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Page 2 sur 2 • 1, 2In the Dark of the Night - Aslog
Re: In the Dark of the Night - Aslog Ven 29 Sep - 13:07
Gal'aad Serke
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Avatar : Sebastian Stan
Holopad :
And I'll fall on my knees
Tell me how's the way to be
Tell me how's the way to go
Tell me why I feel so low
Tell me how's the way to be
Tell me how's the way to go
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In the Dark of the Night
Aslog & Gal'aad
Il sourit, prit conscience de son sourire surtout. Parce que c'était une décision propre plus qu'un réflexe contrairement à tous les stimuli physiques qu'il donnait en général. Quelque part dans l'univers, dans cette planète, dans ce désert où ils vivaiient et se dressaient comme des insultes au destin, il y avait un chevalier.
Il y avait lui, capable de briser les illusions, de devenir un homme par delà l'armure, puis armure à nouveau car tout cela était fragile tellement. Comme le sourire d'Aslog, le fil de ses pensées...
”Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil”
Une citation d'artiste, un opéra un soir, une pièce de tempêtes et de tourments, Gal'aad s'en rappelait. Les lumières bleutés des éclairages sur sa peau, Thrace était là, le Grand amiral également, il avait montré sa main aux reflets bleus à son amie, dans la scène devant eux des passions se déchiraient. N'était-ce pas fuir que de croire aux illusions?
Le Chevalier voulu se concentrer, alors même que la femme dans ses bras glissait plus loin. Il y avait encore le fantôme de sa chaleur contre lui, comme une présence double, le souvenir de son corps et, autre part dans la pièce, ses fredonnements et ses murmures.
Et puis il trouva Sa vérité.
Je crois aux ombres, non aux illusions.
Cela voulait dire exister, cela voulait dire les ténèbres aussi, pas les mensonges, jamais les mensonges. Un problème cependant: ténèbres comme mensonges, Gal'aad craignait les deux. Il soupira, bougea l'épaule pour délier les muscles et décida simplement de sortir une bouteille d'alcool, de remplir deux verres, en tendant un à la jeune femme.
”A nous qui existons, alors, aux ombres....”
Il trinqua, but cul sec à s'en arracher la gorge. Gal'aad n'avait jamais comprit pourquoi mais l'alcool se manifestait toujours par un picotement bien précis au bout de ses doigts. Pas ses doigts à lui pourtant, non, les autres, le métal, pour la chair et le sang, la sensation d'ivresse venait toujours plus tard.
Le chevalier pensait ne pas compter, on l'avait voulu ainsi après tout, sans identité ou presque autre que sa fonction. Des amitiés s'étaient installées pourtant, du respect et des colères aussi, des haines féroces parfois, pas vraiment d'amour aussi, pas du tout. Pourtant Gal'aad, dans son esprit, ne comptait toujours pas, en contrepartie il pensait aux autres comme à des événements portés par le vent.
Ils existaient, ce fait venait d'être démontré, mais pas pour lui, pas vraiment.
Qu'est-ce que cela voulait dire alors?
Qu'il y avait un chaos qu'il ne parvenait pas à dompter en lui, pas encore. De ce chaos rien ne pouvait naître alors, rien ne se construisait... Les mots échangés avec les autres ne portaient aucun poids, ne construisaient aucun futur.
Il était une chose indomptable, dangereuse.
”Sers moi un autre verre.”
Et il donnait des ordres aussi.
Il y avait lui, capable de briser les illusions, de devenir un homme par delà l'armure, puis armure à nouveau car tout cela était fragile tellement. Comme le sourire d'Aslog, le fil de ses pensées...
”Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil”
Une citation d'artiste, un opéra un soir, une pièce de tempêtes et de tourments, Gal'aad s'en rappelait. Les lumières bleutés des éclairages sur sa peau, Thrace était là, le Grand amiral également, il avait montré sa main aux reflets bleus à son amie, dans la scène devant eux des passions se déchiraient. N'était-ce pas fuir que de croire aux illusions?
Le Chevalier voulu se concentrer, alors même que la femme dans ses bras glissait plus loin. Il y avait encore le fantôme de sa chaleur contre lui, comme une présence double, le souvenir de son corps et, autre part dans la pièce, ses fredonnements et ses murmures.
Et puis il trouva Sa vérité.
Je crois aux ombres, non aux illusions.
Cela voulait dire exister, cela voulait dire les ténèbres aussi, pas les mensonges, jamais les mensonges. Un problème cependant: ténèbres comme mensonges, Gal'aad craignait les deux. Il soupira, bougea l'épaule pour délier les muscles et décida simplement de sortir une bouteille d'alcool, de remplir deux verres, en tendant un à la jeune femme.
