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Astoria Vaarda • To be someone

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Astoria Vaarda

Ft. Charlize Theron

42 ans

Tatooine

Sith & Conseil Sombre

Bisexuelle

Veuve

Inquisiteur Sith

Original

Astoria Vaarda • To be someone  499439kettricken13

Astoria Vaarda • To be someone  Nx2Jwig
Caractère & Histoire
Anecdotes diverses
Inventaire & Compétences
Présentation du joueur


Informations

Caractère :

• Entretien médical du 34, Mois 1, Semaine 3 : Sujet Astoria Va’arda •
… Comment vous définiriez-vous psychologiquement ?  

Les deux bras croisés contre elle, Astoria réfléchit quelques instants. Son regard semblant un instant perdu dans le vide avant qu’un léger rictus ne déforme le coin droit de sa bouche. Comprenant qu’elle devait se soumettre encore une fois à cette « procédure », elle soupira avant de se décider à répondre.

« Il n’est jamais aisé de se décrire avec précision : il faut dire qu’on veut bien souvent paraître ce que nous ne sommes pas, amoindrir nos petits défauts, se pavaner avec nos qualités. Que cela soit de manière consciente ou non. Et je suis bien la première à m’en rendre compte. Mais pourquoi tant de manières ? Pourquoi ne pas simplement assumer ce que nous sommes ? Changer… la belle affaire ! On évolue, c’est certitude mais changer. Enfin soit. Cessons de digresser.

Alors comment me définirais-je… Hum… Et bien commençons par mes défauts alors. Ca changera un peu.

J’ai une fâcheuse tendance à être facilement irritable. Je le reconnais, je ne suis que rarement de bonne humeur. Et je le fais savoir d’une façon ou d’une autre. Que cela soit avec une expression, un regard, une attitude. Sachez-le, je ne cache que rarement mes émotions. Lorsque je ressens quelque chose, cela s’exprime. Mes traits suivent mon humeur. Je suis loin d’être une personnalité inexpressive et froide. Antipathique certes, même hautaine passant souvent pour quelqu’un d’arrogant et de perfide mais étrangement, je n’ai que faire de savoir ce qu’on peut penser de moi. D’une certaine façon, être détestée est une arme redoutable. Les bons sentiments, ils finissent toujours par vous trahir, par vous faire chuter. Et croyez-moi, quand cela arrive, personne ne vous tend la main. Néanmoins, j’ai appris à maîtriser mes émotions et leur impact, surtout les émotions « positives ». Je peux être ravie, joyeuse même. Cela arrive, je vous assure. Mais je me garde bien de les exprimer surtout quand on n’a personne avec qui les partager. D’ailleurs dans la même optique, je suis quelqu’un d’irascible. Quand je vous dis que je ne cache pas mes émotions, ce n’est pas une blague. Il aurait été préférable sans doute que je ne sois pas sensible à la Force dans certains cas. Mais ne voyez pas cela comme une sorte de « mode » ou je ne sais quoi. C’est en réalité lié à l’une des choses que je déteste le plus : l’impuissance. Me sentir prise au piège, sans cartes en main à abattre… La frustration qui en découle ne fait que déboucher sur cette colère violente qui s’abat autour de moi, à l’image d’un orage d’été. Ce trait de caractère est sans doute lié à la période où je fus esclave.

Néanmoins, je sais faire preuve d’une certaine maîtrise de moi-même et de diplomatie. Ce n’est pas en étant une sorte d’écervelée qu’on arrive à avancer dans la vie. Alors certes je suis très liée à mes émotions mais j’ai appris à les contrôler, à en faire abstraction pour ne pas être aveuglée et perdre de vue mes objectifs ou ma mission. Car oui, je suis une personne déterminée - même butée - qui sait ce qu’elle veut faire où et quand. Dans ces cas-là, il est souvent préférable de ne pas se mettre en travers de ma route. Cela va de pair avec une soudaine colère irascible qui fait irruption.

Mais au moins ce qu’on peut dire, c’est que je suis une personnalité entière. Ma franchise peut être vue comme une qualité même si cela me fait souvent passer pour quelqu’un d’acariâtre. D’ailleurs même j’ai l’habitude de voir les intérêts de l’Ordre et les miens avant ceux des autres, je n’en reste pas moins une personne loyale, et ce même si j’ai l’habitude d’envoyer bouler ceux qui me seraient proches alors que je les apprécie. Et c’est peut-être bon à savoir, mais je suis d’un naturel fonceur quand je sais que l’un des miens est en mauvaise posture. N’y voyez pas là un geste d’empathie ou même d’altruisme ! C’est que je vous juge encore utile. (Oui, on y croit !)

Concernant le travail, je suis un bourreau de travail. C’est un fait avéré. Le travail doit être fait en temps et en heure. Et je trouve toujours un moyen de trouver quelque chose à redire. Que cela soit le travail des autres ou le mien. Je suis une personne dure et sans pitié quand cela concerne l’Ordre et même si je peux m’adoucir à certains moments, je n’apprécie guère que les choses ne tournent pas ronds ou qu’elles n’avancent pas aussi vites que je ne le veux. Sauf si c’est moi l’origine de l’empêchage de tourner en rond ! Cela me rappelle aussi que je peux faire preuve d’une mauvaise foi à toute épreuve.

La voie que j’ai emprunté depuis tant d’années m’a rendu machiavélique au possible : la morale. C’est pour les faibles. Cela n’a jamais rien mené de constructif. C’est peut-être dur ce que je dis mais c’est vrai. L’Homme est ainsi. Et j’en suis un. Toujours un plan à mettre en place et voilà trois autres qui arrivent à mon esprit. Je n’ai que peu de limites dans mes machinations, quelque soit leur envergure. Me salir les mains est loin de m’effrayer. Je n’ai fait que ça durant tout mon apprentissage et en tant que Sith à part entière. Et ce même si doit m’asseoir sur mon apparence…

Néanmoins j'ai tendance à privilégier la diplomatie et la manipulation afin d'arriver à mes fins plutôt que la violence ou les meurtres bien que je n'y suis guère étrangère. Les machinations font parties intégrantes des cordes que j'ai à mon arc. Bien que certaines de mes actions sont jugées emplies de bonté par certains, d'autres y voient des manipulations perfides.  

