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Étincelles, mécanique et psychologie - Jill

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Affalé sur le carrelage de la cuisine de la Mandalorienne, la tête contre son épaule, Errol mastiquait avidement un cookie, le regard perdu sur les étendues métalliques du plafond. Il se sentait d'attaque pour aller dormir un peu et affronter avec plus de sérénité son quotidien. Baisser les bras ? C'était hors de questions, il lui serait impossible de revenir à une simple vie de mécanicien. Il pouvait se préparer d'avantage par contre, s’entraîner encore et encore jusqu'à devenir relativement doué dans ses affaires, et si la plaie devait saigner toujours à chaque fois qu'il était confronté au vrai monde, il pourrait tout de même se regarder dans une glace le jour venu où la faucheuse l'emmènerait avec lui. Que pouvait-il faire d'autre, de toutes façons ? Se battre ? Rejoindre la Résistance, essayer de se montrer digne des Mando ? Nan. Il avait horreur de se battre, parce que cela signifiait se battre contre lui même. Il ne pouvait s'empêcher de faire preuve d'empathie, même avec les pires ordures, qui avaient toujours de bonnes raisons de faire ce qu'elles faisaient, dans un sens, si on essayait de se mettre dans leur tête. Et la douleur était universelle, il la sentait chez les autres comme chez lui, c'est ce qui rendait tout l'affaire aussi difficile.Tuer, oui, il avait du tuer. Sacrifier une vie pour en protéger une autre. Mais il n'en parlait pas, jamais. Même ivre mort, même en manque de Ryll comme c'était le cas ce soir. Pas directement. Ces ombres le suivaient en silence, venaient le hanter parfois au détour d'une conversation. Il portait le poids de la culpabilité. Il faisait ce que les autres ne voulaient pas faire, il devait être prêt à en payer le prix. Et puis, Jill venait de lui prouver de la plus belle des manières qu'il pourrait compter sur elle. Cela le touchait, vraiment, même s'il n'était pas tout à fait en état de lui dire. Même s'il culpabilisait de l'avoir mise dans cette obligation, de l'avoir poussé à faire tout ça.
Sa réflexion fut interrompue par la voix de Jill, qui se décidait à se confier sur un sujet qu'elle avait éludé plus tôt dans la soirée, mais dont ils n'avaient jamais parlé. Ses proches. Il savait qu'elle était homosexuelle, c'était le genre d'infos qu'elle préférait sûrement donner rapidement à un homme de son entourage, lui explicitant le fait qu'il ne se passerait jamais rien entre eux. Il l'avait admirée pour ça, pour cette facilité à lui dire, quand il supposait qu'un certain nombre de personnes comme elle préféraient se taire et éluder la chose. C'était bien. Et il était sûr que leur relation ne risquait jamais de virer à autre chose, que ce ne serait qu'une belle amitié, un amour désintéressé et platonique. Elle commença par lui parler du fait qu'être une Mandalorienne tenait beaucoup les gens à l'écart. Il eut un petit sourire. Il fallait avoir envie d'essayer de voir au delà d'une armure de guerrier, ce n'était pas donné à tout le monde, d'autant qu'une certaine réputation allait avec. Les Mandaloriens étaient un peuple à part, qui transcendait les espèces, qui avait sa culture, ses codes, et son histoire. Histoire pas toujours rose, c'était vrai, mais cela allait de soi pour un peuple de guerriers. Il la laissa poursuivre sans s'exprimer toutefois, car quoi qu'il dise, elle l'aurait déjà entendu, elle le savait. Elle en faisait le simple constat, pur, sans reproches. Ses parents. Ouais, jusque là, c'était l'entourage d'un grand nombre de personnes. A ceci près qu'elle était adoptée, elle n'en était pas moins leur fille. Et c'était une bonne chose qu'elle puisse s'appuyer sur eux. Elle lui parla d'une fille aussi, une Mandlorienne, qui avait été tuée par le Premier Ordre. Le visage du Corellien se figea, fermé. Il reprit un cookie et l'engloutit aussi sec, préférant se concentrer là dessus plutôt que de voir rejaillir des images dans sa tête. Ça marcha, car Jill continua avec une information plus surprenante. Chiss. Premier Ordre. Dispute. Réconciliation. Compliqué. Ouais, tu m'étonnes. Il avait rencontré une Chiss aussi, qui l'avait sauvé sur Corellia. Mais la probabilité qu'il s'agisse de la même personne était quasiment négative. Il n'y croyait pas, en tout cas. Le voleur déglutit, et prit la parole, enfin. « Je ne connais personne du Premier Ordre, pas vraiment, j'aurais du mal à juger. Logiquement... Il y a des cons partout, et des gens biens partout. Après, ils ont... quand même fait Hasnian IV quoi. » Oups. Tenter de se rattraper. « Mais pas tous, bien entendu. Y en a qui se battent pour un idéal aussi. C'pas le mien, d'accord, mais c'est quelque chose que je respecte. Tout ça pour dire que ce serait bien que ça marche. Que je serais content pour toi, en tout cas. Parce que tu le mérites. Si par contre, ce n'est pas quelqu'un qui te mérite... Alors j'irai foutre le bordel chez elle comme jamais. Comme si ce soir, c'était vraiment que du pipi de chat. »
Jill lui proposa d'aller dormir autre part que sur le carrelage froid. Il était bien, là d'un côté. Ce serait un peu dur, certes, mais il n'en était pas à ça près. D'un autre côté, un canapé, c'était juste le top du top de ce qu'il pouvait espérer pour finir la soirée. Il hocha la tête et se retint de prendre un dernier cookie. « Va pour le canapé. » Ils se levèrent, et Errol parvint à se traîner jusqu'au dit canapé, où il s'effondra dans un râle de bonheur. Il se mit sur le dos, et prit la main de son amie. « Merci Jill. Pour tout ça. Je... serai toujours là pour toi, oublie pas... » Ses paupières se faisaient lourdes, et il s'endormit subitement. Demain, la journée serait rude. F4 à réparer, l'atelier à ranger... Et ne pas oublier de s'excuser encore platement devant son amie. Parce qu'il n'était pas tout à fait certain de la mériter.
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Errol avait raison, dans le fond. Y’avait des cons partout, quelle que soit la faction. Ca n’empêchait pas que les idéologies respectives à chacune d’entre elles aie tendance à encourager la connerie, ou au contraire à la repousser. De cette façon, Jill continuait de détester le Premier Ordre pour toutes les raisons de la Galaxie parce qu’il formatait sa population à des idéaux, et plus encore, à des pratiques haïssables. Pour autant elle savait apprécier les quelques personnes qui échappaient à cette doctrine froide et sans âme, ceux qui savaient remettre en question les décisions d’en haut.
La Nouvelle République avait tendance à émettre un message d’ouverture et de paix, mais les politiciens étaient bien souvent une classe de population corrompue et trop avide de pouvoir pour suivre avec honnêteté les lignes directrices du régime.

