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Life can get you down so I just numb the way it feels (aram&keva) Lun 13 Mar - 11:37
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Life can get you down so I just numb the way it feels
Keva & Aram
Certaines des missions de la maison Renliss sont parfois un peu exagérées. Environ un tiers des contrats que l’on reçoit concerne l’assassinat d’un homme qui aurait trompé une femme. Si en rejoignant cette organisation je l’ai fait à cause de ma déception sur la gente masculine et particulièrement à cause de ce que mon père avait fait, je ne suis pas certaine qu’une infidélité justifie une mise à mort. Ce ne sont généralement pas des contrats qui rapportent gros, sauf si le mari ou fiancé en question est un homme haut placé, mais généralement d’autres primes s’ajoutent et dans ce cas – et seulement dans ce cas – je veux bien dépasser mes idées. On a toujours besoin d’une bonne somme d’argent dans cette galaxie.
Il s’agissait cette fois-ci d’une affaire de vol dans un musée sur Porus Vida. L’affaire n’était pas intéressante en soi, mais la somme à la clé était plutôt sympathique pour une mission aussi simple que c’en avait l’air. La capture d’un voleur, probablement amateur car son nom n’était pas répertorié dans les archives et la conservatrice du musée en demandait une somme importante car l’objet dérobé semblait lui tenir beaucoup à cœur. Dans ce genre de situation, je ne me pose pas trop de question et je prends le contrat. Je n’ai pas perdu de temps et j’ai réquisitionné Allyria pour qu’elle me conduise sur la planète en question. Je n’y ai que très rarement mis les pieds, mais j’en ai un beau souvenir, c’est une planète tranquille et jolie, une planète neutre surtout où, en dehors de ce voleur amateur, le crime n’a pas vraiment sa place. Une planète parfaite pour cette trêve instaurée avec Aram Fray. Je réalise que ça fait un moment que je n’ai pas pris le temps de le voir et que les dernières fois ont été assez mouvementées car j’étais après lui. Toujours cette prime dont le butin me motive, et pourtant, je me pose de plus en plus de questions et en partie parce qu’Allyria me demande s’il est vraiment nécessaire que je me mette le peu de personnes que j’apprécie à dos simplement pour une question d’argent. La réponse est oui, même si ce n’est pas toujours évident. Pour Dahn, ça n’a pas été évident et une chance pour lui, je n’ai pas encore réussi à retrouver ses traces.
J’ai donc prévenu Aram que je serai sur cette planète pour quelques jours pour une mission. Nous sommes en trêve et durant cette période je me suis interdit de le pourchasser pour la simple et bonne raison qu’il est devenu mon ami, un des rares qui compte vraiment. Oui, je m’en veux parfois d’avoir ce défaut qui est d’être attirée par l’argent et surtout d’être prête à tout pour en gagner. J’ai été élevée ainsi, ce sont les valeurs que Leeto m’a inculquées et que je n’ai visiblement pas su totalement transmettre à Allyria. Ces périodes de trêve sont un soulagement pour moi, j’en oublie presque le contrat, j’en oublie presque que quelqu’un dans la galaxie cherche à l’avoir vif. Encore heureux qu’il ne soit pas cherché mort. Une fois la transmission passée, je retrouve Allyria à bord de notre vaisseau direction Porus Vida.
Une fois sur la planète en question, je fais ce que j’ai un faire, un tour du musée rapidement pour tenter de trouver quelque chose, pour obtenir une description plus précise du voleur et si la conservatrice lui connait des habitudes, une routine, des manies. Comme je l’avais imaginé, c’est une mission en carton, la conservatrice n’a rien vu de précis et ne sait rien sur le présumé coupable. Un homme, c’est tout ce qu’elle sait. Comment suis-je censée opérer et capturer un humain à travers toute la galaxie sans même savoir s’il est grand, petit, brun, chauve… Je toucherai deux mots aux sœurs Renliss, depuis quelques temps, elles se relâchent et acceptent tout et n’importe quoi tant que la cible est masculine. Ça ne me plaît absolument pas. Je vais alors retrouver Allyria auprès du vaisseau, j’ai fait savoir à Aram que s’il voulait me voir, je ne serais jamais loin du vaisseau et par chance, ma sœur s’est posée non loin du quartier commerçant et vivant de Porus Vida. Je me mets à chercher un endroit agréable, un endroit où se restaurer et boire également, mais pas une cantina, ces lieux sont toujours synonymes de problèmes. Non, un lieu calme et agréable pour profiter de l’air paisible de cette planète. Je tente malgré tout de contacter Aram à l’aide de mon comlink pour lui dire où je serai, je ne sais pas s’il m’entend et s’il compte me répondre, il prend probablement des précautions, je ne sais pas trop. Mais je lui dis où je suis, et même s’il ne vient pas, il saura que je suis là, à l’attendre, assise à une table. La serveuse passe alors que je coupe ma transmission, je lui passe commande. « Une bière corellienne épicée. » Mon regard balaie les alentours, cherchant à savoir s’il va venir. Devrais-je lui faire croire que je brise la trêve ? Juste pour voir sa réaction. Non, il n’apprécierait peut-être pas la blague.
Il s’agissait cette fois-ci d’une affaire de vol dans un musée sur Porus Vida. L’affaire n’était pas intéressante en soi, mais la somme à la clé était plutôt sympathique pour une mission aussi simple que c’en avait l’air. La capture d’un voleur, probablement amateur car son nom n’était pas répertorié dans les archives et la conservatrice du musée en demandait une somme importante car l’objet dérobé semblait lui tenir beaucoup à cœur. Dans ce genre de situation, je ne me pose pas trop de question et je prends le contrat. Je n’ai pas perdu de temps et j’ai réquisitionné Allyria pour qu’elle me conduise sur la planète en question. Je n’y ai que très rarement mis les pieds, mais j’en ai un beau souvenir, c’est une planète tranquille et jolie, une planète neutre surtout où, en dehors de ce voleur amateur, le crime n’a pas vraiment sa place. Une planète parfaite pour cette trêve instaurée avec Aram Fray. Je réalise que ça fait un moment que je n’ai pas pris le temps de le voir et que les dernières fois ont été assez mouvementées car j’étais après lui. Toujours cette prime dont le butin me motive, et pourtant, je me pose de plus en plus de questions et en partie parce qu’Allyria me demande s’il est vraiment nécessaire que je me mette le peu de personnes que j’apprécie à dos simplement pour une question d’argent. La réponse est oui, même si ce n’est pas toujours évident. Pour Dahn, ça n’a pas été évident et une chance pour lui, je n’ai pas encore réussi à retrouver ses traces.
J’ai donc prévenu Aram que je serai sur cette planète pour quelques jours pour une mission. Nous sommes en trêve et durant cette période je me suis interdit de le pourchasser pour la simple et bonne raison qu’il est devenu mon ami, un des rares qui compte vraiment. Oui, je m’en veux parfois d’avoir ce défaut qui est d’être attirée par l’argent et surtout d’être prête à tout pour en gagner. J’ai été élevée ainsi, ce sont les valeurs que Leeto m’a inculquées et que je n’ai visiblement pas su totalement transmettre à Allyria. Ces périodes de trêve sont un soulagement pour moi, j’en oublie presque le contrat, j’en oublie presque que quelqu’un dans la galaxie cherche à l’avoir vif. Encore heureux qu’il ne soit pas cherché mort. Une fois la transmission passée, je retrouve Allyria à bord de notre vaisseau direction Porus Vida.
Une fois sur la planète en question, je fais ce que j’ai un faire, un tour du musée rapidement pour tenter de trouver quelque chose, pour obtenir une description plus précise du voleur et si la conservatrice lui connait des habitudes, une routine, des manies. Comme je l’avais imaginé, c’est une mission en carton, la conservatrice n’a rien vu de précis et ne sait rien sur le présumé coupable. Un homme, c’est tout ce qu’elle sait. Comment suis-je censée opérer et capturer un humain à travers toute la galaxie sans même savoir s’il est grand, petit, brun, chauve… Je toucherai deux mots aux sœurs Renliss, depuis quelques temps, elles se relâchent et acceptent tout et n’importe quoi tant que la cible est masculine. Ça ne me plaît absolument pas. Je vais alors retrouver Allyria auprès du vaisseau, j’ai fait savoir à Aram que s’il voulait me voir, je ne serais jamais loin du vaisseau et par chance, ma sœur s’est posée non loin du quartier commerçant et vivant de Porus Vida. Je me mets à chercher un endroit agréable, un endroit où se restaurer et boire également, mais pas une cantina, ces lieux sont toujours synonymes de problèmes. Non, un lieu calme et agréable pour profiter de l’air paisible de cette planète. Je tente malgré tout de contacter Aram à l’aide de mon comlink pour lui dire où je serai, je ne sais pas s’il m’entend et s’il compte me répondre, il prend probablement des précautions, je ne sais pas trop. Mais je lui dis où je suis, et même s’il ne vient pas, il saura que je suis là, à l’attendre, assise à une table. La serveuse passe alors que je coupe ma transmission, je lui passe commande. « Une bière corellienne épicée. » Mon regard balaie les alentours, cherchant à savoir s’il va venir. Devrais-je lui faire croire que je brise la trêve ? Juste pour voir sa réaction. Non, il n’apprécierait peut-être pas la blague.
Re: Life can get you down so I just numb the way it feels (aram&keva) Mar 14 Mar - 18:54
Aram Fray
HORS LA LOI
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Avatar : Tom Hardy
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You can't take the sky from me !
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La vie de contrebandier n’est pas aussi palpitante qu’on pourrait le croire, les courses poursuites et autres conneries qu’on vous compte dans les récits ne représentent que 2% de la véritable vie de ces pirates de l’espace. Il n’en reste pas moins que c’est un métier dangereux, avec la présence des forces de l’ordre ou de véritable pirate de l’espace prêt à vous égorger pour votre marchandise se trouvant dans la cale de votre vaisseau. Aram s’y était habitué depuis le temps, cela dit ce n’était pas vraiment bien différent de ce qu’il faisait avant, il a toujours plus ou moins était proche de la pègre et de la violence, étant un natif d’Hutta. Le fait de devenir un célèbre pilote de module n’avait rien changé non plus, le milieu des courses étant tout aussi corrompu et pourrie. Bref, finalement la vie de contrebandier convenait tout a fait à Aram même s’il pense qu’il peut faire autre chose de sa vie, quelque chose de plus noble.
Depuis Malastare, Aram n’est plus le même. Il repensait sens cesse aux événements qui se sont déroulés sur cette planète, les enfants morts dans les tires croisés entre le premier ordre et ce groupe de mercenaire. Cette scène l’avait plus touché qu’il ne l’aurait pensé, peut être du au fait que c’était une scène de guerre et des enfants innocents avaient été touchés. Quand on connait un peu Aram on sait que c’est un sujet sensible, lorsqu’il était encore pilote, il avait une association qui s'occupait des enfants issu des milieu défavoriser dans l'espace Hutt. Il l'a créé lorsqu'il a reçu ses premières payent. Le natif d'Hutta a toujours été sensible à ça, il le doit a l'éducation de ses parents qui lui ont toujours appris a faire le bien et a être le meilleur homme possible ce qui est assez paradoxale quand on les connaissait, le père était un homme de main d'un Hutt et la mère était une chasseuse de prime, nous sommes très loin de la petite famille parfaite qu'on a l'habitude de voir dans les holo-séries, et pourtant ils voyaient en Aram l'opportunité de faire le bien pour une fois, peut être un moyen de se faire racheter de leurs péché passé ? Peut être bien, mais c'est du passé maintenant, car ils ne sont plus là désormais.