Cependant vous savez Docteur. Je crois que le mieux pour me définir réellement. C’est sans doute de me côtoyer ou bien de tomber dans l’une des mes ténébreuses entreprises… »


Histoire :

« Chaque histoire commence par il était une fois. »

C’était dix années avant la Bataille de Yavin, que je vis le jour à Anchorhead sur Tatooine, dans une modeste famille d’agriculteurs. J’étais la troisième de la fratrie qui se composait de mes deux frères ayant respectivement dix et cinq ans de plus que moi. La petite dernière en somme. Il est vrai que je ne suis pas née avec une cuillère en argent dans la bouche : les revenus étaient très modestes, les repas peu copieux, la faim se faisait parfois sentir… Et dès que je fus en âge de pouvoir marcher convenablement et de pouvoir parler de manière intelligible, je me retrouvais dans les champs. Alors oui, cela n’avait rien d’une vie opulente, une vie idéale pour une petite fille… mais bon. C’était ainsi. La grande majorité des familles qui habitaient ici, vivait dans ces mêmes conditions. Et quand on a connu que la misère, difficile de savoir ce que c’est de vivre autrement.

Il se passa dix ans exactement où je vécu ainsi. Ce n’était pas une condition de rêve, mais j’avais ma famille, quelques amis qui se résumaient aux enfants des voisins, de quoi manger quand c’était possible. Je n’étais finalement pas si miséreuse que cela. Pourtant ce que je ne voyais pas à travers mes yeux d’enfant, était que ma présence… n’avait jamais été souhaitée. Finalement l’affection que je recevais n’était pas celle qu’on donne à un enfant. Mais comment puis-je le savoir quand j’ai toujours été élevée et traitée ainsi ? Pour moi cela semblait normal de ne pas prendre le repas en même temps que tout le monde, de devoir continuer à travailler aux champs alors que tout le monde rentrait. Tout le monde était « grand » à la maison, j’étais la petite dernière, chétive en plus. Je n’avais pas encore compris que dans la vision de ceux que j’appelais ma famille, je n’étais finalement qu’une gêneuse.

Pourtant je me contentais de cette vie. Je trouvais comme un réconfort dans la solitude que je pouvais avoir lorsque je travaillais. Je ne suis pas d’une nature à me plaindre. Mais un jour… Tout changea.

Je me souviens parfaitement de cette journée. Les deux étoiles étaient hautes dans le ciel, le temps était comme à son habitude : aride et sec. J’accompagnais mon père à Mos Eisley afin de vendre nos récoltes. Alors que je l’allais vers notre emplacement habituel, il m’expliqua que nous devions nous rendre à un autre endroit. Cet endroit… C’était une sorte de bar ou de taverne, je ne saurais comment le qualifier mais l’atmosphère était moite, les personnes nombreuses, l’ambiance agitée. Je ne comprenais pas du tout ce que nous faisions ici. Mon père discutait avec un homme, habillé étrangement. Enfin pour moi, il ne portait pas une tenue d’ici. Je ne compris pas vraiment ce qu’ils se disaient. Mais je fus soudain pousser par celui que j’appelais « père », contre cet homme qui émit un rire étrangement… lugubre. Lorsque je vis alors cet homme qui avait participé à ma conception s’en retourner sans un regard, j’eus pour seul réflexe de le suivre. Mais je fus retenu par cet homme au rire dément qui me força à le suivre malgré mes cris et mes suppliques. Je ne le compris que plus tard. Mais voilà que mon statut d’être vivant venait d’être balayé pour une modique somme de crédits, voilà que je venais d’entrer dans l’un des secteurs commerciaux les plus importants et florissants de l’époque : la traite d’êtres vivants. Je venais de devenir une esclave.

Et ce fut une longue descente aux Enfers qui s’en suivit. Ce même jour, je fus achetée par un homme travaillant pour un autre dont je n’ai jamais vu le visage et encore moins la silhouette. Que devais-je faire ? Et bien ma nouvelle « affectation » ne fut pas un immense champ mais une mine. Vous comprenez une fillette âgée d’une dizaine d’années… C’est l’idéal pour se glisser dans les fissures où un homme ou une créature mature ne pourrait s’engager. C’était dangereux, c’était étouffant… Je crois qu’il n’y a rien de pire que de travailler loin de la lumière naturelle, de respirer des gaz irritants sans doute toxique, dans le bruit, au milieu de personnes qui n’ont que faire de votre sort quand on a connu toujours l’extérieur. C’était comme si j’étais privée de liberté. Suis-je bête, ce n’était pas « comme si », c’était le cas.

Cela dura… cinq années. Cinq années où je partais en « reconnaissance » pour chercher de maigres filons. Les mines de Tatooine n’avaient rien d’extraordinaire, au contraire. La richesse en minerai de cette planète relevait plus du mythe que de la réalité. Mon « travail » était le même : me glisser toujours plus profondément dans les recoins, aider d’une maigre lumière, revenir, indiquer ce que j’avais vu. Je ne compte plus les écorchures que je me suis faite, ni même les contusions. Et selon le résultat… Et bien j’étais plus ou moins « traitée ». Si je ne trouvais rien autant dire qu’il était préférable que je ne revienne pas. Et même lorsque je trouvais quelque chose, les coups pouvaient s’abattre pour sanctionner mon incompétence. Pendant cette période, la faim a sans doute été ma plus grande compagne. Pourtant je n’ai jamais nourri aucun sentiment négatif envers ma famille. Je n’avais pas encore compris. Je pensais simplement que mon père m’avait oublié à cet instant et maintenant qu’il me cherchait désespérément. Tendre naïveté.