”A nous qui existons, alors, aux ombres....”
Il trinqua, but cul sec à s'en arracher la gorge. Gal'aad n'avait jamais comprit pourquoi mais l'alcool se manifestait toujours par un picotement bien précis au bout de ses doigts. Pas ses doigts à lui pourtant, non, les autres, le métal, pour la chair et le sang, la sensation d'ivresse venait toujours plus tard.
Le chevalier pensait ne pas compter, on l'avait voulu ainsi après tout, sans identité ou presque autre que sa fonction. Des amitiés s'étaient installées pourtant, du respect et des colères aussi, des haines féroces parfois, pas vraiment d'amour aussi, pas du tout. Pourtant Gal'aad, dans son esprit, ne comptait toujours pas, en contrepartie il pensait aux autres comme à des événements portés par le vent.
Ils existaient, ce fait venait d'être démontré, mais pas pour lui, pas vraiment.
Qu'est-ce que cela voulait dire alors?
Qu'il y avait un chaos qu'il ne parvenait pas à dompter en lui, pas encore. De ce chaos rien ne pouvait naître alors, rien ne se construisait... Les mots échangés avec les autres ne portaient aucun poids, ne construisaient aucun futur.
Il était une chose indomptable, dangereuse.
”Sers moi un autre verre.”
Et il donnait des ordres aussi.
BesidetheCrocodile pour May the Force
Re: In the Dark of the Night - Aslog Ven 27 Oct - 19:42
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Je suis désolée. Je suis désolée parce que dans mes rares moments de lucidité, je sais que je ne suis pas la fille que tu aurais voulu que je sois. Je sais quel monstre nous sommes devenues par la force des événements. Toi qui me voyais rêveuse, créative, qui me voyait bien des métiers quand je serais grande, parce qu'à l'époque nous avions le choix. Toi qui enveloppais mon enfance avec toute la bienveillance d'une mère. Parfois je me dis que tout aurait pu être différent, que je ne me serais pas demandé quel était le moyen le plus efficace de provoquer une douleur en un seul coup. Peut-être qu'à la place, je serais ailleurs… ou morte, comme toi.
Le sommeil n'était pas loin, tapis dans les recoins de ces cuisines. Aslog le sentait, comme un poison dans ses veines. Bientôt il viendra la replonger dans le vide, ce moment où plus rien n'existait. Et si… Et si c'était un moyen de faire comprendre ce qu'il y avait de l'autre côté ? Un espace plus vide que cette galaxie. L'univers était bien assez étrange comme ça. Surtout à voir le chevalier Ren servir deux verres d'alcool, s'enfilant l'un d'eux cul sec. Elle l'observait avec curiosité, aussi intriguée qu'un loth-cat devant un spectacle inconnu. A nouveau elle s'approcha avec la méfiance d'un petit animal. Mais c'était surtout un jeu pour elle, tout était un jeu, un prétexte pour être une autre. Son âme était si fragmentée qu'il était difficile de dire si elle avait conscience d'être elle, si elle avait conscience de ce qui était entrain de se dérouler présentement.
La mandalorienne s'empara du verre et à son tour elle le prit cul sec. Le liquide vint à lui brûler la gorge, réveillant son corps somnolant. Sur les paroles de l'homme, elle referma ses phalanges autour de la bouteille mais ne s'exécuta pas aussitôt. Aslog souleva l'objet pour l'amener à la hauteur du regard avant de boire une gorgée au goulot puis de la tendre à Gal'aad.
- Vas-y, ça te décoincera le cul comme ça, répondit-elle avec son phrasé habituel, son manque de douceur aussi.
Être à l'armée ne signifiait pas qu'on avait tout le temps un balai dans le cul, même en dehors des heures de services. Ça la membre des Rage l'avait bien compris avec le temps, elle l'avait observé surtout, même les gradés avaient parfois besoin de souffler comme les soldats. Il n'y avait que les machines pour se cantonner à la rigueur à laquelle on les avait programmé. Eux… Ils n'étaient pas des machines, ils ne vivraient pas pour l'éternité ou du moins jusqu'à ce qu'on ne puisse plus trouver les pièces pour ces corps de métal. Il fallait apprendre à profiter. Aussi parce que la tireuse d'élite aimait bien détourner les actions qu'on attendait d'elle, pour fournir un même résultat au final. Simple esprit de contradiction sans doute. Le plaisir de prendre un chemin différent pour montrer que quoi qu'il arrive, on finissait toujours pas atteindre son but, ce n'était qu'une question de persévérance.