L'après Malastare a était compliqué pour l'équipage du condor Ecarlate et le seul souvenir qu'ils ont ramenés de leurs escapade meurtrière fut une sphère qui caché une carte incomplète, rien de bien transcendant, après un long débat l'équipage en a finit par conclure que c'était probablement un morceau de carte aux trésors et qu'il fallait trouver les autres morceaux afin d'avoir une carte complète. Autant dire très peu de chance de les obtenir, alors en attendant ça traîne dans les quartiers de Skoji en tant que décoration. Bref, l'équipage a eu du mal a trouver du travail après Malastare, Norin et Skoji étaient recherchés par une bande de mercenaire qui les prenaient pour des espions du premier ordre. Donc le choix des missions étaient plus restreint et c'est Aram qui devait s'occuper des négociations, autant vous dire que c'est pas un domaine ou Aram excelle, loin de là même.
Revenons donc au présent, l’équipage entier se trouve dans le vaisseau en orbite autour d'Onderon. Ils venaient de faire une livraison et ils se retrouvaient maintenant sans aucune mission, période un peu compliqué. Skoji était en train de trifouiller les moteurs du vaisseau tandis que Norin s'exercait a des pratiques Mandaloriennes dans la soute en compagnie du droïde HK. Aram quand a lui se tenait dans sa chambre, regardant de vielle holovideo, les rares qu'il a pu sauver de son passé. Sur une bonne partie on pouvait voir ses parents, a chacun des visionnages, c'était comme un coup de poignard pour Aram mais en même temps ça lui faisait du bien de les visages de ses parents. Il tomba ensuite sur une video filmait par Melaka, son ancienne Ingé méca, qui tournait une sorte de vlog dans les ateliers, sur la holovideo on pouvait voir Aram au loin qui discutait avec son agent, Melaka faisait des commentaires techniques et renvoyait chié une bonne partie des autres mécano, prétextant qu'il faisait de la merde, une Aram bis quoi. Voir cette video faisait toujours sourire le pilote, la petite lui manquait terriblement, il ne savait même pas ou elle était aujourd'hui, ce qu'elle faisait... Bref, alors qu'il était pris dans ses pensées il entendit un petit bip sonore sur non loin de lui, c'était son holocom qui lui indiquait qu'il avait un message. C'était Keva, la chasseuse de prime qui était à la poursuite d'Aram. Cela peut sembler bizarre de l'extérieur, une chasseuse de prime qui contact sa proie et pourtant. Le lien qui unissait Aram et Keva était assez paradoxale, elle veut le capturer et le livrer aux hutts mais d'un autre côté elle veut aussi être ami avec lui. Au fur et a mesure de leurs rencontres un lien d'amitié c'est créé entre eux. Un lien fort, tellement fort qu'ils ont décidés d'organiser des sortes des treves, périodes durant laquelle elle ne le pourchasserait pas. Il se trouve que nous sommes dans l'une d'elle et la jeune femme voulait voir le pilote Fray autour d'un verre pour parler. A la lecture du message, Aram pouvait difficilement cacher son sourire, il aimait beaucoup la jeune femme, elle lui plaisait et ce malgré le fait qu'elle veuille le livrer aux hutts, un peu maso le Fray. Bref, il ne tarda pas a se lever à la fin du message pour aller voir Norin et le convaincre d'aller sur Porus Vida. Il fallait trouver un prétexte, ne surtout pas lui dire que c'était pour aller voir une chasseuse de prime qui voulait sa tête. L'excuse était toute trouvé, l’équipage avait besoin d'un contrat et Porus Vida était rempli de bourgeois prêt à dépenser leurs crédits, autant en profiter non ? Il ne fallut pas longtemps à Aram pour démarrer le vaisseau et quitter l'orbite d'Onderon direction Porus Vida.
Lorsque le Condor Ecarlate quitta l'hyperespace, le sourire d'Aram ne cessait de grandir, de loin on dirait un jeune adolescent qui va a son premier rencard. Il se changea en deux temps trois mouvements pour porter des vêtement un peu moins crades, ils étaient sur une planète respectable, il fallait être un minimum crédible. Tandis que Norin et Skoji ce dirigèrent vers les lieux susceptibles de trouver du travail, Aram prétexta qu'il avait une course urgente a faire et qu'il les rejoindrait un peu plus tard. Une course... C'est ça ouais ! Bref, il se rendit donc au lieu de rendez-vous que lui avait indiqué la jolie chasseuse de prime. Avant d'entrer dans l'enseigne, Aram souffla un bon coup. Il pénétra dans la bâtisse et vit au loin la jeune femme assise a une table, Aram alla dans sa direction sourire aux lèvres. Il prit place a ses côtés avec un sourire charmeur, si rare de le voir comme ça le Aram ses derniers temps.
- Alors on attend quelqu'un ? Dit-il avec un sourire moqueur. Il fit signe au serveur. Une bière corellienne s'il vous plait. Demanda t-il avec sourire, son regard se posa ensuite sur Keva, qui était de plus en plus belle au fur et à mesure qu'il la voyait. Que fais tu donc ici ma chère Keva ? Quel malheureux vas-tu encore maltraité ? Dit-il avec un air amusé.
Depuis Malastare, Aram n’est plus le même. Il repensait sens cesse aux événements qui se sont déroulés sur cette planète, les enfants morts dans les tires croisés entre le premier ordre et ce groupe de mercenaire. Cette scène l’avait plus touché qu’il ne l’aurait pensé, peut être du au fait que c’était une scène de guerre et des enfants innocents avaient été touchés. Quand on connait un peu Aram on sait que c’est un sujet sensible, lorsqu’il était encore pilote, il avait une association qui s'occupait des enfants issu des milieu défavoriser dans l'espace Hutt. Il l'a créé lorsqu'il a reçu ses premières payent. Le natif d'Hutta a toujours été sensible à ça, il le doit a l'éducation de ses parents qui lui ont toujours appris a faire le bien et a être le meilleur homme possible ce qui est assez paradoxale quand on les connaissait, le père était un homme de main d'un Hutt et la mère était une chasseuse de prime, nous sommes très loin de la petite famille parfaite qu'on a l'habitude de voir dans les holo-séries, et pourtant ils voyaient en Aram l'opportunité de faire le bien pour une fois, peut être un moyen de se faire racheter de leurs péché passé ? Peut être bien, mais c'est du passé maintenant, car ils ne sont plus là désormais.
L'après Malastare a était compliqué pour l'équipage du condor Ecarlate et le seul souvenir qu'ils ont ramenés de leurs escapade meurtrière fut une sphère qui caché une carte incomplète, rien de bien transcendant, après un long débat l'équipage en a finit par conclure que c'était probablement un morceau de carte aux trésors et qu'il fallait trouver les autres morceaux afin d'avoir une carte complète. Autant dire très peu de chance de les obtenir, alors en attendant ça traîne dans les quartiers de Skoji en tant que décoration. Bref, l'équipage a eu du mal a trouver du travail après Malastare, Norin et Skoji étaient recherchés par une bande de mercenaire qui les prenaient pour des espions du premier ordre. Donc le choix des missions étaient plus restreint et c'est Aram qui devait s'occuper des négociations, autant vous dire que c'est pas un domaine ou Aram excelle, loin de là même.
Revenons donc au présent, l’équipage entier se trouve dans le vaisseau en orbite autour d'Onderon. Ils venaient de faire une livraison et ils se retrouvaient maintenant sans aucune mission, période un peu compliqué. Skoji était en train de trifouiller les moteurs du vaisseau tandis que Norin s'exercait a des pratiques Mandaloriennes dans la soute en compagnie du droïde HK. Aram quand a lui se tenait dans sa chambre, regardant de vielle holovideo, les rares qu'il a pu sauver de son passé. Sur une bonne partie on pouvait voir ses parents, a chacun des visionnages, c'était comme un coup de poignard pour Aram mais en même temps ça lui faisait du bien de les visages de ses parents. Il tomba ensuite sur une video filmait par Melaka, son ancienne Ingé méca, qui tournait une sorte de vlog dans les ateliers, sur la holovideo on pouvait voir Aram au loin qui discutait avec son agent, Melaka faisait des commentaires techniques et renvoyait chié une bonne partie des autres mécano, prétextant qu'il faisait de la merde, une Aram bis quoi. Voir cette video faisait toujours sourire le pilote, la petite lui manquait terriblement, il ne savait même pas ou elle était aujourd'hui, ce qu'elle faisait... Bref, alors qu'il était pris dans ses pensées il entendit un petit bip sonore sur non loin de lui, c'était son holocom qui lui indiquait qu'il avait un message. C'était Keva, la chasseuse de prime qui était à la poursuite d'Aram. Cela peut sembler bizarre de l'extérieur, une chasseuse de prime qui contact sa proie et pourtant. Le lien qui unissait Aram et Keva était assez paradoxale, elle veut le capturer et le livrer aux hutts mais d'un autre côté elle veut aussi être ami avec lui. Au fur et a mesure de leurs rencontres un lien d'amitié c'est créé entre eux. Un lien fort, tellement fort qu'ils ont décidés d'organiser des sortes des treves, périodes durant laquelle elle ne le pourchasserait pas. Il se trouve que nous sommes dans l'une d'elle et la jeune femme voulait voir le pilote Fray autour d'un verre pour parler. A la lecture du message, Aram pouvait difficilement cacher son sourire, il aimait beaucoup la jeune femme, elle lui plaisait et ce malgré le fait qu'elle veuille le livrer aux hutts, un peu maso le Fray. Bref, il ne tarda pas a se lever à la fin du message pour aller voir Norin et le convaincre d'aller sur Porus Vida. Il fallait trouver un prétexte, ne surtout pas lui dire que c'était pour aller voir une chasseuse de prime qui voulait sa tête. L'excuse était toute trouvé, l’équipage avait besoin d'un contrat et Porus Vida était rempli de bourgeois prêt à dépenser leurs crédits, autant en profiter non ? Il ne fallut pas longtemps à Aram pour démarrer le vaisseau et quitter l'orbite d'Onderon direction Porus Vida.
Lorsque le Condor Ecarlate quitta l'hyperespace, le sourire d'Aram ne cessait de grandir, de loin on dirait un jeune adolescent qui va a son premier rencard. Il se changea en deux temps trois mouvements pour porter des vêtement un peu moins crades, ils étaient sur une planète respectable, il fallait être un minimum crédible. Tandis que Norin et Skoji ce dirigèrent vers les lieux susceptibles de trouver du travail, Aram prétexta qu'il avait une course urgente a faire et qu'il les rejoindrait un peu plus tard. Une course... C'est ça ouais ! Bref, il se rendit donc au lieu de rendez-vous que lui avait indiqué la jolie chasseuse de prime. Avant d'entrer dans l'enseigne, Aram souffla un bon coup. Il pénétra dans la bâtisse et vit au loin la jeune femme assise a une table, Aram alla dans sa direction sourire aux lèvres. Il prit place a ses côtés avec un sourire charmeur, si rare de le voir comme ça le Aram ses derniers temps.