Durant cette même période, je me suis sentie… changée. Autant en tant que femme mais également par rapport à d’étranges phénomènes qui se produisaient autour de moi. J’entendais parfois quelques mots d’une discussion entre deux personnes, comme si j’étais proche d’eux alors que c’était tout l’inverse. Parfois, je ressentais des sentiments dont je ne comprenais pas l’origine… Et à certains moments, je pouvais voir une série d’images défilant devant mes yeux… représentant un événement comme la chute d’un seau et cela se produisait. J’aurais souhaité pouvoir en parler mais qui peut bien s’intéresser aux « problèmes d’une gamine » et même les écouter.

Mais un jour… Ce fut comme si une lumière s’éclaira dans mon esprit. Il fallait que je m’enfuis. Que je quitte ce sinistre endroit. Bien que j’eus fait quelques tentatives et que je ne m’étais jamais résolue à arrêter malgré les brimades et la douleur que j’ai pu ressentir à chaque échec, je pouvais comme sentir que cette fois-ci… C’était la bonne.

La nuit avait recouvert le lieu où nous étions parqués pour dormir. Un lieu qui ne rime en aucun cas avec hygiène soyez-en sûr ! J’avais préparé mon départ depuis une semaine : je m’étais rationnée à chaque repas afin de pouvoir emporter quelques vivres, j’avais mémorisé chaque ronde, chaque point qu’il faudrait éviter et donc contourner. Et ce fut bien avant que la première étoile ne se lève dans le ciel de Tatooine que je pris la fuite. Une fuite qui fut compromise alors que j’avais presque atteint mon but. Un garde avait décidé de prendre un autre chemin. Il avait fallu qu’un seul débarque pour que tout tombe à l’eau. Et bien que je savais que cette fois-ci, c’était à mon sens la bonne, je savais qu’il n’y aurait pas de prochaine fois si je me faisais prendre. Alors je courus, je courus à en perdre haleine, à épuiser toutes les réserves de mon corps, à faire abstraction de mon corps endolori. Pourtant cela ne suffit pas. Je fus plaquée violemment au sol à quelques mètres de la sortie, à quelques mètres de la liberté. Non, je refusais que cela se passe ainsi. Le désir de liberté, la volonté de ne plus avoir à subir tout cela… Ce fut comme un tas de paille qui s’embrasa. Alors que le garde venait de me retourner afin de voir à qui il avait à faire, je poussais un cri de rage, un cri qui était comme un moyen pour me libérer de toute cette frustration, de tout ce que j’avais pu emmagasiner et encaisser durant ces années. Cela dut le surprendre de voir un esclave agir de la sorte. Nous étions assez brimés pour ne pas se révolter mais là j'en avais assez. Tambourinant contre son corps, j'en vins même à le griffer de toute part, à le ruer de coups. Sauf que voulez-vous faire contre un homme de cette trempe quand on n'a qu'une quinzaine d'années ? Et bien un coup bien placé voilà ! Je crois qu'il s'en souvient encore et qu'il ne pourra plus se reproduire suite à cela. D'ailleurs cette immobilité soudaine dont il fit preuve face à mon attaque - basse certes - fut l'occasion de continuer ma fuite.  

Je ne m’arrêtais que lorsque je fus assez loin de ce qui fut ma « maison » pendant cinq années, suffisamment loin pour être sûre de ne pas être retrouvée. Je devais trouver un lieu où je pourrais être tranquille, où je pourrais… faire autre chose que ce que je faisais là.

Après des jours de marche, mes réserves presque épuisées, que je me trouvais à Mos Espa, l’une des principales villes de Tatooine. C’était peut-être ma chance de quitter cette planète… Mais bien entendu, je n’avais aucune idée sur ce que je pouvais faire. Je n’avais reçu aucune éducation et mes compétences se résumaient à l’agriculture et à la recherche de filons. Je décidais finalement de « m’installer » à Mos Espa et de vivre de quelques petits chapardages pour survivre. Il se passa quelques mois avant qu’un autre événement ne bouleverse ma vie.

Mes petits larcins finirent par attirer l’attention des propriétaires des marchandises que je volais. Je ne sais pas vraiment comment ils sont remontés jusqu’à moi mais je me retrouvais un jour coincé dans l’une des ruelles de la ville, prise en tenaille. Bien que je savais que les intentions de ces personnes n’avaient rien de bienveillante, les choses prirent une toute autre tournure lorsque je me retrouvais dévêtue. Panique, angoisse, peur… ces sentiments tournaient en boucle dans mon esprit, comme paralysée, ne pouvant rien faire si ce n’est tenter vainement de les repousser. C’est à cet instant que je constatais que le vivant n’a rien de bon. Perfide, mauvais et profondément pervers. A ce moment-là, je pensais à tout ce que j’avais traversé. Quand est-ce que je serais assez forte pour m’affirmer ? Quand est-ce que je pourrais faire quelque chose pour une fois de ma misérable existence ? Des sentiments sombres et obscurs firent alors irruption. Assez de cette condition misérable, assez de cette souffrance, assez de ce mépris. J’en avais assez ! Je voulais qu’on me laisse tranquille, qu’on cesse d’abuser de moi de la sorte. Sous cette vague d’émotions, j'eus comme une prise de conscience. Me redressant alors dévêtue, je ne respirais que la colère et l’envie de prendre ma revanche. Et c’est sur eux que cela commencerait. Je n’avais jamais osé me révolter, jamais osé m’exprimer. Mais ils allaient être les premiers à goûter à l’expression de ce que j’étais. Pourtant… Je n’avais aucune idée sur comment m’y prendre. J’avais juste envie de les voir mourrir, de les voir disparaître purement et simplement de ma vision. Je comprenais que mes larcins avaient agacé, énervé, irrité ces hommes mais à en arriver à une telle extrémité.

