Farouche, comme un animal blessé, elle guette méfiante, agressive si vous envahissez son espace vital, elle ne vous connaît pas, mais elle ne vous aime déjà pas.Sauvage, trop longtemps elle fut domestique, elle ne supporte plus les ordres ou les devoirs. Elle ne se laisse pas facilement amadouée, elle trancherait la main se posant sur elle sans sa permission. 
Siona est bizarre, le genre de bizarre qui met mal à l’aise. Il y a ses grands yeux d’abord, dans le bleu délavé il y a cette étincelle de folie ; la folie de ceux qui ont trop souffert se sont réfugiés au-delà des limites de leur esprit. Elle n’en parait qu’instable, comme si en un instant, elle pouvait vous sauter à la gorge.  sauf quand la colère vient y faire luire des éclairs dangereux. Et puis son visage de poupée, trop émacié, trop cerné pour être tout à fait jolie, son corps trop élancé et trop maigre crée un inconfort chez ceux qui se prendrait à l’observer. Elle toise l’univers non sans une certaine condescendance. Elle s’exprime en mêlant langue commune et dialecte étrange, argotique, cryptique ou agressive, elle ne semble pas avoir d’autres mode de communication. Pas avec ceux qu’elle ne connaît pas, pas avec ceux qu’elle n’aime pas. Et il y a fort peu d’être qu’elle tolère.

SIona a embrassé le côté obscur avec un certain soulagement, elle trouvait un échos à sa rage, à sa rancœur., elle pouvait s’enivrer du pire. Craintive elle ne dort sans une arme à ses côtés et son sommeil est peuplé de cauchemars mélangeant passé meurtri et visions d’un futur incertain.
Il n’est pas question de la réconforter avec un câlin. Elle n’attend rien de personne et déteste la plupart des êtres vivants, méprise une autre bonne part et  à peine reste-t-il une poignée dont elle s’accommode. Elle a le cynisme et la nonchalance affichée, il n’y a rien devant lequel elle recule pour atteindre ce qu'elle veut. Elle hait les hypocrites, ceux qui se revendiquent héros, les jedis de la bien-pensance et les résistants de la bonne conscience. 
Siona pourrait se revendiquer nihiliste, mais ce serait alors une revendication et elle ne passe jamais par là pour s’exprimer. Pour elle tout est violence. Elle a depuis bien longtemps renoncé à la moralité, pour Siona, elle n’a pas de raison d’être dans un univers aussi absurde.

Parler de morale est hypocrite, chacun à la sienne, donc personne ne respecte totalement celle des autres. Définir le bien et le mal, y apposer une barrière, tout cela n’a aucun sens. Pour la plupart des gens, leur définition de la morale se heurte au moindre exemple. Tuer c’est mal, sauf si c’est pour se défendre. Voler c’est mal, sauf si on a faim. Frapper quelqu’un c’est mal, sauf s’il l’a vraiment cherché. L’absurdité même du concept l’a fait doucement sourire, un sourire amer qui n’atteint par jamais son regard. Ceux qui essaieraient de la raisonner ne recevrait que du mépris. Elle semble avoir ses propres règles en plus de celles qui régissent son rang.





6 – naissance des jumelles Ardt
12 – Famille déchirée par les dettes, les parents sont emprisonnés et les deux filles, Aspen et Siona vendues à un marchand peu scrupuleux.
15 – Une intervention du premier ordre contre la résistance, dans la pagaille un grand nombre des esclaves parvient à s'échapper. Elle a déjà vu ça en rêve, si elle parvient à s'enfuir alors sa sœur n'y parviendra pas. Elle reste en arrière. Sa sœur reviendra pour elle.
20– Dans son bordel, trop jeune elle se sent déjà trop âgée. La haine et le dégoût supplante tout le reste.
21– Elle a rejoint sans entrain le premier ordre. Sa soeur est intéressée par le pouvoir, Siona se dirige vers les vaisseaux, le pilotage lui confère une certaine impression de liberté. Cependant détectée sensible, on l'arrache aux vaisseaux pour la former. Elle se complet dans la maîtrise du combat, elle a enfin de quoi dépenser sa rage.
23 – Elle a rejoint les ombres de Snoke.
29 - des suites d'une mission sa sœur meurt. La lumière s'éteint totalement en elle.
31 - Elle devient Chevalier de Ren.
34 - En mission pour récupérer un artefact dans le système Corellien, elle apprend avec une certaine colère, qu'elle y est coincée.