- Alors on attend quelqu'un ? Dit-il avec un sourire moqueur. Il fit signe au serveur. Une bière corellienne s'il vous plait. Demanda t-il avec sourire, son regard se posa ensuite sur Keva, qui était de plus en plus belle au fur et à mesure qu'il la voyait. Que fais tu donc ici ma chère Keva ? Quel malheureux vas-tu encore maltraité ? Dit-il avec un air amusé.
Re: Life can get you down so I just numb the way it feels (aram&keva) Mer 29 Mar - 14:43
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Life can get you down so I just numb the way it feels
Keva & Aram
Un moment de trêve. Je n’aurais jamais pensé un jour me dire que ces moments me feraient du bien. Toujours motivée, déterminée, lorsque j’ai une cible en vue, rien ne m’arrête. Alors pourquoi est-ce différent dans ce cas ? Pourquoi Fray a réussi à me convaincre de nous accorder des moments de paix à simplement profiter de la vie entre amis, entre complices. Je regrette parfois d’avoir accepté ce contrat, mais je ne peux faire marche arrière. Je ne veux pas, en fait. Et je ne suis pas certaine que le Hutt qui en est à l’origine accepte de me voir me défiler. Leeto m’a toujours bien formellement interdit de me mettre un Hutt à dos et si Aram avait entendu ce conseil, il ne serait probablement dans sa situation actuelle. Mais je ne l’aurais probablement jamais rencontré.
Assise à une table, observant calmement la vie autour de moi, j’attends un signe de la part de mon ami. J’espère apercevoir sa silhouette si facilement reconnaissable au loin. Je pourrais comprendre qu’il ne vienne pas maintenant, ou pas du tout. J’ai cette fâcheuse manie à toujours prévenir à la dernière minute, à faire les choses sur un coup de tête. S’il se trouve alors à l’autre bout de la Galaxie je n’attends pas de lui qu’il la traverse simplement pour venir voir celle qui compte le livrer à son pire ennemi. Notre relation n’est pas vraiment saine quand on y pense. C’est peut-être ce côté dangereux qui nous pousse davantage à vouloir nous connaître et nous reconnaître. Chaque moment passé avec lui est agréable, il me fait sourire, rire. Il me fait oublier quelques tracas de la vie et ce même s’il n’a pas forcément la vie facile.
Je commande une bière corellienne épicée afin de passer le temps. Allyria, elle, a préféré rester au vaisseau pour revoir deux trois trucs. La maladie ne l’arrange pas, elle ne prend presque plus le soleil, elle se sent faible. Elle trouve seulement la force de piloter, mais lorsqu’il s’agit de marcher longuement ou simplement de tenir sur ses jambes, c’est une autre histoire. Je ne sais plus quoi faire, je ne sais plus vers qui me tourner. Tous les médics de la maison Renliss semblent incapables de trouver une solution et ceux rencontrés à travers la galaxie demandent des sommes astronomiques sans même pouvoir m’assurer que les résultats seront bons. J’ai l’impression de ne pas être à la hauteur et qu’elle tente de me le faire sentir.
Finalement, un sourire se dessine sur mes lèvres. Je le reconnaîtrais entre mille. Je le vois approcher du restaurant à travers la grande baie vitrée. Je manque de laisser échapper un rire à voir son attitude. Il est toujours égal à lui-même mais semble quelque peu maladroit, comme s’il était inquiet ou angoissé à l’idée de me voir. En même temps, ça ne doit pas être évident d’accepter de voir une amie tout en sachant qu’en deux temps trois mouvements, je pourrais me retourner contre lui. Je le pourrais, là, aujourd’hui. Je pourrais le piéger et je le ferais probablement avec n’importe laquelle de mes cibles. Mais je l’aime bien et je ne peux le trahir. J’ai un code d’honneur et je tiens toutes les promesses que je fais. Lorsqu’il pénétra à l’intérieur de l’établissement, je fis mine de ne pas le voir dans un premier temps et la serveuse revint avec ma bière tout à fait au bon moment. C’est lorsqu’elle déposa la boisson sur ma table que je trouvai Aram juste en face de moi. Il souriait alors j’en fis de même tandis qu’il s’installait à mes côtés. Il demanda si j’attendais quelqu’un. « Effectivement, j’attends un fugitif. Peut-être que vous l’avez-vu passer ? Cela dit la place est libre. » lui dis-je le ton moqueur. C’était agréable de le voir là et de pouvoir rire. Mes pensées négatives s’estompaient peu à peu. « Ce que je fais ici ? Un contrat des plus ennuyeux, malheureusement. Je le fais pas nécessité crois-moi mais ce genre d’affaire m’ennuie vraiment. Et je ne te permets pas de dire que je maltraite qui que ce soit, voyons, tu me connais pourtant. »
Je ne commence pas à boire. Puisqu’il a rapidement passé commande, je préfère attendre qu’il soit servi pour pouvoir trinquer avec lui. A quoi ? Probablement à nos retrouvailles. Je ne sais si nos retrouvailles seront nombreuses. Il faudra bien un jour que je me décide à finalement l’attraper et ne pas le laisser partir jusqu’à l’avoir livré au commanditaire. C’est triste à penser que je n’aurais plus cet ami pour partager une bonne bière fraîche, que je n’aurai plus cet ami pour rire simplement. Mais je ne devrais pas penser à cela, pas maintenant. « Comment vas-tu ? Tu as été rapide pour venir, je ne pensais pas que tu te libérerais si facilement. C’est un peu comme te jeter dans la gueule du loup… Tu as de la chance que je sois une personne de confiance. » Je n’ai jamais vu une cible être aussi enthousiaste de me voir. C’est le côté amusant de notre amitié. Amusant mais surprenant surtout. Le serveur auprès duquel Aram a passé sa commande finit par revenir lui déposer sa bière sur la table. « Eh bien, trinquons à nos retrouvailles et à cette belle journée sur Porus Vida en compagnie d’un ami et d’une bière, que demander de plus ? » Je lève mon verre tout en le regardant droit dans les yeux avant de prendre une gorgée de cette bière corellienne. Une de mes préférées surtout lorsqu’elle est comme là, épicée. C’est rafraichissant. Je lève les yeux à nouveau vers le fugitif. « Tu te rappelles de la toute première fois que je t’ai pris en chasse ? Qui aurait cru qu’on se retrouverait quelques années plus tard là, sur une planète des plus neutres à trinquer. Je n’aurais jamais imaginé ça, honnêtement. » Non, vraiment, je n’avais pas la moindre idée d’une telle évolution. Je n’ai pas pour habitude de m’attacher à mes cibles et victimes, c’est même quelque chose que je m’interdis puisque ça m’empêche d’effectuer correctement mon boulot. La preuve est là. J’aurais dû avoir Aram depuis bien longtemps mais je crois que mon attachement m’empêche de donner le meilleur de moi-même. J’ai cette appréhension du vide que cela créera mais également du regard qu’il aura sur moi. Pourtant il sait. Il le sait depuis le début et je sais également qu’il ne cherche pas simplement à sauver sa peau. « Quel tableau on fait. Les gens autour de nous doivent s'imaginer que nous sommes de simples amis. En nous regardant, qui peut s'imaginer qu'un jour je te capturerai pour te livrer à un Hutt. » Un sacré tableau qui aurait sa place dans l'un des musées de la ville. Un tableau qui me donne un léger pincement au cœur.
Assise à une table, observant calmement la vie autour de moi, j’attends un signe de la part de mon ami. J’espère apercevoir sa silhouette si facilement reconnaissable au loin. Je pourrais comprendre qu’il ne vienne pas maintenant, ou pas du tout. J’ai cette fâcheuse manie à toujours prévenir à la dernière minute, à faire les choses sur un coup de tête. S’il se trouve alors à l’autre bout de la Galaxie je n’attends pas de lui qu’il la traverse simplement pour venir voir celle qui compte le livrer à son pire ennemi. Notre relation n’est pas vraiment saine quand on y pense. C’est peut-être ce côté dangereux qui nous pousse davantage à vouloir nous connaître et nous reconnaître. Chaque moment passé avec lui est agréable, il me fait sourire, rire. Il me fait oublier quelques tracas de la vie et ce même s’il n’a pas forcément la vie facile.
Je commande une bière corellienne épicée afin de passer le temps. Allyria, elle, a préféré rester au vaisseau pour revoir deux trois trucs. La maladie ne l’arrange pas, elle ne prend presque plus le soleil, elle se sent faible. Elle trouve seulement la force de piloter, mais lorsqu’il s’agit de marcher longuement ou simplement de tenir sur ses jambes, c’est une autre histoire. Je ne sais plus quoi faire, je ne sais plus vers qui me tourner. Tous les médics de la maison Renliss semblent incapables de trouver une solution et ceux rencontrés à travers la galaxie demandent des sommes astronomiques sans même pouvoir m’assurer que les résultats seront bons. J’ai l’impression de ne pas être à la hauteur et qu’elle tente de me le faire sentir.
