de l’oublier. Il était la preuve vivante de la cruauté des opposants. Il était presque un rappel de ce pourquoi il fallait combattre. On lui pardonnait volontiers ces dérapages. Mais pas cette fois. C’était trop lourd pour le Major. Il ne pouvait pas rester sans rien faire. Alors, sans même un mot ou un regard pour le garde paniqué, il partit en courant, blaster au poing.
Dans sa course effrénée, il se rappela de la présence de Gamora derrière leurs barreaux. Il accéléra le pas. Innocente ou pas, elle ne méritait pas ce qui l’attendait. Personne ne le méritait. Mais le poids de leur relation le pesait encore plus que pour n’importe quel autre détenu. S’il lui était arrivé malheur, il ne se le pardonnerait pas. Parce qu’il savait que le jeune Audran ne l’aurait jamais fait. Elle avait beau être avec les ennemis, il est parfois dur de faire abstraction des anciennes amitiés. Même s’il avait dur, en colère, désespéré quand il avait été la voir, il ne pouvait s’empêcher d’y tenir. Il avait du mal à l’accepter mais elle restait la petite gamine au sourire angélique qu’il devait protéger, qu’il devait consoler. Qu’il devait également défendre, coûte que coûte.
Les cris qui résonnaient firent bouillir le sang dans ses veines. C’était bien ceux qu’il redoutait tant. Il fonça d’un pas assuré vers sa cellule, ses rangers claquant sur le sol. Il priait pour qu’il n’arrive pas trop tard, pour que les hurlements qu’elle avait poussés ne soient pas ses derniers. Parce qu’il avait assez de morts sur la conscience. Parce qu’il avait envie de croire que même dans les esprits les plus dérangés de la Résistance, il restait suffisamment de bon pour ne pas commettre l’irréparable.
Il n’avait même pas besoin de s’attarder sur la scène qui se déroulait sous ses yeux pour avoir envie d’agir. Il avait immédiatement mis le Général en joue. Il était prêt à tirer à tout moment. Il en avait vu des horreurs durant les missions auxquelles il avait participé mais peu surpassait ce qui se déroulait dans l’intimité de la prison. Gamora, étendue nue sur le sol, plus violentée qu’à son arrivée. Gamora en sang, blessée. Elle lui semblait presque morte. Morte d’épuisement. Morte de terreur. Il allait le tuer si rien ne l’en empêchait. Parce qu’ils n’étaient pas des monstres. Parce que c’était intolérable. Parce qu’on ne touchait pas à la gamine attachante qui avait grandi avec lui. Parce que c’est ce qu’Audran aurait fait, s’il avait été à sa place. Parce que c’est ce qu’Audran aurait voulu. Parce qu’on ne touchait pas à un de membres de la petite bande venue d’Anaxes sans conséquences. Parce que Ray était là, plus menaçant que jamais, plus incontrôlable qu’il ne l’avait jamais été, à lui promettre mille et une violence indigne d’eux.
« Bouge pas enfoiré ou je te défonce la cervelle. Et je n’hésiterais pas» lui dit-il, le visant toujours de son arme.
Il ne savait pas s’il serait de poids, seul face à lui, même armé de la sorte. Il espérait ne pas être le seul à avoir répondu à l’appel à l’aide. Il espérait de tout cœur que des renforts arrivent, par sécurité, pour être sûr qu’ils s’en sortent tous, au moins vivants. Mais si ce n’était pas le cas, la rage qui l’envahissait ne lui ferait rien lâcher. Il se battrait, que cela lui coute sa place ou sa vie.
Il aurait sans doute préféré que ce soit une attaque surprise. Sur le coup, cela lui semblait plus gérable que la réelle raison de ce vent de panique. Le Général Nox avait pété un plomb et était descendu « voir » les prisonniers. Il ne faisait aucun doute du sort qu’il leur réservait. Quand on en venait à assommer les gardes, on n’y allait surement pas pour prendre le thé. Et cela, ça mettait Sehrin en rogne. S’il s’était engagé dans la Résistance, c’était pour les idéaux et les valeurs qu’elle défendait. Pas parce qu’il avait envie de rejoindre une bande qui se faisait passer pour les gentils alors qu’ils adoptaient les mêmes méthodes qu’en face. Tout le monde savait ce qui était arrivé au Général. Il était difficile de l’oublier. Il était la preuve vivante de la cruauté des opposants. Il était presque un rappel de ce pourquoi il fallait combattre. On lui pardonnait volontiers ces dérapages. Mais pas cette fois. C’était trop lourd pour le Major. Il ne pouvait pas rester sans rien faire. Alors, sans même un mot ou un regard pour le garde paniqué, il partit en courant, blaster au poing.