Même chez les Mandaloriens, elle aurait son mot à dire. Mais elle avait déjà évoqué la situation avec suffisamment de profondeur pour ne plus s’y attarder.

T’inquiètes, t’auras surement pas besoin de foutre le bordel chez elle.

Enfin. Dormir. Bouger jusqu’au canapé ne fut pas une mince affaire, mais maintenant qu’il y était, Errol ne bougerait certainement plus. Jill, elle, lorgnait déjà sur son propre lit, posté en hauteur au dessus d’un bureau recouvert de dessins, de plans et autres petits bricolages.
Elle serra la main d’Errol dans la sienne, parce que son message la touchait. Elle ? Elle n’avait fait que son devoir : Soutenir ses vode, veiller sur son entourage. Dans le fond, soigner ses amis, c’était aussi se soigner elle. Que son ami sombre dans l’alcool ou la drogue, c’était un problème pour lui, mais aussi pour ceux qui restaient impuissants face à sa chute. Alors quelque part, si elle l’aidait lui, elle s’aidait elle aussi.

Enfin, elle lui sourit et le laissa s’endormir en paix. Silencieusement, elle se hissa sur son matelas pour y retirer quelques autres pièces d’armure et s’effondrer d’un sommeil profond et dépourvu de rêves.

zzz.