Finalement, un sourire se dessine sur mes lèvres. Je le reconnaîtrais entre mille. Je le vois approcher du restaurant à travers la grande baie vitrée. Je manque de laisser échapper un rire à voir son attitude. Il est toujours égal à lui-même mais semble quelque peu maladroit, comme s’il était inquiet ou angoissé à l’idée de me voir. En même temps, ça ne doit pas être évident d’accepter de voir une amie tout en sachant qu’en deux temps trois mouvements, je pourrais me retourner contre lui. Je le pourrais, là, aujourd’hui. Je pourrais le piéger et je le ferais probablement avec n’importe laquelle de mes cibles. Mais je l’aime bien et je ne peux le trahir. J’ai un code d’honneur et je tiens toutes les promesses que je fais. Lorsqu’il pénétra à l’intérieur de l’établissement, je fis mine de ne pas le voir dans un premier temps et la serveuse revint avec ma bière tout à fait au bon moment. C’est lorsqu’elle déposa la boisson sur ma table que je trouvai Aram juste en face de moi. Il souriait alors j’en fis de même tandis qu’il s’installait à mes côtés. Il demanda si j’attendais quelqu’un. « Effectivement, j’attends un fugitif. Peut-être que vous l’avez-vu passer ? Cela dit la place est libre. » lui dis-je le ton moqueur. C’était agréable de le voir là et de pouvoir rire. Mes pensées négatives s’estompaient peu à peu. « Ce que je fais ici ? Un contrat des plus ennuyeux, malheureusement. Je le fais pas nécessité crois-moi mais ce genre d’affaire m’ennuie vraiment. Et je ne te permets pas de dire que je maltraite qui que ce soit, voyons, tu me connais pourtant. »
Je ne commence pas à boire. Puisqu’il a rapidement passé commande, je préfère attendre qu’il soit servi pour pouvoir trinquer avec lui. A quoi ? Probablement à nos retrouvailles. Je ne sais si nos retrouvailles seront nombreuses. Il faudra bien un jour que je me décide à finalement l’attraper et ne pas le laisser partir jusqu’à l’avoir livré au commanditaire. C’est triste à penser que je n’aurais plus cet ami pour partager une bonne bière fraîche, que je n’aurai plus cet ami pour rire simplement. Mais je ne devrais pas penser à cela, pas maintenant. « Comment vas-tu ? Tu as été rapide pour venir, je ne pensais pas que tu te libérerais si facilement. C’est un peu comme te jeter dans la gueule du loup… Tu as de la chance que je sois une personne de confiance. » Je n’ai jamais vu une cible être aussi enthousiaste de me voir. C’est le côté amusant de notre amitié. Amusant mais surprenant surtout. Le serveur auprès duquel Aram a passé sa commande finit par revenir lui déposer sa bière sur la table. « Eh bien, trinquons à nos retrouvailles et à cette belle journée sur Porus Vida en compagnie d’un ami et d’une bière, que demander de plus ? » Je lève mon verre tout en le regardant droit dans les yeux avant de prendre une gorgée de cette bière corellienne. Une de mes préférées surtout lorsqu’elle est comme là, épicée. C’est rafraichissant. Je lève les yeux à nouveau vers le fugitif. « Tu te rappelles de la toute première fois que je t’ai pris en chasse ? Qui aurait cru qu’on se retrouverait quelques années plus tard là, sur une planète des plus neutres à trinquer. Je n’aurais jamais imaginé ça, honnêtement. » Non, vraiment, je n’avais pas la moindre idée d’une telle évolution. Je n’ai pas pour habitude de m’attacher à mes cibles et victimes, c’est même quelque chose que je m’interdis puisque ça m’empêche d’effectuer correctement mon boulot. La preuve est là. J’aurais dû avoir Aram depuis bien longtemps mais je crois que mon attachement m’empêche de donner le meilleur de moi-même. J’ai cette appréhension du vide que cela créera mais également du regard qu’il aura sur moi. Pourtant il sait. Il le sait depuis le début et je sais également qu’il ne cherche pas simplement à sauver sa peau. « Quel tableau on fait. Les gens autour de nous doivent s'imaginer que nous sommes de simples amis. En nous regardant, qui peut s'imaginer qu'un jour je te capturerai pour te livrer à un Hutt. » Un sacré tableau qui aurait sa place dans l'un des musées de la ville. Un tableau qui me donne un léger pincement au cœur.
Re: Life can get you down so I just numb the way it feels (aram&keva) Ven 31 Mar - 23:09
Aram Fray
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C'est avec un sourire qu'il répondit à la première question de la jeune femme. Keva avait le don de redonner un sourire ensoleillé à Aram, sourire qu'il a longtemps perdu, un sourire plein de vie. La chasseuse de prime répondit ensuite à sa question ou plutôt à sa petit pique lancé sur le fait de savoir quel pauvre homme était sa cible aujourd'hui. A écouter la mandalorienne il s'agissait d'un simple contrat ennuyeux, elle finit par dire qu'elle n'était pas du genre à maltraiter les gens, le natif d'Hutta eu un sourire amusé lorsqu'elle sortit ses propos. Après ça c'était a son tour de poser les questions, elle posa la question la plus simple qui soit, elle voulait simplement savoir comment il allait, ce qui était une excellente question au vu de la situation dans laquelle il se trouvait actuellement. Les événements de Malastare ce sont déroulés seulement il y a quelques jours/semaines, l'équipage a un peu de mal a s'en remettre, surtout Aram en fait, il a été vivement marqué par ce qu'il c'était passé, pas que physiquement mais aussi mentalement, ces scènes de guerre, le premier ordre, le chaos... Cela lui rappelait Hutta. Il chasses ses pensées de son esprit et écouta la jeune femme parler qui avoua être surprise de le voir ici aussi rapidement. Elle enchaîna aussi sur le fait qu'il avait de la chance qu'elle était une personne de confiance, qu'elle aurait très bien pu lui tendre un piège. Mais non Aram ne pouvait pas le penser pendant la période de trêve, c'était pas le genre de sa Keva.
- Comment je vais ? Compliqué à dire... Disons que ça va mieux. Je... J'étais sur Malastare durant pendant son invasion par le premier ordre, pas une partie de plaisir crois moi, j'en ai même gardé un souvenir. Dit-il tout en montrant sa jambe. On m'a tiré dessus, c'était moins une pour qu'on y reste tous... Du coup on fait un peu profil bas en ce moment, on prend des missions qui sont censés être sans risque. Porus Vida est l'endroit idéal pour ça, avec ces bourgeois qui n'attendent que ça de dépenser leurs crédits... Bref, ne parlons pas de mes malheurs... Toi comment vas tu ? Comment ce porte ta sœur ? Aram connaissait la sœur de Keva, du moins un peu, il connaissait sa situation, le fait qu'elle soit malade, même s'il ne savait pas ce qu'elle avait exactement et la gravité de la situation, c'était généralement pas le genre de choses dont Keva s'étaler généralement lors de leurs petites rencontre improvisés.
Après que Keva répondit à sa question le serveur arriva avec sa bière qu'il avait commandé quelques minutes plus tôt. Le natif le remercia et il imita aussitôt Keva en levant son verre pour trinquer. Il la regarda droit dans les yeux jusqu’à que les deux verres se touchent. Il but ensuite une gorgée avant de le reposer sur la table. Mine de rien cette petite bière lui faisait le plus grand bien après des heures a êtres resté enfermé dans le condor Écarlate. Keva enchaîna ensuite sur leur première chasse, sous entendu leurs première rencontre qui il faut bien se l'avouer était beaucoup moins amical que celle qui étaient en train de vivre en ce moment. Le pilote eu un sourire amusé avant de répondre :
- J'aurais pas dit mieux ! Et bien sûr que je m'en souviens, comment oublier ? Tu as tenté de me poursuivre en speeder. Que tu étais naïve... Essayer de me battre à la course. Dit-il en riant. Mais c'est sûr que j'étais loin de m'imaginer que quelques mois plus tard je me retrouverai la en ta charmante compagnie buvant une bonne bière dans un lotissement beaucoup trop bien pour mon accoutrement.
Keva enchaîna sur une note humoristique, comme quoi de loin les gens pouvaient imaginer des amis voir même un couple. Alors que leurs relations étaient probablement indescriptible tant elle est compliqué. Comment expliquer qu'une chasseuse de prime et sa cible puisse boire un verre ensemble et ensuite partir chacun de leurs côté sans que rien ce passe ? Et ba Keva et Aram c'est ça. Le pilote ressentait quelque chose pour la jeune femme c'était évident, il fallait être aveugle pour ne pas voir a quel point il la dévorait des yeux. Le natif d'Hutta n'avait plus regarder une femme comme ça depuis.... Depuis jamais en fait, l'ancien pilote de module a eu de nombreuses conquêtes mais généralement il s'en foutait un peu, il n'était pas amoureux, il faut dire qu'a l'époque la seule chose qui importait pour lui c'était les courses de modules et rien d'autres.
- Me capturer ? Non faut pas rêver non plus Kryze, tu essaiera encore et encore et comme toujours je t’échapperai ! A croire que tu aimes bien voir mon postérieur s’éloigner à l'horizon. Dit-il avec un sourire amusé et charmeur.
- Comment je vais ? Compliqué à dire... Disons que ça va mieux. Je... J'étais sur Malastare durant pendant son invasion par le premier ordre, pas une partie de plaisir crois moi, j'en ai même gardé un souvenir. Dit-il tout en montrant sa jambe. On m'a tiré dessus, c'était moins une pour qu'on y reste tous... Du coup on fait un peu profil bas en ce moment, on prend des missions qui sont censés être sans risque. Porus Vida est l'endroit idéal pour ça, avec ces bourgeois qui n'attendent que ça de dépenser leurs crédits... Bref, ne parlons pas de mes malheurs... Toi comment vas tu ? Comment ce porte ta sœur ? Aram connaissait la sœur de Keva, du moins un peu, il connaissait sa situation, le fait qu'elle soit malade, même s'il ne savait pas ce qu'elle avait exactement et la gravité de la situation, c'était généralement pas le genre de choses dont Keva s'étaler généralement lors de leurs petites rencontre improvisés.
Après que Keva répondit à sa question le serveur arriva avec sa bière qu'il avait commandé quelques minutes plus tôt. Le natif le remercia et il imita aussitôt Keva en levant son verre pour trinquer. Il la regarda droit dans les yeux jusqu’à que les deux verres se touchent. Il but ensuite une gorgée avant de le reposer sur la table. Mine de rien cette petite bière lui faisait le plus grand bien après des heures a êtres resté enfermé dans le condor Écarlate. Keva enchaîna ensuite sur leur première chasse, sous entendu leurs première rencontre qui il faut bien se l'avouer était beaucoup moins amical que celle qui étaient en train de vivre en ce moment. Le pilote eu un sourire amusé avant de répondre :
- J'aurais pas dit mieux ! Et bien sûr que je m'en souviens, comment oublier ? Tu as tenté de me poursuivre en speeder. Que tu étais naïve... Essayer de me battre à la course. Dit-il en riant. Mais c'est sûr que j'étais loin de m'imaginer que quelques mois plus tard je me retrouverai la en ta charmante compagnie buvant une bonne bière dans un lotissement beaucoup trop bien pour mon accoutrement.
Keva enchaîna sur une note humoristique, comme quoi de loin les gens pouvaient imaginer des amis voir même un couple. Alors que leurs relations étaient probablement indescriptible tant elle est compliqué. Comment expliquer qu'une chasseuse de prime et sa cible puisse boire un verre ensemble et ensuite partir chacun de leurs côté sans que rien ce passe ? Et ba Keva et Aram c'est ça. Le pilote ressentait quelque chose pour la jeune femme c'était évident, il fallait être aveugle pour ne pas voir a quel point il la dévorait des yeux. Le natif d'Hutta n'avait plus regarder une femme comme ça depuis.... Depuis jamais en fait, l'ancien pilote de module a eu de nombreuses conquêtes mais généralement il s'en foutait un peu, il n'était pas amoureux, il faut dire qu'a l'époque la seule chose qui importait pour lui c'était les courses de modules et rien d'autres.
- Me capturer ? Non faut pas rêver non plus Kryze, tu essaiera encore et encore et comme toujours je t’échapperai ! A croire que tu aimes bien voir mon postérieur s’éloigner à l'horizon. Dit-il avec un sourire amusé et charmeur.
Re: Life can get you down so I just numb the way it feels (aram&keva) Mer 12 Avr - 11:49
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Keva & Aram
Je trouve notre situation amusante. Dangereuse, mais amusante. Difficile de ne pas penser à la façon dont je pourrais venir à terme de ce contrat. Les tentatives commencent à s’accumuler sans donner de réel résultat. C’est une bonne chose dans un sens, sinon je ne serais pas là à trinquer avec lui. Mais j’ai besoin de cet argent et actuellement, il est le plus gros contrat que j’ai, je ne peux pas le laisser filer et le Hutt qui a commandité sa capture ne me laisserait pas simplement abandonner ma parole, je le sais bien. Allyria me le dit sans cesse : « Dans quoi tu t’es encore embarquée ? ». Très bonne question.