1-C’était bien toi ? Aspen, c’était bien toi ? J’ai entendu ta voix, elle est devenue plus grave, je t’ai vu, mais tu étais une femme, plus une fille. Mais c’était toi n’est-ce pas ? Derrière les barreaux de ma cage je ne t’ai d’abord pas reconnu, ou pas voulu te reconnaître, craignant un tour cruel de mon esprit malade. Puis, il y a eu les enchères, je suis si sale, si maigre, que personne ne m’achète plus. Je ne mange plus que le quart des rations maigres qu’on me donne, je donne le reste aux autres. Mes os semblent prêts à percer ma peau tannée par le soleil. J’ai connu les bordels et le lot d’être désirable, je ne veux plus l’être. Je garde les yeux baissés, leur bleu ternis par la malnutrition, embué par la maladie. J’aurai pu vivre bien parmi les prostituées, m’accommoder de ce sort, mais je n’ai pas pu. J’ai essayé de m’enfuir encore, je ne sais combien de fois j’ai essayé de m’enfuir. Mais toujours ils m’ont rattrapé, j’étais un bien, j’avais une valeur, j’ai pris sur moi de ne plus rien valoir. Je nettoie les cages des autres esclaves et prépare les repas que je ne mange pas, c’est la seule raison pour laquelle le marchand ne m’a pas encore tué. 
Tu es en vie. Quelle fut ta vie ? Tu ne m’as pas oublié alors, j’ai honte tu sais, par moment je t’oubliais, je préférais le faire, c’était plus facile pour moi. Parce que lorsque je pensais à toi, je me demandais si tu n’étais pas mort ou retombé en esclavage, ce qu’ils te faisaient ? Mais tu es là, tu es une femme, tu es belle. Une voix m’arrache à ma contemplation quasiment extatique, un acheteur. J’ai envie de hurler, mais je n’ai pas la force. Non pas encore, pas maintenant ! Le marchand tire sur ma chaîne et je manque de tomber. Je regarde ce maître, qui ne me regarde pas, c’est toi qu’il regarde, c’est toi qu’il veut. Il m’a acheté parce que tu m’as accordé de la valeur. Oh, ne soit pas imbécile et fuit, ne me rend pas coupable de ton sort. 

Enfermée à nouveau,  est ce que tu es partie ? Est-ce-que ce soir tu viendras me sortir de cette nouvelle cage. La porte s’ouvre brutalement, éblouissant mes yeux habitués à l’obscurité, c’est l’homme qui m’a jeté ici quelques instants plus tôt. Oh ma sœur, tu es donc venu te jeter dans la gueule du loup ? Il m’attrape sans ménagement, agrippant mes cheveux et me traîne à sa suite. Dans la cours tu es là et il est si proche de toi, que j’en ai la nausée. Je suis trop loin pour entendre ce qu’il te murmure. Une lame de couteau sous ma gorge, je comprends que je deviens le poids d’un odieux chantage et soudain je t’en veux. Pourquoi revenir si c’est pour me faire endurer ton sort ? Es-tu stupide ou égoïste ? Quelque chose change alors, infime, une vague au fond de l’âme, chaude qui irradie mon esprit, mon regard est fixé sur ce porc qui te regarde. Il se met à blêmir à se prostrer, il tremble, se pisse dessus. Dans ton regard ma sœur, il y a l’incompréhension, puis l’inquiétude. Je te fais peur, je me vois par ton regard, pâle, un sourire crispée, le regard fixé sur le corps pathétique. Il pleurniche. Il ressent ce que j’ai ressenti. Mais lui il n’est pas assez fort. Tu m’arraches à mon acte, tu n’oses pas me regarder, dehors j’entends des tirs de blaster, j’ai reconnu l'uniforme que tu portes ma sœur.

2- Tout devait être terriblement simple. Une mission sans encombre sur une planète alliée. Tu trouvais que j'avais changé. Je me suis demandée sur quelle base tu pouvais penser ça. On ne se connaissait plus vraiment,
et notre temps ensemble a été interrompu tant par tes ambitions que par mon envoie dans les classes spéciales. J'ai changé ? Je ne tremble plus,
ne fait presque plus de cauchemars, ils me réveillent mais ne me font plus hurler. J'ai appris à vivre avec, comme j'ai appris à vivre avec la rage et le dégoût. Je voyais que tu venais essayer de créer un lien, tu disais à quelle point tu étais fière de me savoir sensible à la fort, tu faisais des plans pour l'avenir.
Tu étais magnifique Aspen, avec tes cheveux coupés courts, tes yeux bleus intenses, il se dégageait de toi force et autorité. On n'a pas vu les rebelles, on n'a rien vu venir. Tous capturés. Toi, moi, les autres, tous alignés face aux blasters. Notre supérieur devant. L'un de ces puants nous a attrapé. Le gradé a beuglé, pas moi. Alors j'ai crié plus fort, pas toi.

