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Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied
Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied Jeu 4 Mai - 23:54
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Raxa Hafmeyjan ft. Sofia Boutella 35 ans Dathomir (Dathomirienne) Mercenaire Hétérosexuelle Célibataire Caractérielle Analyste | Inventaire ARMES POSSÉDÉES :Un bâton de combat ▬ 5 crédits ▬ Une arme toute bête, mais Raxa la manie assez bien. C'est d'ailleurs la première arme qu'elle a appris à utiliser et elle est parfaite pour assomer les indésirables ou taper sur ce qui veut pas fonctionner. Une épée ▬ 30 crédits ▬ Parce que le baton ne fait pas tout, Raxa possède aussi une épée qu'elle a récupéré sur le marché, mais qu'elle a bricolé pour électrifier la lame. VAISSEAUX POSSÉDÉS : Navette-transport ▬ 250 crédits ▬ Le Stalkeur, son petit bébé comme elle aime bien l'appeler. C'était la navette de son mentor, et elle l'a gardé par la suite. C'est surement son bien le plus précieux et, grâce à Solea qui vit avec elle, il tient plutôt bien la route. Chasseur stellaire ▬ 200 crédits ▬ Le Jormungand II, son deuxième bien le plus précieux et modèle assez récent. Raxa l'a acquérit après avoir détruit son ancien chasseur et elle a promis de faire un peu plus attention à celui-là. AUTRES POSSESSIONS : Holo-caméra ▬ 30 crédits ▬ C'est toujours pratique d'en avoir un sur soi. Compétences Tout est expliqué ici (WWW). PHYSIQUE : FORCE : ▬▬▬▬ VITESSE : ▬▬▬▬ ENDURANCE : ▬▬▬▬ RÉSISTANCE : ▬▬▬▬ COMBAT : CORPS A CORPS : ▬▬▬▬ ARMES BLANCHES : ▬▬▬▬ ARMES A DISTANCE : ▬▬▬▬ PRÉCISION : ▬▬▬▬ INTELLECT : RÉFLEXION : ▬▬▬▬ CHARISME : ▬▬▬▬ NÉGOCIATION : ▬▬▬▬ INGÉNIOSITÉ : ▬▬▬▬ TECHNIQUES : PILOTAGE : ▬▬▬▬ ELECTRONIQUE/MÉCANIQUE : ▬▬▬▬ PISTAGE : ▬▬▬▬ INFORMATION : ▬▬▬▬ LA FORCE : PERCEPTION : ▬▬▬▬ PROJECTION : ▬▬▬▬ SABRE LASER : ▬▬▬▬ POUVOIR SPÉCIALE : ▬▬▬▬ SPÉCIALISATION SPÉCIALITÉ (NOM) : ▬▬▬▬ |
Informations Que dire de Raxa… Et bien en plus que l’on souhaite bien du courage pour la supporter, il y a de nombreuses choses à dévoiler à son sujet. Sa fierté ? Elle explose les plafonds et on est en droit de se demander comment elle fait pour encore réussir à faire tenir ses chevilles dans ses chaussures. Cette femme a une surestime de soi phénoménale et il est rare qu’elle se remette en question. Et ça, c’est sans compter sa mauvaise foi… Elle trouvera toujours une excuse pour prouver que ce n’est pas de sa faute et rejette constamment la faute sur les autres, même sur ceux qui n’ont rien demandé. Même quand ça frise le ridicule, Raxa refuse de prendre les responsabilités… Une véritable gamine. Cependant, il y a peut-être avec la mécano qu’elle finalement pris sous son aile que la mercenaire accepte un petit peu de se remettre en question. Elle peut bien faire un effort alors que c’est elle qui entretien son matériel ? Si on reste dans le domaine du quotidien, on se rend vite compte qu’elle est quelque peu peste. Raxa, c’est le genre de personne qui n’hésite pas à descendre les autres en flèche et qui n’a pas vraiment de considération pour ceux qui ne sont pas dans son estime. En fait, elle se fiche tout bonnement de ce qu’on pense d’elle, alors elle ne cherche pas forcément à bien se faire voir. Elle est franche, directe et se moque de la manière dont peut prendre ses propos. Il y a peut-être qu’avec de possibles employeurs qu’elle retient sa langue pour éviter de perdre une affaire intéressante. Ou quand elle négocie aussi, car il est hors de question qu’elle accepte quoi que ce soit sans avoir fait jouer l’affaire en sa faveur. À ces yeux, il est trop simple d’accepter sans avoir cherché à en profiter, alors elle passe toujours par la case négociation. C’est son côté joueur qui fait ça. Car oui, c’est aussi une compétitrice assez bonne joueuse et… spoiler, mauvaise perdante. Raxa est la première à aller prendre les paris ou à relever un défi. Alors autant dire que ça ne lui apporte pas que des bienfaits… Plutôt des ennuis quand elle finit par arnaquer les autres. Bon n’allez pas croire qu’il n’y a que du mauvais chez cette personne. Il est vrai que, lorsque l’on n’apprend pas à la connaître, en se fait vite une mauvaise opinion à son sujet et cela est compréhensible. Mais au fond, si vous êtes dans les bonnes grâces de Raxa, vous pouvez être sûr qu’elle ne vous laissera pas tomber et qu’elle sera d’un bon soutien. La mercenaire ne lâche pas ses amis et, bien qu’on la pense rustre, elle pense aussi à eux. Elle le fait juste à sa manière et de manière un peu bancale. Après tout, il y a bien Solea qu’elle a gardé à ses côtés alors qu’au début, elle ne s’intéressait qu’aux talents de la jeune femme. L’alien ne le montre pas forcément, mais il lui