Je veux savoir comment il va, non pas par principe mais parce que je suis curieuse. Que fait-il de son temps libre ? A vrai dire, j’ignore pas mal de choses de sa vie lorsque je ne suis pas à sa poursuite. Je sais ce qui motive ce Hutt à en avoir après lui, je sais qu’il a été un grand pilote de module, mais aujourd’hui ? En fait je suis intriguée parce que je le pensais très occupé et de voir qu’il a pu se libérer aussi rapidement me surprend positivement. Il dit aller mieux. Je hausse un sourcil car je ne suis pas certaine de savoir vis-à-vis de quoi il va mieux, mais là dans l’immédiat je n’ose pas demander, le laissant poursuivre son récit. Il évoque alors l’invasion de Malastare, il est vrai que l’information est parvenue jusqu’à la maison Renliss pour diverses raisons, mais à aucun moment je n’avais imaginé qu’il serait là-bas. Pourtant… Il me montre alors sa jambe. « Eh bah on peut dire que tu ne fais pas les choses à moitié. » Il explique qu’il s’est fait tirer dessus mais c’est les risques du métier et surtout de cette situation politique dans la Galaxie. Je tente de rester loin de tout ça. Il rêve de petites missions sans risques quand je rêve du contraire, mais je comprends son point de vue. « Effectivement Porus Vida est un lieu idéal pour le repos. » Je ne parais pas comme ça, mais j’adore ce genre d’endroit et j’aspire au repos un jour. Je me demande de plus en plus si je vais faire ce que je fais toute ma vie, si je pourrai me poser un jour avec quelqu’un ou juste avec ma sœur. « Je vais bien, je n’ai pas une vie trépidante tu sais, les missions sont des plus barbantes, ça manque de piquant. Allyria, elle, elle est toujours égale à elle-même, elle… va bien. » Je ne veux pas l’embêter avec la maladie d’Allyria, je ne veux pas lui faire pitié.
L’alcool, un plaisir si simple, si dangereux mais dont je ne peux me passer. J’ai toujours su me modérer, mais l’alcool est un moyen de décompresser quand ça devient difficile de le faire sans. Je m’inquiète pour ma sœur, je m’inquiète qu’on ne trouve pas de solution. Je m’inquiète pour notre avenir. C’est un moyen aussi d’oublier et de se souvenir. L’alcool est une excuse pour tout et n’importe quoi, elle délie les langues et nous autorise à agir comme on ne le ferait pas dans d’autres situations. Mais il ne s’agit là que d’une bière corellienne. Là, en l’occurrence, c’est une excuse pour moi pour prétendre oublier qui il est initialement. Il n’est plus ce fugitif, mais cet ami cher. « Écoute, j’ai toujours appris qu’il ne fallait reculer devant rien. Je n’allais pas te laisser filer simplement parce que tu étais le meilleur pilote de la galaxie, je devais tenter ma chance et honnêtement, ça en a valu la peine. » Un sourire se dessine sur mon visage car ce souvenir est précieux. Le premier affront, la première rencontre. Mes intentions étaient mauvaises et il a su m’attendrir. Comment ? Je l’ignore, mais ce jeu était si excitant, si prenant que je me suis dit que sans ce moment, si je l’attrapais, ma vie serait bien fade. « Beaucoup trop bien pour ton accoutrement… Depuis quand c’est quelque chose qui t’inquiète ? Dans ce cas je crois qu’on est deux à faire tâche dans le décor, mais personnellement, ça ne me pose pas de problème. » Je ne me suis jamais souciée de ce que les autres pensaient. Mon attitude, ma façon de rire et de parler fort, j’ai souvent vu les regards se poser sur moi pour cela. Est-il vraiment inquiet de sa tenue ? « Bois ta bière plutôt que de dire des bêtises. » Et c’est ce que je fis moi-même, ingurgitant une bonne rasade de ma bière. La chaleur donne soif. Un rire, c’est ce que je laisse échapper. Je ris souvent pour un rien, j’aime ça. Je préfère essayer de voir la vie du bon côté et laisser derrière moi les soucis. Je manque cependant de m’étouffer aux derniers mots de mon ami. Il semble croire dur comme fer qu’il m’échappera éternellement. Ce qu’il ne sait pas c’est que je pourrais très bien le piéger, là, s’il le fallait. Mais c’est surtout l’image qu’il vient m’implanter dans la tête. « Ah, Fray… Si tu savais… » Je ne peux m’empêcher de jouer à ce jeu. Il pense sincèrement que je fais exprès et il n’a pas totalement tort, mais je ne dirais pas que je le fais pour son postérieur. « Tu es vraiment sûr de toi. Tu n’as jamais pensé une seconde que je jouais la carte de la stratégie ? J’aime beaucoup admirer ton postérieur Fray, mais crois-moi, je te capturerai malgré tout. Alors ton postérieur me manquera, je dois le reconnaître. » Je tente un air sérieux. Mais je sais que mon sourire caché se voit, je n’arrive pas à être sérieux. « Tu vois, c’est pour ça que je t’apprécie. Tu arrives à me faire perdre mon sérieux à moi, une fille vraiment sérieuse, alors que je pense tout ce que je dis. » Un autre sourire se dessine, encore plus sincère que d'habitude. Je le sens. Je plonge mon regard dans le sien. Non, ce n'est décidément pas son postérieur qui me manquera. Mais son habilité à me faire rire et sourire. Et son regard aussi. Oui, c'est ça, son regard.
Je veux savoir comment il va, non pas par principe mais parce que je suis curieuse. Que fait-il de son temps libre ? A vrai dire, j’ignore pas mal de choses de sa vie lorsque je ne suis pas à sa poursuite. Je sais ce qui motive ce Hutt à en avoir après lui, je sais qu’il a été un grand pilote de module, mais aujourd’hui ? En fait je suis intriguée parce que je le pensais très occupé et de voir qu’il a pu se libérer aussi rapidement me surprend positivement. Il dit aller mieux. Je hausse un sourcil car je ne suis pas certaine de savoir vis-à-vis de quoi il va mieux, mais là dans l’immédiat je n’ose pas demander, le laissant poursuivre son récit. Il évoque alors l’invasion de Malastare, il est vrai que l’information est parvenue jusqu’à la maison Renliss pour diverses raisons, mais à aucun moment je n’avais imaginé qu’il serait là-bas. Pourtant… Il me montre alors sa jambe. « Eh bah on peut dire que tu ne fais pas les choses à moitié. » Il explique qu’il s’est fait tirer dessus mais c’est les risques du métier et surtout de cette situation politique dans la Galaxie. Je tente de rester loin de tout ça. Il rêve de petites missions sans risques quand je rêve du contraire, mais je comprends son point de vue. « Effectivement Porus Vida est un lieu idéal pour le repos. » Je ne parais pas comme ça, mais j’adore ce genre d’endroit et j’aspire au repos un jour. Je me demande de plus en plus si je vais faire ce que je fais toute ma vie, si je pourrai me poser un jour avec quelqu’un ou juste avec ma sœur. « Je vais bien, je n’ai pas une vie trépidante tu sais, les missions sont des plus barbantes, ça manque de piquant. Allyria, elle, elle est toujours égale à elle-même, elle… va bien. » Je ne veux pas l’embêter avec la maladie d’Allyria, je ne veux pas lui faire pitié.
L’alcool, un plaisir si simple, si dangereux mais dont je ne peux me passer. J’ai toujours su me modérer, mais l’alcool est un moyen de décompresser quand ça devient difficile de le faire sans. Je m’inquiète pour ma sœur, je m’inquiète qu’on ne trouve pas de solution. Je m’inquiète pour notre avenir. C’est un moyen aussi d’oublier et de se souvenir. L’alcool est une excuse pour tout et n’importe quoi, elle délie les langues et nous autorise à agir comme on ne le ferait pas dans d’autres situations. Mais il ne s’agit là que d’une bière corellienne. Là, en l’occurrence, c’est une excuse pour moi pour prétendre oublier qui il est initialement. Il n’est plus ce fugitif, mais cet ami cher. « Écoute, j’ai toujours appris qu’il ne fallait reculer devant rien. Je n’allais pas te laisser filer simplement parce que tu étais le meilleur pilote de la galaxie, je devais tenter ma chance et honnêtement, ça en a valu la peine. » Un sourire se dessine sur mon visage car ce souvenir est précieux. Le premier affront, la première rencontre. Mes intentions étaient mauvaises et il a su m’attendrir. Comment ? Je l’ignore, mais ce jeu était si excitant, si prenant que je me suis dit que sans ce moment, si je l’attrapais, ma vie serait bien fade. « Beaucoup trop bien pour ton accoutrement… Depuis quand c’est quelque chose qui t’inquiète ? Dans ce cas je crois qu’on est deux à faire tâche dans le décor, mais personnellement, ça ne me pose pas de problème. » Je ne me suis jamais souciée de ce que les autres pensaient. Mon attitude, ma façon de rire et de parler fort, j’ai souvent vu les regards se poser sur moi pour cela. Est-il vraiment inquiet de sa tenue ? « Bois ta bière plutôt que de dire des bêtises. » Et c’est ce que je fis moi-même, ingurgitant une bonne rasade de ma bière. La chaleur donne soif. Un rire, c’est ce que je laisse échapper. Je ris souvent pour un rien, j’aime ça. Je préfère essayer de voir la vie du bon côté et laisser derrière moi les soucis. Je manque cependant de m’étouffer aux derniers mots de mon ami. Il semble croire dur comme fer qu’il m’échappera éternellement. Ce qu’il ne sait pas c’est que je pourrais très bien le piéger, là, s’il le fallait. Mais c’est surtout l’image qu’il vient m’implanter dans la tête. « Ah, Fray… Si tu savais… » Je ne peux m’empêcher de jouer à ce jeu. Il pense sincèrement que je fais exprès et il n’a pas totalement tort, mais je ne dirais pas que je le fais pour son postérieur. « Tu es vraiment sûr de toi. Tu n’as jamais pensé une seconde que je jouais la carte de la stratégie ? J’aime beaucoup admirer ton postérieur Fray, mais crois-moi, je te capturerai malgré tout. Alors ton postérieur me manquera, je dois le reconnaître. » Je tente un air sérieux. Mais je sais que mon sourire caché se voit, je n’arrive pas à être sérieux. « Tu vois, c’est pour ça que je t’apprécie. Tu arrives à me faire perdre mon sérieux à moi, une fille vraiment sérieuse, alors que je pense tout ce que je dis. » Un autre sourire se dessine, encore plus sincère que d'habitude. Je le sens. Je plonge mon regard dans le sien. Non, ce n'est décidément pas son postérieur qui me manquera. Mais son habilité à me faire rire et sourire. Et son regard aussi. Oui, c'est ça, son regard.