Mais je fis ce que je jugeais bon ou du moins la seule chose que je pouvais faire. Me jeter sur eux en hurlant, telle une furie. Donnant des coups sans vraiment savoir comment m’y prendre, mais je voulais juste leur faire mal. Exprimer ma souffrance même si aucun d’eux n’en était à l’origine. Je griffais, je mordais, je hurlais. J’étais plus proche de l’animal que d’un être humain à cet instant.

Je fus à un moment violemment repoussée par l’un d’eux. Une douleur fulgurante me traversant de toute part. Le choc avait été rude, je sentais mon corps empli d’une souffrance que je n’arrivais pas à réprimer. Je ne me rendais même pas compte de mon piteuse état. Sauf… qu’un éclair s’abattit sur l’un de mes assaillants. Il avait été lancé par la silhouette qui venait de faire irruption dans l’allée. Je crois que je me souviendrais toute ma vie de ce regard qu’il avait. Un regard d’un étrange bleu intense alimenté par une flamme d’un jaune en son centre. Un regard effrayant mais à la fois intriguant. Pourtant à cet instant, je n’étais pas vraiment en état de réfléchir. Ce fut lorsqu’un éclat de rouge pourpre fit son apparition que je compris ce qu’était cet homme. A l’époque, cela n’était que des légendes, des mythes. Mais il semblerait que le mythe dépasse la réalité à cet instant précis.

L’inconnu n’eut guère de compassion pour le groupuscule qui venait de reculer grandement face à son apparition. Je me souviens qu’une tête était tombée lourdement devant moi… sans le corps. J’ai bien cru faillir vomir à cet instant. Pourtant je perdis rapidement connaissance.

Lorsque je repris conscience, je me trouvais à bord d’une structure que je n’avais encore jamais vu. Mon sauveur si on peut appeler cela ainsi se présenta comme une chance de pouvoir quitter cet endroit. Une chance de pouvoir commencer une nouvelle vie à ses côtés. Une chance d’échapper à ce qui m’attendait. Si j’ai réfléchi ? Bien sûr mais ma décision était prise. Face à ma réponse, il eut un étrange sourire avant de m’ordonner de me reposer. Je n’avais pas encore conscience que ma vie allait prendre une toute autre tournure.

« C’est dans les ténèbres, que j’ai trouvé la lumière. »

Cet homme qui m’a sauvé, se nommait Kaÿn mais on l’appelait Darth Baram. Nous avons quitté Tatooine pour une planète de la Bordure Extérieure, appelée Korriban. Une planète qui était aussi aride et inhospitalière que l’était Tatooine. Pourtant, je n’eus guère le loisir d’apprécier le paysage puisque Darth Baram avait décidé de m’expliquer que mon sauvetage… avait une contrepartie. En effet, en échange de ma « vie » littéralement, je devais le servir et réaliser le moindre de ses voeux et ordres. Finalement, je me retrouvais de nouveau esclave. Aucune émancipation possible. Dois-je comprendre que ma vie ne sera que servitude ? Néanmoins, il m’assura qu’il ferait de moi un être accompli et qu’il m’aiderait à contrôler mes facultés. Comment pouvait-il être au courant de cela alors que personne avant n’avait soulevé de questions à ce sujet ? J’ai décidé de faire confiance. Et c’est ainsi que commença mon initiation en tant qu’apprenti.

Je ne fus pas la seule parmi les adeptes de Darth Baram. Ce dernier avait sous sa coupe deux autres apprentis qui avaient commencé leur formation depuis bien plus longtemps que moi. La compétition était rude autant que la rivalité qui s’était installée dès mon arrivée, renforçant d’ailleurs les tensions entre les deux apprentis. Si au début, j’eus du mal à m’imposer, je compris que c’était finalement ce qu’on attendait de moi. Je devais perdre mes habitudes, mes réflexes, délaisser finalement ce que j’étais, me libérer de mes carcans. Il ne fallut guère me le demander une deuxième fois. Darth Baram avait sa façon de procéder, sa façon de faire avec nous. Il était d’ailleurs différent avec chacun d’entre nous, dans sa façon de nous traiter, de nous enseigner le maniement de la Force et même du combat. Sans doute est-ce sa façon de noircir davantage notre coeur ? De renforcer la rivalité que nous avions entre nous ? C’est à cette période qui me donna le sabre laser que je possède encore aujourd’hui. J’étais la dernière arrivée et pourtant me voilà doter d’une arme redoutable à défaut des deux autres. Quoi de mieux que pour créer un conflit encore plus grand ?

Sans ce que je m’en rende réellement compte… je sombrais toujours un peu plus dans les ténèbres. Malgré les brimades, les réprimandes, les punitions, les coups en douce, j’en sortais affaiblie mais également grandie. Je trouvais la force de répondre, d’agir en contre-partie de manière équivalente ou alors en surenchérissant. Je n’avais confiance en personne, si ce n’est en cet homme qui m’avait sauvé.

Un jour, Darth Baram nous dit qu’il était temps que nous nous montrions digne de son enseignement et qu’à l’issu de cette ultime épreuve… L’un de nous trois deviendra un Darth, un Sith accompli. L’honneur était grand mais le risque aussi. Ceux qui ne se montreraient pas digne, finiraient leurs jours dans d’atroces souffrances. Ce qu’il fallait faire… C’était simple. S’aventurer dans l’un des nombreux tombeaux Sith et ramener un artéfact à notre maître comme preuve que nous étions digne de lui. Fonceuse que j’étais devenu, je décidais de partir le jour-même. Malgré les risques et le danger présents dans ce lugubre endroit, j’étais loin de me douter que ce qui m’attendait à la surface… Serait bien pire.