arrive de s’attacher aux gens sans rien attendre en retour. Ça peut sembler exceptionnel ou impossible, mais c’est déjà arrivé et ça continuera à se faire. En dehors de son sale caractère, qui cache quand même un petit bon fond, Raxa est une acharnée du travail. Elle va là où est l’argent et attention à vous si vous essayez de la devancer. Elle semble peut-être être une brindille, mais elle se fiche de se faire casser en deux pour avoir essayé de prendre les devants sur une mission. Elle déteste se faire rouler dans la farine et elle le fait bien savoir dans ce cas. Rater une mission n’est pas envisageable et elle préfère se casser en quatre pour réussir plutôt que baisser les bras, et ce, même si elle doit faire face à plus fort qu’elle. Raxa est une fonceuse, elle agit de manière impulsive, mais elle n’hésite pas à user de sa tête avant de faire quelque chose. Elle se garde de le dire, mais la plupart de ses actions son réfléchie et elle a pesé les conséquences avant. La mercenaire refuse de se faire casser le nez pour rien. | opinion Que pensiez-vous de la Nouvelle République avant sa destruction par le Premier Ordre ? Comment avez-vous réagi à sa destruction ? La Nouvelle République en elle-même, je m’en fichais un peu. C’était une manière de faire et je vivais ma vie à côté. Pourtant, je ne crachais pas dessus non plus. Ils avaient parfois de sympathiques missions et ça m’a d’ailleurs bien fait grincer les dents durant leur chute. J’avais un super contrat avec eux et ça allait me permettre de toucher un bon pactole. Presque de quoi super bien booster mon petit vaisseau chéri. Sauf que voilà, ces imbéciles se sont laissé battre et j’ai travaillé pour rien au final. La joie en quelque sorte. Pour vous, que représente le Premier Ordre ? Un nouveau pigeon qui possède un magnifique porte-monnaie ? Plus sérieusement, ils présentent de nouvelles opportunités de missions qui nous font empêcher notre salaire, alors pourquoi cracher dessus ? Je peux sans aucun problème travailler avec eux dans le cadre où l’on ne m’engage pas pour rien. Quel est votre point de vue sur la Recherche de la Carte menant à Luke Skywalker et de la Bataille de Theed ? (Intrigue II) C’est un bon moyen de se faire de l’argent. Tout le monde veut les fragments de cette carte, alors je ne vais certainement pas mettre de côté cette super opportunité de me remplir les poches. En plus, il faut bien que je partage avec Solea. En vérité, je me fiche des guerres que donnent cette recherche, mais j'imagine parfaitement la position dans laquelle je me retrouverais si je mettais la main sur un de ses fragments. Qui des deux camps sera prêt à payer le plus pour le récupérer ? Même si je ne suis pas non plus dupe et je me dit que cela me ferait possiblement avoir un petit contrat sur ma tête. D'après vous, qu'adviendra-t-il de la galaxie après ces récents événements ? Et bien… je serais tentée de répondre une galaxie ? Car même avec tout ce qu’il se passe, on ne changera pas la nature de celle-ci, ou alors nous sommes vraiment doué. Après, d’un point de vue géopolitique, je vais être franche et vous dire que je m’en intéresse autant que de la couleur des chaussettes du premier Jedi. Qu’importe ce que nous faisons dans la galaxie, on a toujours besoin de cette personne sans foi ni loi qui peut prêter son allégeance de manière temporaire et je suis ce type de personne. Alors pour moi, rien ne changera. À moins que l’on ouvre la chasse aux mercenaires. |
qui est derrière l'écran ? pseudo : Nîniel ou Cocci prénom : Soazig-Marie fréquence de connexion : Autan que je peux en fonction de mon moral qui adore imiter le yoyo comment as-tu découvert may the force ? : Alors, plus hasardeux que ça, je pense pas. C'est suite au CDG sur facebook et à toute l'histoire de la nuit dernière x) Puis Sihaya a craqué, et me voilà. |
BesidetheCrocodile pour May the Force
Re: Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied Jeu 4 Mai - 23:54
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my past does not define who i am now
Raxa n’est pas mon véritable prénom. Plus jeune, celui-ci était Raxacoricofallapatorius, mais personne ne m’appelle plus ainsi depuis longtemps. Je doute même que certaines de mes connaissances actuelles ne le connaissent. Mais c’était comme ça pour mes parents. Je ne sais pas ce qui leur a pris quand ils ont décidé de mon nom, mais j’ai eu le droit à cette rallonge de lettre presque imprononçable. Alors avec des amis, nous ne nous gênions pas pour le raccourcir, ainsi, lorsque je pris mon avenir en main en quittant ma planète natale pour vivre d’autres aventures, je devins « Raxa ». Juste Raxa Hamfeyjan. C’était bien plus court, plus simple à retenir et bien moins complexe à prononcer.