Le tire de blaster t'as transpercé le crâne, tu es morte sans dernier mot, sans longue litanie. Tu es morte sur le coup. Je suis tombée, je me suis agrippée à ton corps sans vie, je n'avais rien à  faire de la bataille ou de mourir moi-même. C'était là, le dernier vestige de joie et d'innocence qui me quittait. Je n'avais plus rien, je n'étais rien sans mon autre. J'étais si accrochée à toi qu'ils durent nous emporter ensemble. Je caressais tes pâles cheveux dans le trou dans lequel ils nous jetèrent. Je me repaissais de ma rage, de mon désespoir, je chérissais la douleur, je te faisais parfaite et eux misérables, je les maudissais, à mesure que j'empirai leur portrait et glorifiait le tiens. Je t'inventais des motivations et des rêves.

Quand les chevaliers arrivèrent, ils massacrèrent tes bourreaux, je te lâchais, délicatement, je reposais ton visage pâle et m'élançait dans la bataille. J'arrachais par la Force des blasters aux rebelles. Mais les blasters n'offraient pas une mort assez violente, pas assez intime, je tirais pour que la mort soit douloureuse, j'étendais mon pouvoir afin de distiller la peur.
Je trouvais celui qui avait t'avais tué, lui je l'ai achevé à mains nues. Avant qu'on me tire en arrière, avant que je me débatte pour atteindre ce gradé pathétique, la main tendue dans l'espoir de l'étrangler, la rage me consumait, mais j'étais à bout de rage, à bout de Force.

3- Gal'aad ne m'épargnait pas, et même avec sa prothèse il ne perdait en rien de sa dextérité. Il m’entraînait, me conseillait, me parlait quand le reste se contentait de m'éviter. Je leur faisais peur et je les méprisais pour ça, autant que je respectais celui que je commençais à considérer comme mon maître. Pas un maître qui tenait une chaîne, un maître, un professeur, quelqu'un qui t'élève, pas quelqu'un qui t'enfonce.  

Plus tard la mort d'un chevalier libéra une place. Gal'aad m'avait bien formé. Ce fut la guerre parmi les ombres. Mais aucune n'avaient de chance, face à moi. Tous se voyaient déjà chevalier. Cependant dès le début des duels, je me démarquais rapidement. J'avais une ambition, une volonté de destruction bien trop forte pour eux, je n'avais ni remord, ni morale, je n'étais rien d'autre que le chaos. A la suite de mon ultime victoire, je fus consacrée chevalier par Kylo Ren, récupérant le sabre du défunt, je rejoignis le cercle très fermé, pour toi. C'était toi l'ambitieuse, toi qui voulait faire de grandes choses, toi qui avait rejoint le Premier Ordre par ambition, toi qui parlait de Kylo Ren en termes si élogieux. Je l'ai fait pour toi. Il y a de la fierté dans le regard de Gal'aad. Je l'ai fait pour moi. Pour retrouver cette sensation de contentement, d'oubli, lors du massacre de ton bourreau. Pour me sentir vivante.

1. Anecdote sur votre personnage, ses habitudes de vie.
Siona se lève invariablement tôt, médite, ravive la haine et la colère. Elle ne tolère pas qu'on touche à ses tresses. Puis, si elle n'a pas de mission elle en cherche une, sinon elle l'accomplit. Sur son temps libre elle s’entraîne, parfait ses techniques. Elle sort peu, parce qu'elle n'est jamais à l'aise en société. Trop bizarre, trop étrange pour les choses normales de la vie. Sa façon de s'exprimer mêle les dialectes de plusieurs systèmes et la langue commune. Elle se laisse rarement approcher par un médecin, préférant panser ses plaies toutes seules, elle se fout des cicatrices elle en a déjà son lot, elles font partie d'elle.

2. Un événement marquant dans sa vie.
Sa vie est faite d'une succession d'événements marquants qui l'ont sculptés, détruits, rapiécés. Il y eut le bordel tout d'abord, la solitude et le dégoût de soi. Puis l'arrivée dans le premier ordre, les retrouvailles avec sa sœur et puis sa mort qui démolit tout ce qui restait d'elle, tout ce qui restait d'espoir. Et enfin son arrivée chez les chevaliers et le contentement d'avoir à chaque jour un but.

3. Quelques petits secrets, des trucs comme ça.
Depuis son départ du bordel, elle n'a plus jamais laissé quiconque la toucher.
Elle tresse systématiquement ses cheveux, cette coiffure c'est la dernière que sa sœur lui fit avant de périr, elle l'a chéri et elle ne conserve rien d'autre d'elle que le vestige de cette coiffure inutilement compliquée.
Son dos est marqué des coups de fouets de ses maîtres. Avoir été esclave laisse ses traces et bien qu'elle puisse aujourd'hui les faire disparaître,
elle ne le fait pas. Les montrer serait admettre son passé, les effacer le renier et elle n'est prête pour aucun de ces choix.