Ils s’étaient endormis tard, et Jill avait dormi comme une vraie brique. L’un de ses grands défauts : Son sommeil était plus lourd qu’un bantha obèse. Généralement, en terrain hostile, elle était obligée de programmer des alarmes pour être réveillée en cas d’urgence. Sinon… Rien ne garantissait qu’elle ouvre l’oeil. Rien.
Malgré tout, elle n’avait pas besoin de tant d’heures que ça sous la couette. Elle avait l’habitude de se lever aux aurores. Ce ne fut pas le cas en cette matinée, mais elle n’eut aucun souci à se lever sur ses deux pieds alors qu’Errol bavait encore sur son canapé. Elle avait probablement le temps de se doucher et d’enfiler son armure avant qu’il ne se lève. Probablement. Pas qu’elle le sous estime à ce point, mais elle espérait ne pas le réveiller par erreur alors qu’il se reposait enfin.

Routine matinale, suivie par le tintement de la vaisselle qu’on sortait des placards. Selon elle, les deux méritaient un bon petit déjeuner. Elle craignait que leurs entrailles ne leur fassent payer les affronts de la veille tôt ou tard, alors autant tasser le tout avec de la bonne bouffe ! Et puis même si le Corellien ne mangeait pas, personne n’empêchait Jill de se goinfrer. Personne.