Ma naissance fut, disons…, pas des plus simples. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, je ne suis pas née sur Dathomir même. En fait, je suis née à bord d’un vaisseau, tandis que mes parents rentraient d’un long voyage. Déjà à l’époque, j’étais quelqu’un d’impatiente qui ne pouvait pas attendre mon heure tranquillement. Ce qu’ils faisaient hors de notre planète, on m’a appris plus tard qu’ils étaient en déplacement diplomatique. Mon père faisait partie de ces personnes qui arrangeaient des accords entre les planètes et ma mère usaient de ses compétences linguistiques. Un père diplomate, une mère interprète, rien ne pouvait présager que je deviendrais une mercenaire. Après, quelle était leur mission lors de ma naissance, je n’ai pas cherché à en savoir plus et ce n’est pas demain la veille que cela allait changer. Je préfère nettement me tourner vers le futur et non le passé. Alors pourquoi m’interroger sur des évènements passés qui n’allaient pas changer grand-chose dans ma manière de vivre ? En tout cas, je ne fus pas la plus difficile des enfants à l’époque. Bien au contraire, j’étais une gamine pleine de vie qui riait à tout et qui n’arrêtait pas de rêver de son futur. En aucun cas, la peste que je peux être aujourd’hui. Mon plus grand rêve à cette époque, c’était de pouvoir suivre mes parents dans l’espace. Quitter la planète pour aller découvrir l’immensité de la voie lactée. J’étais omnibulée par cette envie de savoir ce qu’il y avait là-bas et ce fut un peu ma ligne directive pendant ma croissance.
Cependant, je pouvais aussi être une gamine turbulente qui réussissait très bien à en faire voir de toutes les couleurs (sans jeu de mots) quand elle le voulait. Pour vous expliquer un peu, je ne me trouvais pas sur une planète des plus calme et il était hors de question que je me laisse marcher sur les pieds. Et malheureusement pour ceux qui me cherchaient, ils rencontraient bien vite mes deux meilleurs amis qui se trouvaient être Politesse et Courtoisie, gentiment incarné par mes deux poings. En venir aux bagarres d’enfants pouvait m’apporter des problèmes, mais au moins de m’imposer pour montrer qu’en rien, je n’étais faible. Et je ne vous cache pas que cela déplaisait tout de même à mes parents. Ils appartenaient à une délégation de diplomate, leur rôle étaient de discuter pour éviter les conflits, et leur fille unique réglait ses propres soucis par la violence. Il est vrai qu’ils y voyaient un léger problème. Mais cela ne m’empêchait pas d’être adorable à leurs yeux. Je jouais les dures à cuir dehors, mais quand j’étais avec eux, j’étais un véritable petit ange qui essayait de faire de son mieux.
Mon enfance fut dirigée de cette manière : partagée entre l’image de l’enfant modèle que je donnais à mes parents et celle de l’enfant bagarreuse auprès des autres de mon âge, ne supportant pas d’être rabaissée. À cette époque, j’aimais vivre au jour le jour, profitant de chaque instant pour grandir à ma façon, tout en cherchant continuellement un moyen de réaliser ce rêve que j’avais. Je devais avouer que j’étais un peu naïve à l’époque. Je pensais que, parce que mes parents passaient leur temps à voyager, je pourrais les suivre sans avoir rien à faire. Seulement voilà, tout n’était pas aussi simple et j’allais vite m’en rendre compte. Au début, je m’étais dit que suivre la voie de mes parents pouvaient être plutôt sympathique. Même si j’avais tendance à vite frapper, je comprenais l’intérêt des bases de la diplomatie, alors j’avais commencé à apprendre pour aller dans ce sens. Cela avait d’ailleurs bien fait rire mes amis. Le plus simple pour voyager aurait été de s’enrôler dans l’armée pour essayer de finir sur un de ces croiseurs, ou bien d’être pilote. Mais non, moi, je préférais taper haut avec la diplomatie. En même temps, lorsque l’on se trouve être la seule enfant d’une famille plutôt bien placé, pourquoi se contenter du simple ?