En effet, les deux apprentis m’attendaient. Enfin, l’un d’eux m’attendait. L’autre gisait par terre et à en juger par le sang dans lequel il baignait, le meurtre était tout récent. Le survivant m’expliqua alors son plan : éliminer l’un de ses deux rivaux et attendre que l’autre sorte avec la relique avant qu’il ne subisse le même sort que le premier. S’attirer la gloire sans avoir à lever le petit doigt finalement. Trahison. Suis-je surprise ? Non. Cela me connaissait bien depuis ma plus tendre enfance. Il s’en suivit alors un combat, sans doute le premier véritable combat qui n’était pas programmé, qui n’était pas planifié. Un combat entre apprentis où un seul en sortirait vainqueur. S’il avait l’avantage dans le maniement du sabre, moi je le dominais au niveau de la maîtrise de la Force. Les éclairs ont jailli, le bruit caractéristique des lames s’entrechoquant résonna sur le parvis où nous étions, les coup bas aussi. Pourtant nul ne semblait prendre l’ascendant sur l’autre. Alors il me vint une idée. Je lui proposais de lui donner l’artéfact en échange de quoi, il me laissait la vie sauve et je quittais alors Korriban. Ma vie était importante, elle était précise. Je passais pour faible mais j’avais envie de vivre, d’être libre pour une fois. Malgré ses réflexions, il accepta, admettant qu’il n’aurait pas à dépenser inutilement son énergie. Sauf que lorsqu’il fut assez prêt pour s’emparer de l’objet tant convoiter, il eut le souffle coupé. Il se débattait. « Tu manques d’air ? » lui avais-je dit tout en ramassant en même temps son sabre. « Je ne pensais pas que tu te serais fait prendre ainsi. Mais rassures-toi. Tu ne feras cette erreur qu’une fois. » La souffrance qui se lut sur son visage fut quelque chose de vivifiant, presque orgasmique. Pour une fois, je ne serais pas celle qui se fera trahir.

Cette première victoire me permit d’accéder au titre de Darth. Je venais de devenir un Sith accompli. Je compris bien vite que mon maître avait tout fait pour que cela se passe ainsi. Il était satisfait et moi aussi. Chacun avait trouvé son compte. Je n’étais plus Astoria Va’arda, j’étais Darth Lyrel. J’avais à cette époque vingt-cinq ans.

« La trahison. Synonyme d’être humain. »

Suite à ma nomination, je suivais mon maître dans ses projets pour l’Ordre Sith. Les missions qu’il me confiait étaient de tout ordre mais je les réalisais avec brio. J’étais un Sith à par entière maintenant et non plus un apprenti. J’étais son second, son bras armé. Alors qu’il s’occupait de nouveaux apprentis, je parcourais l’univers afin d’accomplir mon devoir mais également pour retrouver cette liberté que j’avais perdu.

Sauf que pendant cette même période, je rencontrais un homme appelé Nalek. C’était un humain comme moi, qui profitait des événements pour s’enrichir en tant que contrebandier. Je me suis lié d’amitié avec lui et ce malgré tout mon enseignement de Sith. J’avais trouvé en lui, quelque chose que je n’avais trouvé nul part ailleurs. C’était la première fois que j’étais… « heureuse » de voir et de parler à quelqu’un. Les mois passant, nous nous sommes liés plus que de raison. Nous nous sommes d’ailleurs mariés dans le plus grand des secrets. Je construisais quelque chose en dehors de ce que je connaissais depuis plus de dix ans. Est-ce une joie ? oui. Est-ce une fierté ? Evidemment. Mais quand est-ce que je comprendrais enfin ? Je ne sais pas.

Alors que j’avais décidé finalement de présenter Nalek à mon maître en tant qu’allié de confiance dans l’expansion de l’Ordre de par ses contacts. Les choses tournèrent mal. Nous nous étions rendus au sanctuaire de Darth Baram sauf que je me retrouvais attaché dans un coin. Je compris que j’avais perdu connaissance et que finalement l’homme que je pensais connaître en était la cause. D’ailleurs son blaster pointait sur le front de mon maître traduisait bel et bien ce qu’il souhaitait faire. Il nous annonça une sinistre nouvelle : Nalek était en réalité un membre de la Résistance. Il était arrivé à se faire passer pour un contrebandier aux yeux de tous afin d’approcher des Sith influents afin de récolter des informations à leur sujet et si l’occasion se présentait… de les faire taire de façon définitive. Et c’est ce qu’il fit pour mon maître qui s’écroula sur le sol. Notre… histoire n’était qu’une couverture. Il était au courant depuis longtemps de mon identité et de ce que je représentais. C’était d’ailleurs pour cela qu’il s’était rapproché de moi. Néanmoins, il eut comme un excès de sympathie malsaine en m’indiquant que sa mission à mon égard ne venait pas de la Résistance mais de l’un des Seigneur Sith du Conseil sombre : Darth Crimson, dirigeant de la branche Information. J’avais connaissance des rivalités entre mon maître et ce seigneur mais j’étais loin de m’imaginer qu’il était allé jusqu’à employer un tel stratagème. Ce fut une nouvelle qui me brisa encore davantage. Décidément… La confiance, l’amour… C’était des choses futiles et viles. Elles ne sont présentes que pour faire espérer, que pour manipuler. Il fallait que cela cesse. Je voulais que cela cesse.