Re: Life can get you down so I just numb the way it feels (aram&keva) Dim 16 Avr - 12:01
Aram Fray
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Keva avoua que Porus Vida était probablement l’endroit idéal pour prendre un peu de repos et de répit. C’est exactement ce qu’il faillait à l’équipage du Condor Ecarlate pour pouvoir se remettre de leurs émotions et faire faire profil bas. La chasseuse de prime répondit ensuite à la question d’Aram, le natif d’Hutta voulait savoir comment sa chère chasseuse de prime préférée allait. La jeune femme avoua qu’elle allait bien, que sa vie n’était pas très trépidante, qu’elle manquait un peu de piquant en ce moment. Elle finit sur le sujet de sa sœur, avouant qu’elle était toujours fidèle à elle-même et qu’elle allait bien. Aram ne connaissait pas la situation d’Allyria et de son état de santé dégradant. Que de bonnes nouvelles donc pour Aram, il était content que son amie aille bien. Il adressa alors un sourire amusé et répondit :
- Ta vie manque de piquant ? Il nous reste quoi, quelques semaines avant la fin de notre trêve, je vais t’en donner moi du piquant. Dit-il avec un ton provocateur et un sourie narquois. Il prit une nouvelle gorgée de sa bière avant de reprendre. Je suis content que tout aille bien de ton côté malgré tout.
Après cet échange de commodité, vient le moment nostalgique de leur première rencontre et de cette fameuse course poursuite où la jeune femme a pu admirer les talents de pilotes d’Aram qui n’était pas qu’une légende. Ces souvenirs même s’ils n’étaient pas forcément agréable sur le moment ce sont rapidement transformé en souvenir plaisant. Keva était la deuxième personne a avoir retrouvé Aram Fray, la première personne étant Rundo, l’assistant de Fauve. Quelle fut pas sa surprise lorsqu’il vit ce petit bout de femme le prendre au piège et l’appeler Aram. Sur le moment, Aram se souvient qu’il avait eu très peur, fort heureusement il a pu s’échapper et aujourd’hui le voilà en compagnie de sa traqueuse, un verre à la main et sous le charme de celle-ci. La vie est vraiment bizarre quand on y repense, ou injuste c’est selon. Bref, Keva avoua qu’elle ne regrette pas d’avoir essayé de le capturer, sous-entendu que sans cela, ils ne se seraient probablement jamais rencontrés. Keva afficha un sourire radieux lorsqu’elle avoua tout ça, ce sourire, Aram l’aimait tant.
Keva enchaîna ensuite sur la remarque qu’avait eu Aram concernant l’établissement qui était trop bien pour son accoutrement, ce qui est en soit était vrai, mais d’un autre côté Aram s’en foutait totalement. Toute sa vie Aram a toujours eu l’impression de ne pas être assez bien pour l’endroit il se trouvait. Notamment lors des fameux galas d’après course ou autre festivité bourgeois où Aram étai très souvent invité du fait de sa célébrité. Aram n’était pas à l’aise lors de ses soirées, pas du tout même. Avec son accent d’Hutta, sa manière vulgaire de parler, il était souvent sujet à moquerie, du moins au début, puis il a rencontré Fauve et de la sa vie à totalement changé. Bref, Keva sembla surprise par la remarque du pilote, Aram rétorqua.
- Oh mais je te rassure j’en ai plutôt rien à secouer… Et non tu ne fais absolument pas tâche, au contraire, tu relèves plutôt le niveau. Dit-il tout en buvant une nouvelle gorgée de sa bière et affichant un sourire charmeur.
La chasseuse de prime se mit à rire lorsque Aram fit une remarque comme quoi elle faisait semblant de ne pas l’attraper pour pouvoir observer son postérieur s’éloigner à l’horizon. Keva afficha un sourire narquois qui fit aussitôt sourire le natif d’Hutta. Elle affirma toujours avec ce magnifique sourire que tout cela était peut être qu’une simple stratégie dont le simple but était de la capturer, mais elle avoua que son postérieur lui manquera malgré tout. Keva avait du mal à rester sérieuse en disant ses affirmations. Aram savait qu’il y avait du vrai dans ses propos mais cela ne le blessa pas, il comprenait, après tout il y avait une très grosse prime sur sa capture, de quoi faire tourner quelques têtes. Elle enchaîne ensuite sur les raisons qui font qu’elle appréciait l’ancien pilote de module, il avait cette capacité à lui faire perdre son sérieux. Les deux jeunes avaient le sourire aux lèvres, et ils se regardèrent longuement dans les yeux. Il fallait être aveugle pour ne pas voir qu’il y avait un truc entre eux, quelques choses. Aram ressentait quelque chose pour la chasseuse de prime, une chose qu’il n’avait jamais ressenti autrefois, mais il a fallu que ça soit pour une femme qui veut le livrer à la mort. Bref, Aram bu d’une traite le reste de sa bière avant de sortir :
- Oh ma belle gueule aussi te manquera j'en suis certain… Dit-il avec le sourire aux lèvres. Puisse ce jour arriver le plus tard possible alors ! Dit-il en levant son verre vide. Oh merde il n’y a plus rien. Aram fit signe au serveur de remettre une nouvelle tournée, puis il se tourna de nouveau vers Kryze. Et au pire, tu trouveras un autre malheureux dans mon genre a qui parler. Bien entendu Aram ne pensait pas ce qu’il disait, il espérait que non, il voulait Keva que pour lui.
- Ta vie manque de piquant ? Il nous reste quoi, quelques semaines avant la fin de notre trêve, je vais t’en donner moi du piquant. Dit-il avec un ton provocateur et un sourie narquois. Il prit une nouvelle gorgée de sa bière avant de reprendre. Je suis content que tout aille bien de ton côté malgré tout.
Après cet échange de commodité, vient le moment nostalgique de leur première rencontre et de cette fameuse course poursuite où la jeune femme a pu admirer les talents de pilotes d’Aram qui n’était pas qu’une légende. Ces souvenirs même s’ils n’étaient pas forcément agréable sur le moment ce sont rapidement transformé en souvenir plaisant. Keva était la deuxième personne a avoir retrouvé Aram Fray, la première personne étant Rundo, l’assistant de Fauve. Quelle fut pas sa surprise lorsqu’il vit ce petit bout de femme le prendre au piège et l’appeler Aram. Sur le moment, Aram se souvient qu’il avait eu très peur, fort heureusement il a pu s’échapper et aujourd’hui le voilà en compagnie de sa traqueuse, un verre à la main et sous le charme de celle-ci. La vie est vraiment bizarre quand on y repense, ou injuste c’est selon. Bref, Keva avoua qu’elle ne regrette pas d’avoir essayé de le capturer, sous-entendu que sans cela, ils ne se seraient probablement jamais rencontrés. Keva afficha un sourire radieux lorsqu’elle avoua tout ça, ce sourire, Aram l’aimait tant.
Keva enchaîna ensuite sur la remarque qu’avait eu Aram concernant l’établissement qui était trop bien pour son accoutrement, ce qui est en soit était vrai, mais d’un autre côté Aram s’en foutait totalement. Toute sa vie Aram a toujours eu l’impression de ne pas être assez bien pour l’endroit il se trouvait. Notamment lors des fameux galas d’après course ou autre festivité bourgeois où Aram étai très souvent invité du fait de sa célébrité. Aram n’était pas à l’aise lors de ses soirées, pas du tout même. Avec son accent d’Hutta, sa manière vulgaire de parler, il était souvent sujet à moquerie, du moins au début, puis il a rencontré Fauve et de la sa vie à totalement changé. Bref, Keva sembla surprise par la remarque du pilote, Aram rétorqua.
- Oh mais je te rassure j’en ai plutôt rien à secouer… Et non tu ne fais absolument pas tâche, au contraire, tu relèves plutôt le niveau. Dit-il tout en buvant une nouvelle gorgée de sa bière et affichant un sourire charmeur.
La chasseuse de prime se mit à rire lorsque Aram fit une remarque comme quoi elle faisait semblant de ne pas l’attraper pour pouvoir observer son postérieur s’éloigner à l’horizon. Keva afficha un sourire narquois qui fit aussitôt sourire le natif d’Hutta. Elle affirma toujours avec ce magnifique sourire que tout cela était peut être qu’une simple stratégie dont le simple but était de la capturer, mais elle avoua que son postérieur lui manquera malgré tout. Keva avait du mal à rester sérieuse en disant ses affirmations. Aram savait qu’il y avait du vrai dans ses propos mais cela ne le blessa pas, il comprenait, après tout il y avait une très grosse prime sur sa capture, de quoi faire tourner quelques têtes. Elle enchaîne ensuite sur les raisons qui font qu’elle appréciait l’ancien pilote de module, il avait cette capacité à lui faire perdre son sérieux. Les deux jeunes avaient le sourire aux lèvres, et ils se regardèrent longuement dans les yeux. Il fallait être aveugle pour ne pas voir qu’il y avait un truc entre eux, quelques choses. Aram ressentait quelque chose pour la chasseuse de prime, une chose qu’il n’avait jamais ressenti autrefois, mais il a fallu que ça soit pour une femme qui veut le livrer à la mort. Bref, Aram bu d’une traite le reste de sa bière avant de sortir :
- Oh ma belle gueule aussi te manquera j'en suis certain… Dit-il avec le sourire aux lèvres. Puisse ce jour arriver le plus tard possible alors ! Dit-il en levant son verre vide. Oh merde il n’y a plus rien. Aram fit signe au serveur de remettre une nouvelle tournée, puis il se tourna de nouveau vers Kryze. Et au pire, tu trouveras un autre malheureux dans mon genre a qui parler. Bien entendu Aram ne pensait pas ce qu’il disait, il espérait que non, il voulait Keva que pour lui.
Re: Life can get you down so I just numb the way it feels (aram&keva) Jeu 20 Avr - 15:31
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Keva & Aram
La porte de la cantina s’ouvre et attire mon attention. L’ouverture laisse passer une brise d’air frais qui n’est pas désagréable, venant caresser subtilement ma joue. Ce sont mes cheveux, en revanche, qui apprécient moins et se décoiffent. Je tente de remettre le tout en place, tout en buvant ma bière. Je ne peux nier le fait que, sur le coup de la descente d’alcool, Aram a toujours gagné. J’ai toujours eu un rythme beaucoup moins intense que le sien à ce niveau-là. Mais voir sa pinte déjà bue de moitié m’incite à boire davantage. Je ne sais pas pourquoi, je me sens constamment en compétition avec lui, comme si chaque chose que l’on fait est un challenge, un défi à relever qui pourrait influer sur l’issue du contrat sur sa tête. Mais alors que je bois à un débit plus important qu’à mon habitude, je manque de m’étouffer de rire à ses paroles. Pourquoi est-ce que chaque chose qu’il dit me fait rire ? « Ah, tu veux me donner du piquant ? » Je m’essuie la bouche délicatement pour prendre alors une posture plus assurée. « Eh bien, j’ai hâte de voir comment tu comptes donner du piquant à ma vie. Vraiment, je suis curieuse de te voir à l’œuvre, Fray. » Je ne peux m’empêcher de lui sortir mon sourire défiant. Il est si sûr de lui que je ne peux le laisser dire sans répliquer.