Ce fut durant mon adolescence, que cette route que je me traçais changea de manière assez radicale. À cette époque, je faisais un peu ce que les humains surnomment la crise d’adolescent. Je n’étais plus vraiment cette petite fille sage et espiègle qui cherchait à mettre en place tous les conseils de ses parents, mais plutôt la rebelle stéréotypée. Je ne cessais de m’embourber dans les ennuis, comme si cela ne suffisait jamais. En fait, j’étais jalouse de voir mes parents partir ainsi en mission tandis que moi, j’étais bloquée sur cette planète. Je voulais aussi découvrir cet espace qui se trouvait au-dessus de nous, mais mes parents préféraient que je me concentre sur cette voie que je semblais souhaité. Alors j’avais changé de tout au tout. Je ne voulais plus appartenir au monde de la diplomatie, préférant trouver un moyen d’accéder à ce rêve, bien naïf, par mes propres moyens. Cela créait des tensions, mais, développant ce sale caractère qui m’accompagne désormais, cela ne changeait rien dans les plans que je formais petit à petit. C’est ainsi que, je ne vous le cache pas, j’ai finalement quitté ma planète sur un coup de tête.
Zucza était le nom de celui qui allait tout changer. Il était un mercenaire de passage et j’avais été aussi impulsive que je pouvais l’être quand j’ai une idée derrière la tête. Le convaincre n’avait pas été des plus simple, mais à force d’argument, je devins son apprenti. Il allait m’apprendre ce métier de hors-la-loi, me prenant sous son aile pour que je devienne comme lui. Au début, il n’avait pas voulu d’une « enfant fétiche et capricieuse » à borde de son vaisseau, cependant, j’avais su faire preuve d’une assez grande force d’esprit et de persévérance et c’était ce côté tête de mule qui l’avait convaincu. Je lui avais prouvé que je n’avais pas qu’une lubie passagère et qu’il pourrait compter sur moi et ma volonté d’apprendre. Je devais peut-être ressembler à une enfant pourrie gâtée à ce moment, mais j’avais ce besoin de changer d’air pour évoluer et mûrir.
Le vaisseau de Zucza était comme ma nouvelle maison. C’était une simple navette de transport qu’il avait adapté à ses besoins, mais c’était désormais là que je vivais, m’imprégnant de l’apprentissage qu’il me fournissait. Je refusais de me laisser distancer par l’incompréhension et je me renforçais à chaque mise en situation de sa part. C’était dur, je prenais beaucoup et beaucoup auraient certainement abandonné, seulement, je refusais de baisser les bras et de me montrer faible. Je commettais des erreurs, mais j’apprenais à en tirer des leçons bien que cela me blesse dans mon ego. On ne me croyait pas crédible de temps en temps, mais j’apprenais à prouver le contraire à ceux qui me trouvaient bien trop jeune. Je devenais petit à petit la mercenaire que j’allais être, mais je m’étais aussi mise à développer mon plus gros défaut. Réussissant à tenir le rythme et découvrant que cela me plaisait, je m’étais mise à beaucoup me surestimer et vite dénigrer le reste. Je ne pensais qu’à ce qui m’entourait et pas réellement au reste, mais je n’y voyais pas de réels problèmes.
Pourtant, ce fut cette surestime de moi qui causa la mort de Zucza. Il essayait de m’enseigner un peu d’humilité et d’arrêter de tout prendre avec hauteur, mais je n’arrivais pas à faire preuve de modestie. J’aimais trop faire preuve de cynisme et c’était toujours plus fort que moi. J’arrivais à faire un effort pour assimiler la leçon pendant quelques minutes, mais il était tellement facile de me faire sortir du droit chemin qui mène à la modestie, et c’était cette facilité à me faire reprendre trop confiance en moi qui me fis enchaîner des erreurs fatales. Sur le plan, c’était une mission toute simple, comme on en avait déjà effectué en duo à plusieurs reprises. J’avais mon habituelle assurance et trop plein de confiance et, cela me semblait si simple, que je ne prenais pas toute les mises en garde aux sérieuses. Alors quand la mission se transforma en catastrophe suite à un piège, je me mis à faire les mauvais choix et cela mena à la mort de mon mentor. Un tir perdu mit fin aux jours de Zucza et j’aurais pu y rester aussi si je n’avais pas réussi à fuir.