Bientôt, elle en était à se faire un œuf au plat avec du bacon de Nerf qu’elle avait réussi à chiper au magasin de la Station avant que tout le monde ne se jette dessus. Les tranches crépitaient sur la poêle, et elle surveillait son ami du coin de l’oeil. Elle espérait qu'il allait mieux.
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Errol s'endormit telle une pierre sur le canapé de Jill, sombrant immédiatement dans un sommeil profond. Il bougea peut-être, ronfla sûrement, et passa probablement un certain temps à marmonner des phrases sans queue ni tête pendant la nuit. Cela faisait des semaines qu'il n'avait pas dormi aussi bien, et le réveil, aussi doux fut-il, Jill tentant de faire le moins de bruit possible, le ramena à la réalité de manière abrupte. Il avait des travaux douloureux dans son crâne, à coups réguliers de pioche, et sa vision mit quelques minutes à se stabiliser tout à fait. L'alcool était parti, mais il lui avait laissé quelques séquelles pour qu'il s'en souvienne. Errol poussa un gémissement sourd et enfouit sa tête dans l'oreiller, comme s'il voulait s'y enfouir pour ne plus voir la lumière, plus jamais. Dans ses veines, l'appel de Ryll se faisait sentir à nouveau, et il entendait son chant répétitif dans sa tête. Il se sentait comme assoiffé, comme si une petite dose pouvait lui procurer soudainement un immense plaisir, un besoin immédiat assouvi en une seconde. Mais il n'en avait pas. Et Jill non plus. C'était moche.
Le mécano se tira finalement avec peine de son lit de fortune, et alla rejoindre Jill, qui s'occupait déjà à concocter un petit déjeuner qui donnait l'eau à la bouche. « B'jour », marmonna-t-il, se grattant les cheveux, les yeux mi-clos. Il s'assit avec lourdeur. « Dis, t'aurais pas... une tisane dégueu plutôt ? » Il n'en dit pas plus long, cela n'en valait pas la peine. Il ne se sentait pas d'attaque pour ingérer quoi que ce soit d'autre de toutes façons. « Bien dormi ? J'espère que j'ai pas trop ronflé. Je ronfle toujours beaucoup quand j'ai un peu bu. » Un peu bu. Mais c'était vrai, certaines personnes disaient même qu'il était capable de faire trembler les murs à lui seul, à l'époque. Personne ne lui avait dit le contraire depuis. « L'est qu'elle heure ? », demanda-t-il finalement dans un bâillement. Ses yeux se posèrent sur son holopad. Ah ouais. C'était plus tout à fait le matin alors. Il s'étira longuement, se faisant une liste des choses qu'il avait à faire dans la journée. Préparer ses affaires pour partir quelque part. Ranger le squat qui lui servait de chambre, un peu. Demander à F4 de rapporter les documents empruntés à Rhys, elle n'osait jamais le taper. « F4 BORDEL ! » Il s'était levé d'un bond.
Il ne lui fallut pas longtemps pour arriver dans l'atelier, et assister au spectacle macabre de son droïde démembré, les yeux clignotant. Il alla se frapper la tête contre un mur en poussant une série ininterrompue d'insultes, qui devinrent de plus en plus créatives au fur et à mesure que son imagination était mise à l'épreuve. A la base, il devait juste revoir un peu ses fonctions pour tenter d'avoir un compagnon un peu moins con quand il était sur le terrain, ce qui n'était en soi pas du luxe. Il s'était de toute évidence laissé emporter par un élan de passion. Hors de question de le laisser dans cet état, et hors de question également de laisser tout ce bordel dans l'atelier de son amie. Il récupéra les membres éparpillés, lentement mais sûrement, et fit un certain nombre de découvertes dont il se serait bien passé. Il avait tenté de souder les mains à la place des pieds par exemple, et avait coupé une bonne moitié des fils au niveau de son torse, probablement agacé par une résistance de la part de F4. Ça allait être vraiment un gros boulot que de le remettre sur pied. Le Corellien s'assit aux côtés de son compagnon d'infortune et se tourna vers Jill, le visage fermé comme quelqu'un à qui on aurait appris une mauvaise nouvelle dont il se serait bien passé. « L'idée, c'était juste... de le rendre plus adapté aux vols et aux arnaques. Ce n'était ni un droïde discret, ni un droïde très intelligent, socialement ou pas, et je ne pouvais plus vraiment continuer à subir ses bourdes à répétition. Seulement, je crois que je me suis un peu gouré dans ses circuits, il a pas du aimer... » Il marqua un silence, jouant à lancer la jambe droite en l'air et à la faire tourner sur elle même avant de la rattraper. Parfois, les circuits touchaient le sol et produisaient des étincelles, ce qui ne semblaient pas lui faire soucis. « Mais en fait, j'ai réalisé que les droïdes, c'était quand même vachement différent des vaisseaux, je sais pas trop faire. Tu pourrais me donner un petit coup de main ? » Ses yeux se firent implorants. « J'aurais une dette de vie envers toi, Jill Atin. Je n'oublie pas. »
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Le réveil d’Errol ne troubla en rien la routine de Jill. Elle se préparait invariablement son assiette bien riche qui saurait combler son estomac et lui faire oublier les terreurs de la veille, sans aucun doute. Il ne voulait pas manger ? Elle pouvait comprendre. Mais ça ne la rendait pas moins inquiète pour autant : il ne devait vraiment pas se sentir bien. Il devait s’hydrater, et la Mandalorienne approuva son choix de boisson. Pas très goûteux, mais c’était bon pour ce qu’il avait.

Su’cuy.

Fit-elle. C’était amusant, puisque littéralement, l’expression voulait plutôt dire “Je suis encore en vie” plutôt que “bonjour”. C’était une façon très Mandalorienne de se saluer, et assez appropriée avec ce qu’ils avaient vécu la veille.
Elle avait déjà mis de l’eau à chauffer pour sa propre infusion, Errol pourrait donc en profiter pour prendre soin de sa gueule de bois.

Ca va ? T’es sur que tu manges rien ?

Avait-elle demandé. Enfin, la réponse ne vint pas : son ami passait en mode panique. Ah, oui, son droïde était toujours là, dans l’atelier, quelque peu démantelé. Elle espérait qu’il ne lui en tiendrait pas trop rigueur, ils avaient eu d’autres chats à fouetter en soirée. Tout au plus, ça pourrait faire… Une anecdote rigolote à raconter ? Oui, voilà, ça ferait une jolie histoire. Du style “Eh, F4, tu te souviens quand je t’ai laissé par terre démembré ? Le bon vieux temps !” et le droïde répondrait “je vous déteste, maître”, et ils échangeraient des regards complices pour l’un, dénué de toute expression pour l’autre. Fin.