Aslog pris à nouveau place sur le plan de travail, s’asseyant à présent en tailleur, se faisait toujours plus petite que l'homme qui partageait cet étrange moment qui n'avait pas vraiment de sens et qu'il ne fallait pas vraiment comprendre non plus. Elle aimait bien cette sensation, cette impression d'être un petit animal prêt à bondir et courir partout, juste par plaisir, pour sentir ses muscles réagir comme des ressorts et développer toute leur puissance.
Re: In the Dark of the Night - Aslog Mer 22 Nov - 22:38
Gal'aad Serke
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In the Dark of the Night
Aslog & Gal'aad
Le coup partit, brutal, violent et maîtrisé tout à la fois. Un geste pour porter et n'apporter que la douleur, un geste comme la morsure cruelle d'une bête sauvage et, pire que tout, un geste duquel nul ne pouvait s'échapper.
Le visage du chevalier était froid, impassible, comme au plus noir de l'espace peut-être. Il avait frappé Aslog sans colère, ainsi que l'on réprimanderait un animal pour son comportement. Il y avait les choses bien, il y avait les choses mal aussi et, pour Gal'aad, la vulgarité en faisait partie.
Il se fichait bien d'être considéré comme “coincé, bien que seule une folle comme Aslog ose l'énoncer à haute voix. Le chevalier se savait différent, il ne pouvait parler aux autres ainsi qu'on l'attendait de lui, ne savait que se battre et vomir une douleur par trop étrange. Interactions sociales, sentiments...Contrairement à un homme atteint d'une simple folie, Gal'aad ne pouvait espérer ces exutoires pour comprendre le monde. Il n'avait rien, rien d'autre que sa solitude, et il n'aimait pas quand des mots ou des injures venaient se faufiler entre les murs de celle-ci.
”Ton langage.”
Il ne criait pas, disait simplement les choses. Quand le chevalier avait à exprimer à une colère, il calquait ses sentiments et actions sur ceux de Kylo Ren, estimant que c'était là la chose à faire. Seulement, le maître chevalier n'était plus à ses côtés à présent, ne restait plus que le vide, rien à mimer. Cela se retrouvait dans sa voix, cela se retrouvait dans sa froideur également...
Il ne prenait aucun plaisir à la douleur, celle qu'il ressentait, celle qu'il infligeait. Encore une dois, des informations dont il n'avait que faire. Certains au PO considéraient que peu de choses le séparait des jumelles Kyram, mais les deux femmes restaient unique dans ce qu'elles étaient au même titre que lui pourtant.
Tous les monstres ne pouvaient se ressembler, tous ne brûlaient pas des mêmes appétits et certains restaient ces choses étranges et spectrales que rien ne pourrait jamais faire descendre à la terre même.
”Ton insolence est fatigante.”
Il ne la menaçait pas, Aslog n'avait que faire des menaces après tout et Gal'aad ne voyait aucun intérêt à leur faire perdre leur temps à tous les deux.
Aslog savait, Aslog le connaissait: le risque de se faire décapiter, étouffer ou quoi que ce soit d'autre par une brusque humeur du chevalier n'était jamais loin.
Le visage du chevalier était froid, impassible, comme au plus noir de l'espace peut-être. Il avait frappé Aslog sans colère, ainsi que l'on réprimanderait un animal pour son comportement. Il y avait les choses bien, il y avait les choses mal aussi et, pour Gal'aad, la vulgarité en faisait partie.
Il se fichait bien d'être considéré comme “coincé, bien que seule une folle comme Aslog ose l'énoncer à haute voix. Le chevalier se savait différent, il ne pouvait parler aux autres ainsi qu'on l'attendait de lui, ne savait que se battre et vomir une douleur par trop étrange. Interactions sociales, sentiments...Contrairement à un homme atteint d'une simple folie, Gal'aad ne pouvait espérer ces exutoires pour comprendre le monde. Il n'avait rien, rien d'autre que sa solitude, et il n'aimait pas quand des mots ou des injures venaient se faufiler entre les murs de celle-ci.
”Ton langage.”
Il ne criait pas, disait simplement les choses. Quand le chevalier avait à exprimer à une colère, il calquait ses sentiments et actions sur ceux de Kylo Ren, estimant que c'était là la chose à faire. Seulement, le maître chevalier n'était plus à ses côtés à présent, ne restait plus que le vide, rien à mimer. Cela se retrouvait dans sa voix, cela se retrouvait dans sa froideur également...