Je me trouvais désormais seule dans le Stalkeur, la navette du Zucza. En revenant à son bord, j’avais considéré qu’elle me revenait et, ce que je trouvais presque effrayant, était cette absence de peine pour la perte de celui qui m’avait appris nombre de chose. C’était comme si je n’étais pas vraiment affectée par celle-ci, comme si j’avais immédiatement tourné la page. Il me restait parfois des habitudes où je me disais qu’il était toujours là, mais je ne ressentais aucune peine quand je me souvenais que non, j’étais désormais celle aux commandes.
Cependant, le destin n’allait pas me faire rester seul bien longtemps. Peut-être suffisamment pour m’affermir dans ma méprise des autres, mais je n’étais pas du genre à aller me mélanger d’un point de vue social. J’étais abrupte, mais je côtoyais de temps à autre la civilité, que ce soit pour recevoir des contrats, ou bien pour des raisons bien plus larges. Et ce fut lors d’une de ces autres raisons que je fis la rencontre de Solea. Je m’étais posée sur sa planète pour faire réparer le vaisseau et j’en profitais pour laisser traîner mes oreilles un peu partout. La curiosité était bel et bien un vilain défaut et chez moi, il était presque aussi gros que mon manque de modestie. Alors comment ne pas jouer les intéressés quand les parents de Solea me parlèrent d’un objet rare en leur possession et dont la valeur ne pouvait qu’éveiller mon sens de la négociation ? Seulement, je venais de me faire magnifiquement rouler dans la farine et il était hors de question que je reparte sans demander réparation. Je détestais que l’on me fasse l’affront de me prendre pour un lapin de trois semaines, et c’était exactement ce que venait de faire ce couple. Mais si je m’étais attendu à la suite de leurs actes… J’aurais peut-être mis ma fierté de côté à ce moment-là, et rien demandé. Heureusement, aujourd’hui, je ne le regrette nullement.
Je me retrouvais avec une ado sur les bras. Je demandais à ce que l’on me rembourse ma perte de temps et la famille de Solea n’avait rien trouvé de mieux que de me la refiler. J’avais hésité à la laisser sur sa planète au début, n’ayant nullement besoin de partager ma vie avec quelqu’un, mais j’y voyais un petit avantage. Malgré son âge, la gamine avait des connaissances en mécano et pouvait me donner un coup de main sur le vaisseau… Surtout qu’avec ma tendance à foncer tête baissée, je n’allais pas cracher sur des compétences supplémentaires. Et, bien étrangement, même si au début, j’avais tendance à la traiter comme une moins-que-rien, j’avais commencé à m’attacher à elle. Ça ne me ressemblait pas vraiment, mais nos prises de têtes quotidiennes m’amusaient et elle marquait régulièrement des points dans mon estime. Je ne le montrais pas vraiment, mais je veillais sur elle et elle m’aidait à être un peu moins… Ours des cavernes. Je m’ouvrais peu à peu avec elle et Solea devint plus une associée que la gamine gênante qu’elle pensait avoir récupérée au début de leur aventure.
Entre nous, je ne vous cache pas que le reste est rempli de bien trop d’aventure pour avoir le temps de tout raconter. Entre les missions et ma vie dans l’espace, je n’ai jamais cessé d’avoir des histoires à conter, mais que je ne raconterais pas réellement. Je me fiche que les autres sachent ce que j’ai vécu ou non. Chacun possède sa propre vie et je vis la mienne au rythme de l’univers. Il y a beau avoir des camps et des alliances qui se formaient au sein de l’univers, j’allais – et je continue d’allée – là où l’argent m’appelle. Il m’arrive de faire des rencontres plus ou moins énervantes, mais c’est ce qui rend la vie si amusante après tout. Et si les choses changent, ma manière d’être ne bouge pas d’un iota et je continue de mener ma propre aventure. Encore aujourd’hui, je continue de voyager dans le vaisseau de Zucza qui continue de tenir la route grâce aux bons soins de Solea. Et puis je n’oublie jamais certaines de mes rencontres, même si j’ai nettement trop tendance à parler avec mes poings qu’avec autre chose.