Errol était sorti dans la foulée dans l’atelier, surement pour se recueillir auprès des pièces de son compagnon. Rien qui empêchait Jill de savourer son petit déjeuner ! Elle le rejoindrait bien assez vite : goinfre comme elle était, le tout finit dans son estomac en moins de temps qu’il en avait fallu pour le cuisiner. Voilà.
Et elle soupira en songeant qu’il fallait se mettre au boulot, maintenant. Elle prit les deux tasses : l’une contenant de la tisane pour aider son ami à tenir le coup, l’autre avec du bon thé qu’elle gardait depuis l’un de ses voyages sur une planète luxuriante.

Waouh.

Fit-elle en voyant le résultat. F4 ne payait pas de mine. Elle écouta les explications bancales d’Errol. Dans l’état dans lequel il était, il n’avait clairement pas fait des miracles.

Tu comptais le faire passer pour un droïde éclopé pour t’aider ?” Demanda-t-elle en désignant les mélanges étranges entre bras et jambes.

Côté discrétion, c’est sur que c’est pas l’idéal.

Effectivement, la mécanique d’un droïde était bien différente de celle d’un vaisseau. Un vaisseau pouvait se permettre d’utiliser des pièces bien plus large, et distribuait la puissance et les fonctionnalités bien plus largement. Là où un vaisseau n’avait besoin que de quelques pistons pour gérer ses portes, trappes et autres trains d’aterrissage, un droïde disposait de multiples cervomoteurs pour simuler des mouvements subtils. Et surtout, il y avait la programmation du droïde qui entrait en jeu.

Elle roula des yeux face aux implorations de son ami.

Ouais, j’vais t’aider.

Fit-elle, d’un air de grand seigneur, comme si elle cédait à ses supplications. Bien sur, qu’elle lui filait un coup de main ! C’était la base. Elle n’aurait peut-être pas aidé un parfait inconnu sans compensation financière. Pour sur. Mais Errol n’était pas un parfait inconnu. C’était un ami, un camarade. Et puis elle le connaissait, il n’allait pas rester les bras croisé en profitant de ses talents.

On va commencer par le remettre à l’endroit, hein. Pour sa personnalité, je suis pas trop programmation et tout ça, faudrait que tu trouves des modules. Y’a des mods pour la négociation, le mensonge et tout ça. En fait faudrait qu’tu mettres à jour son software, quoi. Ca va pas changer sa personnalité tant que tu le remets pas à zéro. Ca va juste lui donner de nouvelles cordes à son arc.

Certains mods étaient faciles à trouver. D’autre … Moins. Il faudrait qu’Errol fouille un peu pour trouver les compatibilités de son droïde et les upgrades qui lui seraient le plus utiles. Bref, tout ça, c’était du boulot, et elle allait l’aider à s’y retrouver. Les arnaques étaient nombreuses dans le domaine, et ce serait trop dommage que son arnaqueur préféré soit pris à son propre jeu.

J’me mets là d’sus et puis on verra après.

L’avantage, c’est que son ami avait déjà regroupé les pièces de F4. Plus qu’à jouer au puzzle, au remplacement de câbles et à la soudure.


Lancer de dé - Ingénierie - Dé normal


Jill était une passionnée, mais le massacre qui avait été opéré sur F4 la faisait doucement revenir à la réalité. C'était plus compliqué que prévu. Si elle avait réussi à ressouder bras et jambes plus ou moins en place, elle était certaine qu'il manquait des choses. Pour le moment, le droïde verrait ses mouvements entravés dans certains gestes ou certaines positions. Il risquait même de tomber bien souvent. C'était pas terrible. En plus, elle y avait passé un moment et avait eu le temps de vider trois tasses de thé depuis qu'elle avait commencé à se pencher sur le problème.

La conclusion finit par arriver, alors qu'elle s'avouait vaincue :

"J'peux pas faire mieux pour le moment. Y'a des pièces à remplacer, y'a des trucs que j'ai pas ici. Va falloir que je fouille sur l'holonet pour trouver la documentation sur ce modèle. Désolée."

Il lui en voudrait, ou pas trop ? Jill lui sortait déjà son adorable bouille de victime qui espérait qu'on la pardonne.
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