J’étais encore ligoté mais le noeud qui me retenait… n’était pas bien serré. Bougeant alors afin de desserrer les liens, je finis par faire tomber mes liens. Et alors qu’il se tournait vers moi, je me tenais debout à sa plus grande surprise. « Tu vas payer. » Et je déchainais mes éclairs sur le corps du malheureux qui fut mon mari. Sous la douleur, il m’avoua alors tout ce qu’il savait, qui il était, ce qu’il faisait, sa vie de famille bien rangée, ses enfants… J’allais détruire cet homme et tout ce à quoi il était attaché. J’en ai fait le serment et il allait en être le témoin. Mais je délaissais celui qui était finalement un inconnu pour venir auprès de mon maître qui n’allait pas tarder à s’éteindre.

J’avais toujours eu du respect mais également de l’admiration pour cet homme qui avait été ce qui peut s’apparenter finalement le plus à une figure bienveillante et protectrice. Pourtant quelque chose m’interpellait. Comment un Sith aussi puissant que lui avait-il pu se laisser ainsi avoir par ce Nalek. Et là, il m’avoua être au courant depuis longtemps de notre relation, de son identité mais également de ses plans ainsi que ses liens avec Darth Crimson. Etais-je la seule à être autant manipulée et dupée dans ces histoires ? La colère vint se déverser en moi comme un feu brûlant. Confiance. Plus jamais. D’ailleurs ma haine s’en retrouva renforcer lorsqu’il m’annonça avoir été l’investigateur des événements sur Tatooine. Il avait pressenti mon potentiel mais il fallait que je connaisse la douleur pour m’élever, pour devenir plus forte, pour que je devienne une incarnation de la noirceur de la Force. Il m’expliqua avoir profité de la cupidité de ma famille afin qu’elle me vende en tant qu’esclave. Encore une nouvelle de plus à encaisser. Mais quand cela cessera-t-il bon sang ?!

Finalement tout mon univers s’écroulait. J’avais envie de tout détruire, de tout raser. Et c’était apparemment ce que Darth Baram souhaitait. Que je devienne l’instrument des ténèbres. Je me souviens avoir mis fin à ces jours dans d’atroces souffrances, des souffrances trop courtes car il s’éteint avant que j’eus le temps de déverser toute ma rage. Ce qui restait, fut pour la famille de cet homme qui assista impuissant à la mort de sa femme et de ses quatre enfants. Mais il restait encore une part que je réservais pour Darth Crimson.

Cela me prit un an avant de pouvoir être certaine de mon coup, avant d’être certaine de pouvoir accomplir ma vengeance.

D’ailleurs je me souviens encore de l’expression de ce seigneur Sith par rapport au fait que je sois encore de ce monde. Il pensait que Nalek m’avait éliminé et que l’héritage de Darth Baram avait pris fin avec lui. C’était loin d’être le cas. Et puis j’incarnais aussi le désir de mon défunt maître à vouloir siéger au conseil sombre.

J’avais amassé tant de pouvoirs depuis ces dernières années. Ce fut un combat épique et violent. Sans doute le combat qui a consumé définitivement ma foi envers l’humanité et ce que j’étais. Lorsque son corps brûlé tomba sur le sol. Je venais de terminer mon véritable apprentissage. Je me nommerais à présent Darth Vespera, Seigneur Sith et membre du Conseil sombre en tant que dirigeante de la branche Information. J’avais trente-huit ans.

« Je ne suis pas impératrice, ni même reine. Mais c’est tout comme. »

Cela fait donc six ans que j’occupe le poste de dirigeant de la branche Information de l’Ordre Sith.  Si je dois faire le bilan de tout ce que j’ai traversé… je dirais qu’il est mitigé. Pourtant je ne suis plus que jamais satisfaite de ma situation. Est-ce qu’elle aurait pu être meilleure ou pire si j’avais fait des choix différents ? Sans doute mais cela ne m’importe que peu. Durant ces six dernières années, je me suis penchée de très près sur ma mission au sein de l’Ordre Sith. Et mes actions étaient tournées dans cette logique et dynamique. Je représentais la face cachée de cette force encore tapis dans l’ombre. Pendant cette période, j’ai établi quelques contacts et relations au sein des diverses instances de la Galaxie : je prenais des identités différentes pour chacun de mes contacts que je ne rencontrais jamais en personne. Cela était plus judicieux.

Néanmoins le Premier Ordre semble être l'instance tout indiquée pour les projets de l'Ordre Sith. J'ai eu l'occasion de... travailler avec eux si on peut dire lors de la destruction de l'Ordre Jedi sur Yavi IV étant moi-même en mission là-bas. Oh cela fut très court certes, mais cela m'a permis d'entrevoir une possibilité future. Néanmoins si je suis proche de mes amis, je le suis encore plus avec mes ennemis. J'ai envoyé alors plusieurs de mes espions infiltrés les rangs de ce nouvel ordre. Il me fallait des renseignements... Toujours être renseignée telle est ma devise.

Néanmoins une chose est sûre : je ne suis plus la même qu’autrefois. Je ne suis plus le serviteur, je suis le maître. Et même si j’ai des alliés à travers la galaxie, je sais que l’Ordre sera toujours au centre de mon existence. Je lui dois ma vie. Il a tout mon dévouement et ma loyauté. Mais que mes adversaires et ennemis soient sûrs d’une chose : je leur donnerais à tous l’occasion de contempler l’expression pure et véritable de la Force. La seule et unique voie. La seule qui leur permettra d’être réellement libre.  