Ma naissance fut, disons…, pas des plus simples. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, je ne suis pas née sur Dathomir même. En fait, je suis née à bord d’un vaisseau, tandis que mes parents rentraient d’un long voyage. Déjà à l’époque, j’étais quelqu’un d’impatiente qui ne pouvait pas attendre mon heure tranquillement. Ce qu’ils faisaient hors de notre planète, on m’a appris plus tard qu’ils étaient en déplacement diplomatique. Mon père faisait partie de ces personnes qui arrangeaient des accords entre les planètes et ma mère usaient de ses compétences linguistiques. Un père diplomate, une mère interprète, rien ne pouvait présager que je deviendrais une mercenaire. Après, quelle était leur mission lors de ma naissance, je n’ai pas cherché à en savoir plus et ce n’est pas demain la veille que cela allait changer. Je préfère nettement me tourner vers le futur et non le passé. Alors pourquoi m’interroger sur des évènements passés qui n’allaient pas changer grand-chose dans ma manière de vivre ? En tout cas, je ne fus pas la plus difficile des enfants à l’époque. Bien au contraire, j’étais une gamine pleine de vie qui riait à tout et qui n’arrêtait pas de rêver de son futur. En aucun cas, la peste que je peux être aujourd’hui. Mon plus grand rêve à cette époque, c’était de pouvoir suivre mes parents dans l’espace. Quitter la planète pour aller découvrir l’immensité de la voie lactée. J’étais omnibulée par cette envie de savoir ce qu’il y avait là-bas et ce fut un peu ma ligne directive pendant ma croissance.
Cependant, je pouvais aussi être une gamine turbulente qui réussissait très bien à en faire voir de toutes les couleurs (sans jeu de mots) quand elle le voulait. Pour vous expliquer un peu, je ne me trouvais pas sur une planète des plus calme et il était hors de question que je me laisse marcher sur les pieds. Et malheureusement pour ceux qui me cherchaient, ils rencontraient bien vite mes deux meilleurs amis qui se trouvaient être Politesse et Courtoisie, gentiment incarné par mes deux poings. En venir aux bagarres d’enfants pouvait m’apporter des problèmes, mais au moins de m’imposer pour montrer qu’en rien, je n’étais faible. Et je ne vous cache pas que cela déplaisait tout de même à mes parents. Ils appartenaient à une délégation de diplomate, leur rôle étaient de discuter pour éviter les conflits, et leur fille unique réglait ses propres soucis par la violence. Il est vrai qu’ils y voyaient un léger problème. Mais cela ne m’empêchait pas d’être adorable à leurs yeux. Je jouais les dures à cuir dehors, mais quand j’étais avec eux, j’étais un véritable petit ange qui essayait de faire de son mieux.
Mon enfance fut dirigée de cette manière : partagée entre l’image de l’enfant modèle que je donnais à mes parents et celle de l’enfant bagarreuse auprès des autres de mon âge, ne supportant pas d’être rabaissée. À cette époque, j’aimais vivre au jour le jour, profitant de chaque instant pour grandir à ma façon, tout en cherchant continuellement un moyen de réaliser ce rêve que j’avais. Je devais avouer que j’étais un peu naïve à l’époque. Je pensais que, parce que mes parents passaient leur temps à voyager, je pourrais les suivre sans avoir rien à faire. Seulement voilà, tout n’était pas aussi simple et j’allais vite m’en rendre compte. Au début, je m’étais dit que suivre la voie de mes parents pouvaient être plutôt sympathique. Même si j’avais tendance à vite frapper, je comprenais l’intérêt des bases de la diplomatie, alors j’avais commencé à apprendre pour aller dans ce sens. Cela avait d’ailleurs bien fait rire mes amis. Le plus simple pour voyager aurait été de s’enrôler dans l’armée pour essayer de finir sur un de ces croiseurs, ou bien d’être pilote. Mais non, moi, je préférais taper haut avec la diplomatie. En même temps, lorsque l’on se trouve être la seule enfant d’une famille plutôt bien placé, pourquoi se contenter du simple ?
Ce fut durant mon adolescence, que cette route que je me traçais changea de manière assez radicale. À cette époque, je faisais un peu ce que les humains surnomment la crise d’adolescent. Je n’étais plus vraiment cette petite fille sage et espiègle qui cherchait à mettre en place tous les conseils de ses parents, mais plutôt la rebelle stéréotypée. Je ne cessais de m’embourber dans les ennuis, comme si cela ne suffisait jamais. En fait, j’étais jalouse de voir mes parents partir ainsi en mission tandis que moi, j’étais bloquée sur cette planète. Je voulais aussi découvrir cet espace qui se trouvait au-dessus de nous, mais mes parents préféraient que je me concentre sur cette voie que je semblais souhaité. Alors j’avais changé de tout au tout. Je ne voulais plus appartenir au monde de la diplomatie, préférant trouver un moyen d’accéder à ce rêve, bien naïf, par mes propres moyens. Cela créait des tensions, mais, développant ce sale caractère qui m’accompagne désormais, cela ne changeait rien dans les plans que je formais petit à petit. C’est ainsi que, je ne vous le cache pas, j’ai finalement quitté ma planète sur un coup de tête.