Il ne prenait aucun plaisir à la douleur, celle qu'il ressentait, celle qu'il infligeait. Encore une dois, des informations dont il n'avait que faire. Certains au PO considéraient que peu de choses le séparait des jumelles Kyram, mais les deux femmes restaient unique dans ce qu'elles étaient au même titre que lui pourtant.
Tous les monstres ne pouvaient se ressembler, tous ne brûlaient pas des mêmes appétits et certains restaient ces choses étranges et spectrales que rien ne pourrait jamais faire descendre à la terre même.
”Ton insolence est fatigante.”
Il ne la menaçait pas, Aslog n'avait que faire des menaces après tout et Gal'aad ne voyait aucun intérêt à leur faire perdre leur temps à tous les deux.
Aslog savait, Aslog le connaissait: le risque de se faire décapiter, étouffer ou quoi que ce soit d'autre par une brusque humeur du chevalier n'était jamais loin.
BesidetheCrocodile pour May the Force
Re: In the Dark of the Night - Aslog Dim 21 Jan - 15:07
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La torpeur de la jungle, son humidité suffocante et les cris des créatures qui y vivaient. La vie semblait immobile dans l'immensité de cette végétation luxuriante. Les rayons du jour perçaient en peine la voûte végétale qui trônait à plusieurs mètres au dessus du sol. Une multitude de filets de lumière doré rehaussaient les couleurs déjà saturées de la flore. Tout semblait à sa place. Là, sur la branche d'un arbuste, un insecte. Ses pattes grimpaient allègrement sur l'écorce, faisant fi de la gravité. Il était un parmi le millier d'invertébrés qui peuplaient ce monde sauvage. Les plus gros prédateurs ne semblaient pas l'inquiéter le moins du monde. Non, sa vie il a destinait à la recherche quasi permanente de nourriture pour permettre à ce petit corps de voir le jour suivant. Alors, inlassablement il captait la moindre particule dans l'air, de quoi le mettre sur la piste de quelque chose de comestible. Un instant il se figea. Qu'est-ce que… Non, non ce n'était pas ça. Ses antennes bougeaient fébrilement, comme excitées par la possibilité d'une découverte. Il reprit son ascension avec plus de vigueur encore, bien décidé à trouver quelque chose. Mais une ombre s'étira sur lui, non pas la silhouette d'une feuille imposante. La vie en avait décidé ainsi, sa recherche venait de prendre fin prématurément.
Une vive douleur élança son bras alors que le corps venait de choir de son perchoir. La surprise était faite reine alors même qu'elle ne s'y était pas attendu. Aslog s'était retrouvée par terre après avoir reçu le coup de la part du chevalier Ren. Alors même que son esprit s'était retrouvé ailleurs, la mandalorienne avait repris contact avec la réalité. Tenant son bras, elle regardait le plafond des cuisines comme si elle venait de se réveiller après avoir été mise en sommeil pendant des siècles. Sur l'instant elle ne comprenait pas, ne voyant plus Gal'aad dans son champ de vision à cause de plan de travail.
- Oh… Tout à l'air tellement grand vu d'ici, finit pas dire la brune, qui avait le même regard fasciné qu'un enfant qui découvrait le monde.
Sur ces mots elle éclata d'un rire cristallin, toujours enfantin comme après avoir pris une gamelle. Lentement, elle se releva, massant la zone qui avait été touchée tantôt. Elle secoua la tête avant de faire craquer sa nuque d'une manière assez sonore par rapport au silence de l'endroit. Là elle poussa un soupire, bon sang, ce qu'elle pouvait se fatiguer elle même de tant de connerie. A se demander comment elle faisait pour se supporter au quotidien. Ah si, en vérité c'était très simple, elle n'y pensait pas. Il n'y avait pas d'autre secret.
- Moi aussi, j'me fatigue, répondit-elle au chevalier avant de poser son pied sur le plan de travail afin d'étirer tous l'arrière de sa jambe comme si elle venait de faire du sport.
Là, elle plia son buste de façon à se pencher en avant et ainsi optimiser l'étirement du mollet et des ischio-jambiers. Pourtant, à l'instant de fermer les yeux, c'était comme si elle était tombée dans un demi-sommeil, son esprit si vide que cela lui arrivait rarement. Elle se redressa brusquement comme un animal aux aguets.
- Non je dormais pas !
Re: In the Dark of the Night - Aslog Jeu 22 Fév - 19:22
Gal'aad Serke
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Aslog & Gal'aad
Déjà, l'homme ne l'écoutait plus. Il ne voulait pas, s'enfuyait ainsi que s'enfuient les enfants vers ses rêves et ses espoirs, loin de toute réalité. La réalité, une chose ennuyante, une chose d'adulte, Gal'aad préférait être cet éternel adolescent plutôt qu'autre chose. Ombre, enfant, quelque chose d’insaisissable en lui, quelque chose qui le serait toujours.