Dans sa course effrénée, il se rappela de la présence de Gamora derrière leurs barreaux. Il accéléra le pas. Innocente ou pas, elle ne méritait pas ce qui l’attendait. Personne ne le méritait. Mais le poids de leur relation le pesait encore plus que pour n’importe quel autre détenu. S’il lui était arrivé malheur, il ne se le pardonnerait pas. Parce qu’il savait que le jeune Audran ne l’aurait jamais fait. Elle avait beau être avec les ennemis, il est parfois dur de faire abstraction des anciennes amitiés. Même s’il avait dur, en colère, désespéré quand il avait été la voir, il ne pouvait s’empêcher d’y tenir. Il avait du mal à l’accepter mais elle restait la petite gamine au sourire angélique qu’il devait protéger, qu’il devait consoler. Qu’il devait également défendre, coûte que coûte.
Les cris qui résonnaient firent bouillir le sang dans ses veines. C’était bien ceux qu’il redoutait tant. Il fonça d’un pas assuré vers sa cellule, ses rangers claquant sur le sol. Il priait pour qu’il n’arrive pas trop tard, pour que les hurlements qu’elle avait poussés ne soient pas ses derniers. Parce qu’il avait assez de morts sur la conscience. Parce qu’il avait envie de croire que même dans les esprits les plus dérangés de la Résistance, il restait suffisamment de bon pour ne pas commettre l’irréparable.
Il n’avait même pas besoin de s’attarder sur la scène qui se déroulait sous ses yeux pour avoir envie d’agir. Il avait immédiatement mis le Général en joue. Il était prêt à tirer à tout moment. Il en avait vu des horreurs durant les missions auxquelles il avait participé mais peu surpassait ce qui se déroulait dans l’intimité de la prison. Gamora, étendue nue sur le sol, plus violentée qu’à son arrivée. Gamora en sang, blessée. Elle lui semblait presque morte. Morte d’épuisement. Morte de terreur. Il allait le tuer si rien ne l’en empêchait. Parce qu’ils n’étaient pas des monstres. Parce que c’était intolérable. Parce qu’on ne touchait pas à la gamine attachante qui avait grandi avec lui. Parce que c’est ce qu’Audran aurait fait, s’il avait été à sa place. Parce que c’est ce qu’Audran aurait voulu. Parce qu’on ne touchait pas à un de membres de la petite bande venue d’Anaxes sans conséquences. Parce que Ray était là, plus menaçant que jamais, plus incontrôlable qu’il ne l’avait jamais été, à lui promettre mille et une violence indigne d’eux.
« Bouge pas enfoiré ou je te défonce la cervelle. Et je n’hésiterais pas» lui dit-il, le visant toujours de son arme.
Il ne savait pas s’il serait de poids, seul face à lui, même armé de la sorte. Il espérait ne pas être le seul à avoir répondu à l’appel à l’aide. Il espérait de tout cœur que des renforts arrivent, par sécurité, pour être sûr qu’ils s’en sortent tous, au moins vivants. Mais si ce n’était pas le cas, la rage qui l’envahissait ne lui ferait rien lâcher. Il se battrait, que cela lui coute sa place ou sa vie.
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Re: (-18) Remember me for centuries. (raymora) Mer 19 Avr - 15:36
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Remember me for Centuries
Aller la voir ou continuer à l’ignorer ? Lyana ne sait pas trop comment se comporter. Elle devrait se comporter en commandante et rester impartiale avec une commandante ennemie. Elle a appris tellement de chose au sujet de son amie d’enfance qu’elle se refuse de croire et d’accepter. Comment ? Ce n’est pas la Gamora d’Anaxes dont on lui a parlé et pourtant, son visage est toujours le même et elle sait que même si elle a choisi la mauvaise voix, il y a toujours une part de cette enfant si chère à ses yeux en elle.La jeune femme était à peine remise de la bataille physiquement parlant. Les douleurs à la cuisse et à l’épaule droite étaient encore très présentes. Pour le moment, il est hors de question pour Lyana de reprendre en main son arbalète, elle risquerait de rouvrir ses blessures. De toute manière, la prochaine bataille n’est pas imminente et en cas d’urgence, elle a toujours un pistolet blaster avec elle. Mentalement parlant, ce n’était toujours pas ça pour l’originaire d’Onderon. Elle qui avait un mental d’acier en règle général avait été affaiblie par tous ces souvenirs qui lui remontaient en même temps. Gamora était une partie de sa vie qu’elle avait préféré enfouir quelque part. Les retrouvailles encore récentes avec Ti’ilandra avait déjà pas mal rouvert cette plaie, mais là, c’était encore plus dur. Elle repensait alors à Audran. Est-ce qu’elle savait ? Et s’il la voyait avoir tourné du côté du Premier Ordre ? Qu’en penserait-il ? La commandante se questionnait et pourtant elle préférait ne pas trouver de réponse. Les morts avaient une place ailleurs à présent.