Zucza était le nom de celui qui allait tout changer. Il était un mercenaire de passage et j’avais été aussi impulsive que je pouvais l’être quand j’ai une idée derrière la tête. Le convaincre n’avait pas été des plus simple, mais à force d’argument, je devins son apprenti. Il allait m’apprendre ce métier de hors-la-loi, me prenant sous son aile pour que je devienne comme lui. Au début, il n’avait pas voulu d’une « enfant fétiche et capricieuse » à borde de son vaisseau, cependant, j’avais su faire preuve d’une assez grande force d’esprit et de persévérance et c’était ce côté tête de mule qui l’avait convaincu. Je lui avais prouvé que je n’avais pas qu’une lubie passagère et qu’il pourrait compter sur moi et ma volonté d’apprendre. Je devais peut-être ressembler à une enfant pourrie gâtée à ce moment, mais j’avais ce besoin de changer d’air pour évoluer et mûrir.
Le vaisseau de Zucza était comme ma nouvelle maison. C’était une simple navette de transport qu’il avait adapté à ses besoins, mais c’était désormais là que je vivais, m’imprégnant de l’apprentissage qu’il me fournissait. Je refusais de me laisser distancer par l’incompréhension et je me renforçais à chaque mise en situation de sa part. C’était dur, je prenais beaucoup et beaucoup auraient certainement abandonné, seulement, je refusais de baisser les bras et de me montrer faible. Je commettais des erreurs, mais j’apprenais à en tirer des leçons bien que cela me blesse dans mon ego. On ne me croyait pas crédible de temps en temps, mais j’apprenais à prouver le contraire à ceux qui me trouvaient bien trop jeune. Je devenais petit à petit la mercenaire que j’allais être, mais je m’étais aussi mise à développer mon plus gros défaut. Réussissant à tenir le rythme et découvrant que cela me plaisait, je m’étais mise à beaucoup me surestimer et vite dénigrer le reste. Je ne pensais qu’à ce qui m’entourait et pas réellement au reste, mais je n’y voyais pas de réels problèmes.
Pourtant, ce fut cette surestime de moi qui causa la mort de Zucza. Il essayait de m’enseigner un peu d’humilité et d’arrêter de tout prendre avec hauteur, mais je n’arrivais pas à faire preuve de modestie. J’aimais trop faire preuve de cynisme et c’était toujours plus fort que moi. J’arrivais à faire un effort pour assimiler la leçon pendant quelques minutes, mais il était tellement facile de me faire sortir du droit chemin qui mène à la modestie, et c’était cette facilité à me faire reprendre trop confiance en moi qui me fis enchaîner des erreurs fatales. Sur le plan, c’était une mission toute simple, comme on en avait déjà effectué en duo à plusieurs reprises. J’avais mon habituelle assurance et trop plein de confiance et, cela me semblait si simple, que je ne prenais pas toute les mises en garde aux sérieuses. Alors quand la mission se transforma en catastrophe suite à un piège, je me mis à faire les mauvais choix et cela mena à la mort de mon mentor. Un tir perdu mit fin aux jours de Zucza et j’aurais pu y rester aussi si je n’avais pas réussi à fuir.
Je me trouvais désormais seule dans le Stalkeur, la navette du Zucza. En revenant à son bord, j’avais considéré qu’elle me revenait et, ce que je trouvais presque effrayant, était cette absence de peine pour la perte de celui qui m’avait appris nombre de chose. C’était comme si je n’étais pas vraiment affectée par celle-ci, comme si j’avais immédiatement tourné la page. Il me restait parfois des habitudes où je me disais qu’il était toujours là, mais je ne ressentais aucune peine quand je me souvenais que non, j’étais désormais celle aux commandes.
Cependant, le destin n’allait pas me faire rester seul bien longtemps. Peut-être suffisamment pour m’affermir dans ma méprise des autres, mais je n’étais pas du genre à aller me mélanger d’un point de vue social. J’étais abrupte, mais je côtoyais de temps à autre la civilité, que ce soit pour recevoir des contrats, ou bien pour des raisons bien plus larges. Et ce fut lors d’une de ces autres raisons que je fis la rencontre de Solea. Je m’étais posée sur sa planète pour faire réparer le vaisseau et j’en profitais pour laisser traîner mes oreilles un peu partout. La curiosité était bel et bien un vilain défaut et chez moi, il était presque aussi gros que mon manque de modestie. Alors comment ne pas jouer les intéressés quand les parents de Solea me parlèrent d’un objet rare en leur possession et dont la valeur ne pouvait qu’éveiller mon sens de la négociation ? Seulement, je venais de me faire magnifiquement rouler dans la farine et il était hors de question que je reparte sans demander réparation. Je détestais que l’on me fasse l’affront de me prendre pour un lapin de trois semaines, et c’était exactement ce que venait de faire ce couple. Mais si je m’étais attendu à la suite de leurs actes… J’aurais peut-être mis ma fierté de côté à ce moment-là, et rien demandé. Heureusement, aujourd’hui, je ne le regrette nullement.