Anecdotes

Centrées sur votre Personnage :


1. Anecdote sur votre personnage, ses habitudes de vie.
Qu’est-ce qu’elle fait pour occuper et remplir sa vie ? Et bien se débrouiller pour toujours pourrir davantage l’existence de la Résistance mais également de l’Ordre Jedi. Elle ne rate jamais une occasion pour leur mettre des bâtons dans les roues quelque que soit sa localisation dans la galaxie. Il faut dire que c’est l’un des devoirs de tout Sith qui se respecte mais la dirigeante de la branche Information est taillée pour cela : empêcher le monde de tourner en rond et ramener l’Ordre Sith dans sa gloire passée. Il n’est donc pas étonnant de savoir qu’elle se lève travail, elle pense travail, elle se douche travail, elle rêve travail. Enfin c’est caricaturale mais c’est un peu ça. Sinon elle peut se targuer d’être toujours présentable quelque soit la situation : être présentable - voire même être tirée à quatre épingles - est un fait immuable dans sa vie. Elle a également le sommeil très léger - reste de sa vie d’Apprentie - et n’a jamais montré une grande retenue dans l’usage de la Force.

2. Un événement marquant dans sa vie.
Un événement marquant ? C’est dur de n’en dire qu’un seul. Mais celui qui a sans doute changé à jamais Astoria fut lorsqu’elle apprit que si elle fut « enlevée » sur Tatooine en réduit en esclavage, ce fut seulement pour le bon loisir de ses parents qui avaient besoin d’argent. Cela a le don de vous mettre de suite en bons termes avec la sphère parentale. On pourrait également citer la trahison de son ex-mari : quand vous apprenez qu’il s’agit d’un agent double et qu’il a une vie de famille bien rangée… Cela vous porte forcément un coup à votre amour propre et tout ce qui s’en suit. D’où l’expression qu’elle adore placer : « The Force doesn’t fail. People fail. »

3. Quelques petits secrets, des trucs comme ça.
Des secrets ? Qui n’en a pas. Astoria la première. D’ailleurs elle ne parle que très peu - pour ne pas dire rarement - d’elle et de son passé préférant se concentrer sur le présent et l’avenir. Toutefois on peut quand même en citer un : Elle a été esclave sur Tatooine avant de devenir apprenti et nul ne le sait. Elle se garde bien de parler de son histoire et faire allusion à son passé provoque souvent ses foudres. Est-ce par pur envie de faire croire qu'elle vient d'un milieu aisé ? Ou alors parce qu'elle n'a tout simplement pas envie de se remémorer ce qu'elle a traversé ?

4. Accro à l'Holonet et à ses rumeurs ?
Commérage et être de sexe féminin ne veut pas tout dire ! Pourtant… il est vrai qu’elle porte toujours une très grande attention à ce qui est diffusé sur l’Holonet. Cela reste malgré tout son travail ! En charge de la branche Information, elle récolte toutes les données - qu’importe leur provenance - afin de s’assurer de ne rien laisser filtrer ou échapper à son attention. Après qu’elle y croit ou non, cela reste une autre affaire mais sachez que si vous lisez une « Fake News », soyez certains qu’elle y est plus ou moins liée.

5. Votre personnage a-t-il du changer d'orientation professionnelle ? (passer du civil au militaire...). Qu'en pense-t-il ?
Soyez en convaincu, on ne devient pas esclave par conviction et encore moins par vocation, à moins d’être fétichiste mais cela est encore une autre histoire. Mais Astoria a en effet connu un changement de « situation professionnelle » même de situation tout court lorsqu’elle fut retrouvée au milieu de cadavres. Elle fut « sauvée » de l’emprisonnement par un des membres de l’Ordre Sith. Depuis, elle a rejoint cet ordre au début en tant qu’apprentie maintenant en tant que Seigneur Sith siégeant au Conseil sombre.

6. Votre personnage est-il sensible à la Force ? Comment a-t-il accueilli cette nouvelle ? Quels sont ses projets face à cette révélation ?
Astoria sensible à quelque chose ? Bon non soyons sérieux quand même. La découverte de son affinité avec la Force est arrivée comme un boulet de destruction massive mais c’est également ce qui lui a sans doute sauvé la vie dans les tréfonds de Tatooine lorsqu’elle était en bien mauvaise posture et de nombreuses fois par la suite. Est-ce une bénédiction ou une malédiction ? Elle ne savait comment le qualifier au début maintenant elle considère que la Force fait parti intégrante de sa vie et qu’elle-même appartient à la Force. Le fait qu’elle soit rentrée en apprentissage lui a permis de comprendre milles et une facettes de cette puissance quasi mystique régissant tout ce qui se passe dans l’univers. Depuis la découverte de cette sensibilité, elle n’a cessé de la travailler afin de l’accroître. On peut dire même qu’elle a développé une certaine… addiction.

Centrées sur la TimeLine du Forum :


1. Comment se sent-il face au conflit ?
C’est dans la conception des choses d’Astoria que tout événement, aussi bons ou mauvais soit-il, il y a toujours quelque chose à en tirer. Et justement le fait que le Premier Ordre et la Résistance soient en conflit est une opportunité : pendant ce temps, l’Ordre Sith peut rassembler ses forces et croître à l’abri de tous. D’ailleurs, elle tend vers l’idée où lorsque deux ennemis s’affrontent, quelque soit le vainqueur à la fin, les deux en ressortent affaiblis. Et c’est justement à cet instant précis que l’Ordre pourra alors imposer sa domination sur toute la Galaxie comme par le passé. D’ailleurs bien qu’elle a tendance à s’allier avec le Premier Ordre dans la mesure où ils ont une vision quelque peu impérialiste, elle sait que le moment venu, il n’y aura que l’Ordre, le vrai qui comptera.

2. Comment votre personnage a-t-il rejoint les rangs du Premier Ordre/de la Résistance/des Hors-la-Loi/du mouvement citoyen ?
Astoria a rejoint les rangs de l’Ordre Sith dès qu’elle fut récupérée par celui qui devint son maître par la suite. Lui avait trouvé un apprenti avec une puissante affinité avec la Force et elle, une occasion de quitter sa condition d’esclave tout en échappant aux conséquences de la tuerie sur Tatooine. Si au début, elle pensait trouver une figure paternelle en son sauveur, elle ne trouva qu’un tyran qui noircit davantage son coeur déjà affecté par tant d’années de servitude. Cette noirceur n’a trouvé son écho que dans les ténèbres de la Force. C’était la seule chose qui importait son maître en vérité.