Du bout de son rêve, il se demanda: et lui, paraissait-il plus grand depuis les yeux d'Aslog?
Au fond, cela n'avait aucune importance, Gal'aad le savait. Orgueil, vanité....Comment différencier l'orgueil de la vanité? Des questions au coeur, il en portait toujours, il en portait beaucoup. Beaucoup trop?
La nuit sur ses paupières, partir vers un autre ailleurs. Il bailla, sentit le froid lui mordre les épaules. Pourquoi avait-on froid? Quelque chose qui ne se remplissait pas, les échos d'un battement, et puis des mots encore, des mots toujours.
Derrière ses paupières, le silence bientôt, celui du sommeil.
Dehors, c'était l'aurore, les ténèbres s'échappaient peu à peu pour retourner quelque part où l'on ne pouvait les voir, sans doute à ce coin étrange derrière tous les soleils.
Sans les ombres, Gal'aad n'aurait plus peur du noir...
Il regarda Aslog une dernière fois, mais n'avait plus rien à dire. Plus maintenant, un autre soir peut-être si d'autres soirs pouvaient exister.
Pour cela, il ne fallait pas mourir au combat....
Sans un mot de plus, Gal'aad se détourna de la jeune femme, retournant à ses propres quartiers. Il ne croisa personne d'autre, à peine un droïde qui prit la peine de se cacher à son passage malgré quelques bips révélateurs. On était jamais trop prudent avec un Ren, me^me les bouts de métal et d'électroniques le savaient.....
Dans sa chambre, la solitude, une couverture défaite au bout du lit sans confort, le froid toujours, cela lui prenait comme cela. Le chevalier enleva ses bottes et se roula en boule sur le matelas, la couverture serait assez. Par la fenêtre, des teintes étranges de roses sombres jusqu'à ce que le soleil ne se lève entièrement, mais plus d'ombres. Alors il ferma les yeux, se demandant de quoi il avait envie de rêver pour quelques heures.
Lorsque le sommeil le prit, les songes de Gal'aad étaient fait de sombres chevaux, de cavaliers en furie et de batailles que rien n'arrêtaient.
Dans son rêve, il continuait à sourire....
Du bout de son rêve, il se demanda: et lui, paraissait-il plus grand depuis les yeux d'Aslog?
Au fond, cela n'avait aucune importance, Gal'aad le savait. Orgueil, vanité....Comment différencier l'orgueil de la vanité? Des questions au coeur, il en portait toujours, il en portait beaucoup. Beaucoup trop?
La nuit sur ses paupières, partir vers un autre ailleurs. Il bailla, sentit le froid lui mordre les épaules. Pourquoi avait-on froid? Quelque chose qui ne se remplissait pas, les échos d'un battement, et puis des mots encore, des mots toujours.
Derrière ses paupières, le silence bientôt, celui du sommeil.
Dehors, c'était l'aurore, les ténèbres s'échappaient peu à peu pour retourner quelque part où l'on ne pouvait les voir, sans doute à ce coin étrange derrière tous les soleils.
Sans les ombres, Gal'aad n'aurait plus peur du noir...
Il regarda Aslog une dernière fois, mais n'avait plus rien à dire. Plus maintenant, un autre soir peut-être si d'autres soirs pouvaient exister.
Pour cela, il ne fallait pas mourir au combat....
Sans un mot de plus, Gal'aad se détourna de la jeune femme, retournant à ses propres quartiers. Il ne croisa personne d'autre, à peine un droïde qui prit la peine de se cacher à son passage malgré quelques bips révélateurs. On était jamais trop prudent avec un Ren, me^me les bouts de métal et d'électroniques le savaient.....
Dans sa chambre, la solitude, une couverture défaite au bout du lit sans confort, le froid toujours, cela lui prenait comme cela. Le chevalier enleva ses bottes et se roula en boule sur le matelas, la couverture serait assez. Par la fenêtre, des teintes étranges de roses sombres jusqu'à ce que le soleil ne se lève entièrement, mais plus d'ombres. Alors il ferma les yeux, se demandant de quoi il avait envie de rêver pour quelques heures.
Lorsque le sommeil le prit, les songes de Gal'aad étaient fait de sombres chevaux, de cavaliers en furie et de batailles que rien n'arrêtaient.
Dans son rêve, il continuait à sourire....
BesidetheCrocodile pour May the Force