Je me retrouvais avec une ado sur les bras. Je demandais à ce que l’on me rembourse ma perte de temps et la famille de Solea n’avait rien trouvé de mieux que de me la refiler. J’avais hésité à la laisser sur sa planète au début, n’ayant nullement besoin de partager ma vie avec quelqu’un, mais j’y voyais un petit avantage. Malgré son âge, la gamine avait des connaissances en mécano et pouvait me donner un coup de main sur le vaisseau… Surtout qu’avec ma tendance à foncer tête baissée, je n’allais pas cracher sur des compétences supplémentaires. Et, bien étrangement, même si au début, j’avais tendance à la traiter comme une moins-que-rien, j’avais commencé à m’attacher à elle. Ça ne me ressemblait pas vraiment, mais nos prises de têtes quotidiennes m’amusaient et elle marquait régulièrement des points dans mon estime. Je ne le montrais pas vraiment, mais je veillais sur elle et elle m’aidait à être un peu moins… Ours des cavernes. Je m’ouvrais peu à peu avec elle et Solea devint plus une associée que la gamine gênante qu’elle pensait avoir récupérée au début de leur aventure.
Entre nous, je ne vous cache pas que le reste est rempli de bien trop d’aventure pour avoir le temps de tout raconter. Entre les missions et ma vie dans l’espace, je n’ai jamais cessé d’avoir des histoires à conter, mais que je ne raconterais pas réellement. Je me fiche que les autres sachent ce que j’ai vécu ou non. Chacun possède sa propre vie et je vis la mienne au rythme de l’univers. Il y a beau avoir des camps et des alliances qui se formaient au sein de l’univers, j’allais – et je continue d’allée – là où l’argent m’appelle. Il m’arrive de faire des rencontres plus ou moins énervantes, mais c’est ce qui rend la vie si amusante après tout. Et si les choses changent, ma manière d’être ne bouge pas d’un iota et je continue de mener ma propre aventure. Encore aujourd’hui, je continue de voyager dans le vaisseau de Zucza qui continue de tenir la route grâce aux bons soins de Solea. Et puis je n’oublie jamais certaines de mes rencontres, même si j’ai nettement trop tendance à parler avec mes poings qu’avec autre chose.
BesidetheCrocodile pour May the Force
Re: Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied Jeu 4 Mai - 23:56
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mettre la main à la pâte, tout un art...
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BesidetheCrocodile pour May the Force
Re: Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied Ven 5 Mai - 0:01
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Bienvenue parmi nous mercenaire
Re: Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied Ven 5 Mai - 0:19
Kara Aryss
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Bienvenue officiellement bon courage pour ta fiche :nion:
Re: Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied Ven 5 Mai - 8:36
Arthur Lawson
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Bon craquage, j'aime beaucoup
Bonne chance pour ta fiche !
J'adore l'actrice et ses peintures sur la troooonches !
N'hésite pas si tu as des questions !
Re: Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied Ven 5 Mai - 8:49
Meetra Thek
JEDI
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Avatar : Alycia Debnam-Carey
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℘ Flashback : Mivzsa #1 ; Ralkorb #5
℘ Actual time : Galen #3 ► Cullen#1 ► Ralkorb #6 ► Zeon #5 ► Gabriel #2 ► Ralkorb #7 ; Devon #3
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Super choix de vava ^^
Bienv'nue à toi ^^
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Re: Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied Ven 5 Mai - 13:29
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Bienvenue officiellement
Bon courage pour ta fiche et éclate-toi bien parmi nous
Bon courage pour ta fiche et éclate-toi bien parmi nous
Re: Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied Ven 5 Mai - 17:26
Invité
Invité
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Yaaaaah! Je rêvais de voir quelqu'un prendre cet avatar
Bienvenue! Hâte de lire ta fiche, bon courage!
Je viendrai sûrement te réclamer un lien!
Bienvenue! Hâte de lire ta fiche, bon courage!
Je viendrai sûrement te réclamer un lien!
Re: Raxa — Je suis comme une épine d'oursin dans ton pied Lun 8 Mai - 10:54
Arthur Lawson
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Holopad
Avatar : Tom Holland.
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suis-je riche ?
le fric, ça rend méchant. moi, c'est différent j'suis né dans le luxe, c'est mon élément.
POUR VOUS MERCENAIRE QUI FAIT PEUR.
BesidetheCrocodile pour May the Force