4. Accro à l'Holonet et à ses rumeurs ?
Elle ne s'intéresse pas à ce genre de choses, sa totale méconnaissance de l'actualité peu devenir problématique. On la dévisage lorsqu'elle dit ne pas savoir, des choses qui paraissent évidentes pour tout. Elle est une bizarrerie, rien de nouveaux sous les astres.

5. Votre personnage a-t-il du changer d'orientation professionnelle ? (passer du civil au militaire...). Qu'en pense-t-il ?
Vendue enfant. Esclave elle est passée de mains en mains. Lorsque sa sœur est venue la délivrer bien des années plus tard, elle a embrassé le côté obscur sans se poser plus de questions. Après tout, elle gouttait enfin la liberté.
De prostituée à Chevalier de Ren. De moins que rien à un haut grade. Elle a gravi les échelons par la rage et la haine

6. Votre personnage est-il sensible à la Force ? Comment a-t-il accueilli cette nouvelle ? Quels sont ses projets face à cette révélation ?
Enfant déjà, elle faisait ses étranges rêves qui lui prédisaient l'avenir.
Plus âgée, elle comprit qu'elle pouvait projeter sa peur, sa terreur à d'autres. Lorsqu'elle fut prise en charge par le premier ordre, elle mit un mot sur ces étranges pouvoirs. Elle n'en a jamais tiré aucune fierté, c'est ce qui l'a séparé de sa sœur, c'est l'outil qui lui permettra d'abattre sa rage contre les soi-disant résistants. Aujourd'hui elle canalise sa rage, elle a appris, elle apprend toujours, elle ne veut que la fin de la résistance.  



1. Comment se sent-il face au conflit ?
Elle s'y sent bien dans ce conflit, elle l'adore, c'est son terrain. Elle ne s'épanouit que dans le conflit, ce conflit là en particulier. Elle déteste les résistants, elle se fout de leur cause, c'est eux. Eux, on les disait héros quand elle était petite fille, eux les meurtriers de sa sœur.

2. Comment votre personnage a-t-il rejoint les rangs du Premier Ordre ?
Par hasard d'abord, mais c'est la vengeance qui l'y fait demeurer. Sa conviction dans les vertus de la destruction. Cet univers elle le veut à feu et à sang. Il n'y a que dans le Premier Ordre qu'elle a découvert une certaine stabilité.

3. Qu’avez vous pensé du holo montrant les Jedi et les Sith s’affronter ? Comment vivez vous la confirmation du retour des Sith ?
Elle trouve cela tout à fait positif, les sith sont l'espoir du côté obscur.
Elle les admire et ne peut qu'apprécier voir les jedis mordre la poussière.
Elle ne croit pas en la bonté, en la lumière, ce ne sont que des ramassis de mensonges pour affaiblir les gens, les empêcher de se rebeller. Elle s'est exaltée devant le combat et attend le prochain !

4. Quels sont les projets et/ou les objectifs de votre personnage pour la suite ? (rejoindre un groupe, participer aux batailles, rechercher la Carte menant à Luke Skywalker, etc).
Elle a rejoint les chevaliers de Ren, ses objectifs sont ceux que de Kylo Ren et par extension ceux du leader supre Snoke. Elle suit les ordres,
participe à ce qu'on lui dit de participer. Elle cherche ce qu'on lui dit de chercher, la carte est un beau projet et la mort de Luke Skywalker une libération intense pour l'Ordre.

5. Qu’avez vous pensé de l’annonce de Corellia concernant leur abandon de la Nouvelle République ?
Tant mieux, moins soutiendront les menteurs, plus leur travail sera simplifié. La peur se répand et c'est une chose qui lui plait.

6. Pour quelles raisons vous trouvez vous sur Corellia ? Et comment avez vous réagi à l’apparition de la Sphère au dessus du système ?
Venue à la recherche de la dague de Ssni-Rakk perdue dans les galerie de Selonia. Lorsqu'elle revient à la surface ce ne fut que pour apprendre qu'elle était bloquée dans ce système. Pas un système qu'elle affectionne particulièrement. Elle hait être coincée quelque part, elle est d'une humeur massacrante. Elle ne comprend pas, elle n'aime pas ça,
elle s'attend à chaque instant à une attaque d'envergure.

pack (Gardien)
ARMES POSSÉDÉES :
Un sabre laser


VAISSEAUX POSSÉDÉS :
aucun

AUTRES POSSESSIONS :
Armure légère
résistance physique
une réserve d'oxygène

COMPÉTENCES AU SABRE LASER :
Forme V, Djem So
Forme VII, Vaapad

COMPÉTENCES DE FORCE:
Divination
Démence de Force
Télépathie
Saut de Force
Vision de Force
spécialité : Tempête de Force




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pseudo : bosie
prénom : gaelle
fréquence de connexion : 4/7
comment as-tu découvert may the force ? : par Moïra !
souhaites-tu être parrainé ? : réponse ici