3. Quelle est l'opinion de votre personnage sur l'Ordre Sith, ou sur la rumeur de son retour suite aux événements (Intrigue I et Intrigue 2)
Si au début, elle ne voyait en cet ordre qu’une légende, elle considère maintenant ce dernier comme la solution unique pour la galaxie. Seul l’Ordre Sith pourra assurer l’équilibre galactrique. Ni la Résistance incarnant les espoirs vains de ce que fut la République, ni le Premier Ordre ne pourront accomplir un tel projet. Même si les événements ont secoué tous les camps de la Galaxie, Astoria n’en reste pas moins fidèle et loyale à l’Ordre Sith, que cela soit par conviction que par ses obligations.

4. Quels sont les projets et/ou les objectifs de votre personnage pour la suite ? (rejoindre un groupe, participer aux batailles, rechercher la Carte menant à Luke Skywalker, etc).
Les projets et objectifs d’Astoria sont évidemment tournées vers l’expansion de l’Ordre Sith. Bien qu’elle garde à l’esprit que l’Ordre n’est pas assez puissant et a encore besoin d’alliés, elle est bien décidée à user de toutes les ressources et moyens à sa disposition afin d’arriver vers le but ultime : la Suprématie de l’Ordre sur la galaxie comme ce fut le cas auparavant. Bien entendu travailler en concert avec le Premier Ordre est une chose qui coule de source. Néanmoins, Astoria jouera sur tous les tableaux : que ce soit en étant sur le front ou bien loin des regards de tous, en forgeant des alliances pour finalement les défaire… Elle n’a aucun soucis sur la forme et encore moins la manière tant que cela permettra de renforcer l’Ordre.


Inventaire

ARMES POSSÉDÉES :
Sabre laser, Cristal Kyber (Rouge) - 120 crédits : Reçu lorsqu'elle n'était encore qu'apprenti, ce sabre est la seule chose qui peut être considérée comme liée à sa vie d'antan. Cadeau de son maître, il est un objet chargé de souvenirs mais également de sang. (Visuel)
Armure légère : - 200 crédits Astoria possède cette armure depuis qu'elle a terminé son initiation et qu'elle est devenue un véritable Sith. Améliorée avec le temps, elle lui permet de pouvoir se mouvoir sans peine et non sans style. Les rares fois où elle quitte son armure, c'est quand elle ne travaille pas et quand on est Seigneur Sith, le travail... C'est tout le temps.
(Visuel)
Résistance physique - 100 crédits : L'armure d'Astoria est équipée d'une résistance physique qui lui permet d'être éviter quelques désagréments en combat. Et puis qu'importe le fait qu'on soit forceux ou non, se faire transpercer par une épée ou une dague n'a rien d'agréable.

VAISSEAUX POSSÉDÉS :
Aucun.

AUTRES POSSESSIONS :
Aucune.

COMPÉTENCES AU SABRE LASER :
Forme II, Makashi
Forme VII, Juyo
Forme IX, Shien So

COMPÉTENCES DE FORCE:
Seigneur Sith : Astoria maîtrise toutes les facultés universelles de la Force ainsi que celles liées à son côté obscur.
Pouvoir spécial : En tant que seigneur Sith, elle possède un pouvoir spécial appelé la restructuration mentale.

Compétences


25 PdC de Base
( 5 + 10 + 10)

Capacités Physiques :
FORCE : ▬▬▬▬▬
CONSTITUTION : ▬▬▬▬▬
DEXTÉRITÉ/ESQUIVE : ▬▬▬▬▬
DISCRÉTION : ▬▬▬▬▬
VIGILANCE : ▬▬▬▬▬

Compétences de Combat :
CORPS A CORPS : ▬▬▬▬▬
ARMES BLANCHES : ▬▬▬▬▬
ARMES A DISTANCE : ▬▬▬▬▬

Compétences Sociales :
CHARISME/REPRÉSENTATION SOCIALE : ▬▬▬▬▬
INGÉNIOSITÉ : ▬▬▬▬
MANIPULATION : ▬▬▬▬

Connaissances/Talents :
PILOTAGE : ▬▬▬▬▬
INGÉNIERIE : ▬▬▬▬▬
MÉDECINE : ▬▬▬▬▬
INFORMATIQUE : ▬▬▬▬▬
PROFESSION CIVILE : ▬▬▬▬▬

Capacités de la Force :
PERCEPTION : ▬▬▬▬▬
PROJECTION : ▬▬▬▬
SABRE LASER : ▬▬▬▬▬
POUVOIR SPÉCIFIQUE : ▬▬▬▬▬



Qui est derrière l'écran ?



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prénom : Damien
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comment as-tu découvert may the force ? : Topsite
souhaites-tu être parrainé ? : Oh oui xD

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Bienvenue !
Bon courage pour ta fiche Astoria Vaarda • To be someone  2915543885
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bienv'nue à toi ^^
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Bienvenue Astoria Vaarda • To be someone  3524612558 bon courage pour ta fiche Astoria Vaarda • To be someone  1561269905
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Bienvenue camarade ! Astoria Vaarda • To be someone  3529493525
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Roh merci à vous ! Vous êtes trop choux Astoria Vaarda • To be someone  2672899377
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Owh mon dieu.. charlize, sith, membre du conseil ; sith, membre du conseil, charlize. Astoria Vaarda • To be someone  2244762618 Ce personnage promet ! Bienvenue ici. Astoria Vaarda • To be someone  2370006649
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