Lyana déambulait dans les alentours des cellules où avaient été enfermés les captifs de guerre. Elle hésitait. Etait-ce la solution ? Est-ce que voir Gamora n’allait pas lui faire encore plus de mal ? Non, elle savait qu’il fallait vaincre le mal par le mal. Quitte à se retrouver déçue en parlant à la jeune femme, quitte à ce qu’elle ne se souvienne pas d’elle, elle devait tenter quelque chose. Elle descendit les marches qui menaient vers le couloir où étaient regroupées les cellules. Il y en avait de tous types, des simples cellules pour petits prisonniers à celles apportant un tant soit peu plus de confort pour les « captifs de marque ». Lyana avait pris avec elle quelques bonbons d’Onderon qu’elle avait réussi à se procurer récemment. Ces bonbons avaient une signification particulière pour elle et pour Gamora autrefois. Ils n’étaient pas spécialement bons, mais Lyana en donnait à la petite bande d’Anaxes à chaque fois qu’ils se voyaient. Elle espérait que ça referait remonter les souvenirs à son amie, au cas où elle aurait oublié.
Tout s’agite, ce n’est pas normal. Lyana commence à s’activer, prise d’une inquiétude soudaine. Il fallait s’attendre à ce que l’adversaire réplique pour récupérer ses otages bien que Lyana eut la conviction qu’au Premier Ordre, ils seraient capable de les faire descendre plutôt que de se risquer à les libérer ou de les voir lâcher des informations cruciales. Sa main à la ceinture, prête à dégainer le blaster s’il le faut, elle se met à courir vers la cellule qui l’inquiète le plus. A ce qu’elle entend murmurer autour d’elle, quelqu’un s’en serait pris aux gardes pour s’infiltrer dans une des cellules. Ça sent mauvais, vraiment. Certains évoquent même le Général Nox. Lyana ne le connait que très peu, mais depuis son retour, elle a toujours eu du mal avec lui et s’il a agi comme les hommes le disent, la commandante a toutes les raisons de s’inquiéter et d’accélérer le pas.
Un cri. Puis un second. Elle reconnaît cette voix qui la fait frémir. Non, et non, ça ne peut se passer ainsi. A quoi bon s’abaisser à leur niveau ? Le Premier Ordre pratique la torture, mais la Résistance s’est toujours refusée de tels actes. C’est intolérable. Lorsque Lyana arrive dans la cellule, ce dont elle est témoin est encore pire que ce qu’elle avait pu imaginer. Il aurait pu vouloir la tuer, ou lui faire du mal. Mais c’était trop simple pour lui, elle savait bien qu’il était complètement détraqué. En arriver à de tels actes, c’était beaucoup trop pour Lyana qui se sentait déjà bouillir de rage, de haine et de colère. Il n’y avait pas de déception comme elle aurait pu en ressentir si un autre membre de la Résistance se trouvait-là. Non, en fait, elle n’était même pas étonnée.
- Dé:
- Pile ou Face - Self Control
Pile : Elle s'attaque au général pour tenter de l'arrêter
Face : Elle garde ses distances et tente de le raisonner avec les mots
Son poing se resserre sur son blaster mais elle se contient, gardant ses distances et observant l’autre personne déjà présente. Elle ne l’avait même pas remarqué en entrant tant la scène la dégoûtait. Elle se contenait. Combien de temps elle allait tenir ? Elle l’ignorait. «
AVENGEDINCHAINS
Re: (-18) Remember me for centuries. (raymora) Mer 19 Avr - 15:36
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