Autant il peut avoir une assurance à en faire pâlir certains, autant pour certaines choses, j’ai toujours ce sentiment non pas qu’il se rabaisse pas qu’il ne se jauge pas à sa juste valeur et c’est parfois frustrant. Il ne s’agit pas toujours d’un jeu, d’une compétition. Cet établissement est beau certes, mais rien n’est trop bien pour quelqu’un comme Aram ou comme moi, je n’en vois pas la raison. Et même si cet endroit était réservé à des sénateurs ou autres personnalités importantes de la galaxie, je n’en aurais que faire, et j’ai toujours pensé qu’il en serait de même pour l’originaire d’Hutta. Il me rassura en me disant qu’en réalité il n’en avait pas vraiment quelque chose à faire. « Je me disais bien. Je ne reconnaissais pas le Aram Fray que j’ai connu il y a quelques années, et crois-moi, ça m’inquiétait légèrement. » Je ne relevai pas ce qu’il avait ajouté ensuite. Je me contentai de sourire. Un sourire à la fois reconnaissant et timide. J’essaye de ne pas montrer ma gêne, et reprends une nouvelle gorgée de ma bière, manquant de m’étouffer en remarquant que la descente d’Aram est vraiment imbattable. Mais je ne dis rien à ce propos.
Alors qu’il repose son verre, il ajoute à mes propos qu’il est certain que sa belle gueule me manquera aussi. Il marque un point. « Peut-être bien, Fray. Peut-être bien. Mais j’aurai toujours les vieilles publicités dans lesquelles tu as tourné pour me la remémorer. » Un sourire légèrement moqueur. En fait, je me souviens particulièrement de cette pub pour le lait bleu. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours été marquée. « Si je te dis ‘lait bleu’ je suis certaine que tu vois de quoi je parle. » Il affirma ensuite espérer que ce jour arrive le plus tard possible. Oh, moi aussi je l’espère. Il lève son verre qui est à présent vide et le remarque alors, se tourne vers un serveur pour commander quelque chose d’autre. Je fais également signe à ce jeune homme de me resservir, même si j’ai encore un fond dans ma pinte. « Oui, puisse ce jour arriver le plus tard possible. Mais pas trop tard non plus, ne crois pas que c’est un métier facile que je fais. » Le ton employé cachait à la fois une pointe d’humour mais également de sérieux et d’inquiétude. Si je ne trouve pas d’argent en somme suffisante pour soigner Allyria, je crois que je devrai employer les grands moyens en ce qui concerne Aram. « Un autre malheureux dans ton genre ? » Je m’arrête sur cette phrase, haussant un sourcil. « Ce n’est pas un jeu pour moi, Fray. Je n’ai pas choisi de devenir amie avec celui que je traque. Crois-moi, ce n’est pas dans mes habitudes. Bien au contraire. Alors non, il n’y aura pas d’autre malheureux dans ton genre à qui parler. » Je dois avouer que ses paroles m’ont un peu touchée, blessée. Je comprends qu’il ne me fasse pas totalement confiance, mais je suis pourtant si sincère en ce qui concerne mes sentiments à son égard.
La porte d’entrée s’ouvre de nouveau. « Rah, ce vent m’énerve. » Je n’ai même plus envie de prendre la peine de remettre mes cheveux en place, il m’a touchée là où ça fait mal. Je me rends compte qu’il est difficile pour moi d’avoir des relations normales avec les hommes. Ni amis, ni petit ami. Il y a toujours ce doute. Je vois le serveur revenir avec nos boissons et qui les dépose sur la table. Je trinque brièvement avec le contrebandier. « Comment vont Norin et Skoji ? » Le comble de cette histoire c’est que les deux équipiers de ma cible numéro une sont deux vieilles connaissances qui, eux, ne savent pas que je suis à la poursuite de leur pilote. S’ils savaient, je pense que j’aurais de sérieux problèmes. « Comment se porte ce bon vieux Condor Ecarlate ? » J’essaye de me calmer, de faire passer les paroles qu’il a dites. Il ne pensait pas à mal, j’en suis certaine. Mais, c’est tout de même blessant de savoir ce que les gens pensent de nous. Malgré tout, je me focalise sur le moment présent et tente un sourire, timide.
Autant il peut avoir une assurance à en faire pâlir certains, autant pour certaines choses, j’ai toujours ce sentiment non pas qu’il se rabaisse pas qu’il ne se jauge pas à sa juste valeur et c’est parfois frustrant. Il ne s’agit pas toujours d’un jeu, d’une compétition. Cet établissement est beau certes, mais rien n’est trop bien pour quelqu’un comme Aram ou comme moi, je n’en vois pas la raison. Et même si cet endroit était réservé à des sénateurs ou autres personnalités importantes de la galaxie, je n’en aurais que faire, et j’ai toujours pensé qu’il en serait de même pour l’originaire d’Hutta. Il me rassura en me disant qu’en réalité il n’en avait pas vraiment quelque chose à faire. « Je me disais bien. Je ne reconnaissais pas le Aram Fray que j’ai connu il y a quelques années, et crois-moi, ça m’inquiétait légèrement. » Je ne relevai pas ce qu’il avait ajouté ensuite. Je me contentai de sourire. Un sourire à la fois reconnaissant et timide. J’essaye de ne pas montrer ma gêne, et reprends une nouvelle gorgée de ma bière, manquant de m’étouffer en remarquant que la descente d’Aram est vraiment imbattable. Mais je ne dis rien à ce propos.
Alors qu’il repose son verre, il ajoute à mes propos qu’il est certain que sa belle gueule me manquera aussi. Il marque un point. « Peut-être bien, Fray. Peut-être bien. Mais j’aurai toujours les vieilles publicités dans lesquelles tu as tourné pour me la remémorer. » Un sourire légèrement moqueur. En fait, je me souviens particulièrement de cette pub pour le lait bleu. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai toujours été marquée. « Si je te dis ‘lait bleu’ je suis certaine que tu vois de quoi je parle. » Il affirma ensuite espérer que ce jour arrive le plus tard possible. Oh, moi aussi je l’espère. Il lève son verre qui est à présent vide et le remarque alors, se tourne vers un serveur pour commander quelque chose d’autre. Je fais également signe à ce jeune homme de me resservir, même si j’ai encore un fond dans ma pinte. « Oui, puisse ce jour arriver le plus tard possible. Mais pas trop tard non plus, ne crois pas que c’est un métier facile que je fais. » Le ton employé cachait à la fois une pointe d’humour mais également de sérieux et d’inquiétude. Si je ne trouve pas d’argent en somme suffisante pour soigner Allyria, je crois que je devrai employer les grands moyens en ce qui concerne Aram. « Un autre malheureux dans ton genre ? » Je m’arrête sur cette phrase, haussant un sourcil. « Ce n’est pas un jeu pour moi, Fray. Je n’ai pas choisi de devenir amie avec celui que je traque. Crois-moi, ce n’est pas dans mes habitudes. Bien au contraire. Alors non, il n’y aura pas d’autre malheureux dans ton genre à qui parler. » Je dois avouer que ses paroles m’ont un peu touchée, blessée. Je comprends qu’il ne me fasse pas totalement confiance, mais je suis pourtant si sincère en ce qui concerne mes sentiments à son égard.
La porte d’entrée s’ouvre de nouveau. « Rah, ce vent m’énerve. » Je n’ai même plus envie de prendre la peine de remettre mes cheveux en place, il m’a touchée là où ça fait mal. Je me rends compte qu’il est difficile pour moi d’avoir des relations normales avec les hommes. Ni amis, ni petit ami. Il y a toujours ce doute. Je vois le serveur revenir avec nos boissons et qui les dépose sur la table. Je trinque brièvement avec le contrebandier. « Comment vont Norin et Skoji ? » Le comble de cette histoire c’est que les deux équipiers de ma cible numéro une sont deux vieilles connaissances qui, eux, ne savent pas que je suis à la poursuite de leur pilote. S’ils savaient, je pense que j’aurais de sérieux problèmes. « Comment se porte ce bon vieux Condor Ecarlate ? » J’essaye de me calmer, de faire passer les paroles qu’il a dites. Il ne pensait pas à mal, j’en suis certaine. Mais, c’est tout de même blessant de savoir ce que les gens pensent de nous. Malgré tout, je me focalise sur le moment présent et tente un sourire, timide.
Re: Life can get you down so I just numb the way it feels (aram&keva) Ven 28 Avr - 20:05
Aram Fray
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Keva répondit à la provocation d'Aram, il lui promettait de pimenter un peu sa vie ce qui ne semblait pas déplaire à la mandalorienne qui répondit qu'elle n'avait qu'une seule hâte, voir ça, aussitôt un sourire amusé et défiant se dessina une nouvelle fois sur le visage du natif d'Hutta. Il aimait taquiner sa chasseuse de prime. Après ça, elle avoua être rassuré de voir Aram ne pas vraiment s'inquiéter de l'avis des autres. Aram n'a jamais été du genre à s’inquiéter de l'avis des autres, si ça avait été le cas il n'aurait jamais pu être un pilote de module de course, avec ses parents qui étaient contre au départ, plus les éventuels sponsors qui lui claqué la porte au nez, Aram a eu les nerfs solide pour y arriver. Bref, la jeune femme était contente de voir que sa cible n'avait pas changé depuis leur dernière rencontre. Aram termina sur un petit compliment que Keva ne releva pas mais son sourire en disait long.
Keva répondit ensuite à la remarque d'Aram, comme quoi sa belle gueule lui manquera, elle avoua que peut être que oui elle enchaîna ensuite sur le fait qu'au pire des cas elle regardera de vielles pub sur le lait bleu. Ces fameuses pubs pour le lait bleu... Aram s'en souvient comme si c'était hier, de ce réalisateur qui se prenait pour une star intergalactique. Cette pub la suivit pendant tout le reste de sa carrière, il se souvient encore des personnes qui ne le voyaient que comme étant le cas de la pub et non le pilote de module de course. Aram regrettait d'avoir tourné ses pubs, c'était une lobbie de son agent qui voyait la une occasion en or d'avoir plus de visibilité envers les sponsors et le publique. Aram était vraiment une star à l'époque, un humain pilote de module de course c'était historique. Bref, Aram adressa une grimace lorsqu'elle fit référence à cette pub qu'il préférait oublier.
- Oh non pitié pas ça... Dit-il en regardant derrière lui si le serveur allait bientôt arriver.
Après ce petit moment d'humour, le sérieux prit place dans dans la conversation. Sa chasseuse de prime avoua qu'elle aussi voulait que son contrat se termine le plus tard possible mais pas trop non plus, il faut dire que la prime d'Aram était très élevé, étant un contrat privé et non publique, généralement c'était des ponts d'or qui était offert. A ces mots, Aram baissa les yeux, il savait pertinemment qu'un jour ou l'autre elle y arrivera, peut être même qui se laissera capturer, ne jugeant plus valable l’intérêt de vivre. Et c'était pas finit, Keva avait mal pris la remarque d'Aram sur le fait qu'elle trouvera bien un autre malheureux pour le remplacer, apparemment ce n'était pas de bon gout et elle lui indiqua que non il n'y en aurait pas d'autres des comme lui, il était spécial. Aram s'en voulait d'avoir dit ça. Après ça un long silence s'installa à la table. Aram ne savait pas trop quoi dire... Il n'était pas à l'aise, il se sentait responsable.
- Je... Désolé je ne voulais pas... C'était déplacé de ma part... Dit-il en baissant les yeux. Je me doute que c'est pas évident pour toi... Ca ne l'est déjà pas pour moi... Je... Pardon.
Les secondes passèrent, des heures dans le subconscient d'Aram, il s'en voulait tellement d'avoir mis Keva dans cet état la. Pourquoi s'en voulait-il autant ? Pourquoi ? Pourquoi s’inquiétait-il a propos d'une femme qui avait pour mission de le traquer et de le livrer à un hutt, autant dire de le livrer à la mort. Comment peut-il aimer cette femme ? Et pourtant. Bref, le silence fut rompu par le serveur qui amena leurs boissons, Aram le remercia et trinqua avec Keva qui posa aussitôt une question, elle voulait savoir comment allait Norin et Skoji ainsi que le Condor Écarlate. Aram but une gorgée de sa boisson puis se racla la gorge avant de répondre.
- Ils... Ils vont bien. Un peu marqué par les événements de Malastare mais ça va, ils se portent bien et le vaisseau va bien aussi et... Le droïde aussi toujours aussi... Bref tous le monde va bien. Dit-il avec un air maussade, s'en voulant toujours pour sa remarque déplacé, limite si ça le rendait malade. Aram était vraiment attaché à Kevà et ça se voyait.
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Keva & Aram
Je m’étais renfermée en l’espace de quelques secondes, en l’espace de quelques mots. Je ne suis pourtant pas des plus susceptibles mais en l’occurrence, ces mots m’ont blessée, ces mots m’ont retiré le sourire que j’affichais presque niaisement depuis le début de nos retrouvailles. Ces mots me ramenaient à la réalité et me confrontaient à ce que j’étais vraiment aux yeux des autres. Des malheureux, c’est ce que je crée autour de moi. Leeto m’avait mise en garde. Je n’ai malheureusement pas réussi à être comme il aurait voulu que je sois : sans pitié, sans attache. Mais le simple fait de m’avoir accordé autant d’affection ainsi que de m’avoir confié sa fille, c’était perdu d’avance. Je tente de changer, mais plus ça va, moins ce boulot semble facile à mes yeux.
Sa façon de présenter ses excuses, de bafouiller. Ça me fait mal au cœur d’avoir réagi de la sorte. Mais je n’arrive pas à dire un seul mot, je ne fais que me mordre la lèvre. Je m’en veux d’avoir agi aussi méchamment à de l’humour. Où est passé mon sens de l’humour ? Depuis quand suis-je aussi irritable ? Je pense à autre chose, je tente de laisser couler les paroles de mon ami et de retrouver ma bonne humeur initiale. Mais ça risque d’être un peu compliqué tant la moindre chose me contrarie. Comme ce vent. Personne ne veut se résoudre à fermer cette porte ? Je me concentre de nouveau sur notre conversation. Ses coéquipiers, des amis eux aussi, je lui demande des nouvelles. Il me répond que tout le monde va bien. De Skoji à Norin en passant par leur droïde et le vaisseau en lui-même. Les événements de Malastare semblent avoir été compliqués pour eux. J’en ai entendu parler que très vaguement, mais aux quatre coins de la galaxie, on en parle comme d’un désastre. L’idée que ma présence sur cette planète à ce moment aurait pu être une occasion pour me saisir d’Aram et de toucher ma prime. Mais encore une fois, je me dégoûte par ces pensées qui dépassent l’entendement. « Je vois. En espérant que tout le monde oublie ce qu’il s’est passé là-bas au plus vite. » Quelle ambiance, Keva, quelle ambiance.
Puis soudain, j’aperçois une petite silhouette frêle qui m’est plus que familière. Allyria semble avoir décidé de sortir de son trou. Un léger sourire se dessine sur mon visage. Je la connais, elle est sans-gêne et dit toujours ce qui lui traverse l’esprit et je ne veux pas qu’elle demande ce qu’il se passe. Ce serait trop gênant même si au final, tout le monde sait qu’il y a un truc qui ne va pas. Je tends les bras vers elle alors qu’elle s’approche de moi. « Bah alors, je pensais que tu avais des trucs à faire sur le vaisseau. Tu te souviens d’Aram ? » Bien sûr qu’elle s’en souvient. Elle se méfie de lui, même. Alors qu’en réalité, c’est lui qui a le plus à craindre de moi. Mais Allyria est comme ça, elle n’aime pas quand un homme est trop proche de moi. Elle était comme ça avec Dahn aussi alors que les situations sont différentes. « Bien sûr que je m’en souviens ! » Malgré son regard méfiant, elle salue le pilote. « En fait, je crois qu’on ne va pas pouvoir quitter la planète avant un ou deux jours, j’ai encore beaucoup de trucs à faire sur le vaisseau. Autant te dire que là… Il n’est pas prêt de décoller. » Je la fixe d’un air sceptique. Je ne dis plus rien, elle me fait le coup à chaque fois. Elle veut toujours apporter une amélioration au vaisseau et finit toujours pas tout déglinguer. « Je vois… Et qu’est-ce que tu veux que j’y fasse ? » Elle me regarde, toujours ce grand sourire aux lèvres. « Oh bah rien, je voulais juste te le dire. Bon bah… je vous laisse. Et toi Fray, fais gaffe à ma sœur. » Je la regarde s’éloigner vers le bar. Ben voyons, j’aurais dû m’en douter.
Je me tourne à nouveau vers Aram, l’esprit un peu embrouillé. « On parlait de quoi déjà ? » Je porte mon verre à mes lèvres et boit d’une traite la moitié du contenu. Si on ne repart pas ce soir alors je peux boire. Si au moins l’alcool pouvait me faire oublier. S’il pouvait me faire oublier à quel point ma vie sociale est au plus bas et à quel point je me tire constamment une balle dans le pied à ce sujet. « Tu es sur Porus Vida pour combien de temps ? » Lui ai-je demandé d’un air presque désintéressé alors qu’en réalité, ça m’intéresse. Il évoquait le temps de trêve qu’il nous restait encore mais il ne me semble pas l’avoir entendu me dire combien de temps il resterait ici. « Je suis désolée pour ma réaction de tout à l’heure. Je ne devrais pas me comporter comme ça avec toi. Vraiment désolée. » Je bois à nouveau une gorgée de ma bière. Mais si je veux oublier ma bêtise, ce n’est pas une bière qu’il va me falloir, mais un truc un peu plus fort. « Tu comptes rester à la bière Fray ? Peut-être as-tu des obligations par la suite ? » Boire ? Oui. Seule ? Non.
Sa façon de présenter ses excuses, de bafouiller. Ça me fait mal au cœur d’avoir réagi de la sorte. Mais je n’arrive pas à dire un seul mot, je ne fais que me mordre la lèvre. Je m’en veux d’avoir agi aussi méchamment à de l’humour. Où est passé mon sens de l’humour ? Depuis quand suis-je aussi irritable ? Je pense à autre chose, je tente de laisser couler les paroles de mon ami et de retrouver ma bonne humeur initiale. Mais ça risque d’être un peu compliqué tant la moindre chose me contrarie. Comme ce vent. Personne ne veut se résoudre à fermer cette porte ? Je me concentre de nouveau sur notre conversation. Ses coéquipiers, des amis eux aussi, je lui demande des nouvelles. Il me répond que tout le monde va bien. De Skoji à Norin en passant par leur droïde et le vaisseau en lui-même. Les événements de Malastare semblent avoir été compliqués pour eux. J’en ai entendu parler que très vaguement, mais aux quatre coins de la galaxie, on en parle comme d’un désastre. L’idée que ma présence sur cette planète à ce moment aurait pu être une occasion pour me saisir d’Aram et de toucher ma prime. Mais encore une fois, je me dégoûte par ces pensées qui dépassent l’entendement. « Je vois. En espérant que tout le monde oublie ce qu’il s’est passé là-bas au plus vite. » Quelle ambiance, Keva, quelle ambiance.
Puis soudain, j’aperçois une petite silhouette frêle qui m’est plus que familière. Allyria semble avoir décidé de sortir de son trou. Un léger sourire se dessine sur mon visage. Je la connais, elle est sans-gêne et dit toujours ce qui lui traverse l’esprit et je ne veux pas qu’elle demande ce qu’il se passe. Ce serait trop gênant même si au final, tout le monde sait qu’il y a un truc qui ne va pas. Je tends les bras vers elle alors qu’elle s’approche de moi. « Bah alors, je pensais que tu avais des trucs à faire sur le vaisseau. Tu te souviens d’Aram ? » Bien sûr qu’elle s’en souvient. Elle se méfie de lui, même. Alors qu’en réalité, c’est lui qui a le plus à craindre de moi. Mais Allyria est comme ça, elle n’aime pas quand un homme est trop proche de moi. Elle était comme ça avec Dahn aussi alors que les situations sont différentes. « Bien sûr que je m’en souviens ! » Malgré son regard méfiant, elle salue le pilote. « En fait, je crois qu’on ne va pas pouvoir quitter la planète avant un ou deux jours, j’ai encore beaucoup de trucs à faire sur le vaisseau. Autant te dire que là… Il n’est pas prêt de décoller. » Je la fixe d’un air sceptique. Je ne dis plus rien, elle me fait le coup à chaque fois. Elle veut toujours apporter une amélioration au vaisseau et finit toujours pas tout déglinguer. « Je vois… Et qu’est-ce que tu veux que j’y fasse ? » Elle me regarde, toujours ce grand sourire aux lèvres. « Oh bah rien, je voulais juste te le dire. Bon bah… je vous laisse. Et toi Fray, fais gaffe à ma sœur. » Je la regarde s’éloigner vers le bar. Ben voyons, j’aurais dû m’en douter.
Je me tourne à nouveau vers Aram, l’esprit un peu embrouillé. « On parlait de quoi déjà ? » Je porte mon verre à mes lèvres et boit d’une traite la moitié du contenu. Si on ne repart pas ce soir alors je peux boire. Si au moins l’alcool pouvait me faire oublier. S’il pouvait me faire oublier à quel point ma vie sociale est au plus bas et à quel point je me tire constamment une balle dans le pied à ce sujet. « Tu es sur Porus Vida pour combien de temps ? » Lui ai-je demandé d’un air presque désintéressé alors qu’en réalité, ça m’intéresse. Il évoquait le temps de trêve qu’il nous restait encore mais il ne me semble pas l’avoir entendu me dire combien de temps il resterait ici. « Je suis désolée pour ma réaction de tout à l’heure. Je ne devrais pas me comporter comme ça avec toi. Vraiment désolée. » Je bois à nouveau une gorgée de ma bière. Mais si je veux oublier ma bêtise, ce n’est pas une bière qu’il va me falloir, mais un truc un peu plus fort. « Tu comptes rester à la bière Fray ? Peut-être as-tu des obligations par la suite ? » Boire ? Oui. Seule ? Non.
Re: Life can get you down so I just numb the way it feels (aram&keva) Mer 3 Mai - 17:37
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La tension était palpable, Aram n'était toujours pas à l'aise et ce même si Keva avait changé de conversation en demandant des nouvelles de l'équipage du condor Écarlate, le mal était fait et le natif d'Hutta s'en voulait terriblement. Keva finit par dire qu'elle espérait que l'équipage finira par oublier ces événements et aller de l'avant par la suite. Comme seule réponse Aram fit un simple signe de tête, encore trop touché par les propos de Keva de tout à l'heure, le pauvre ne savait plus ou se mettre, regrettant presque d'être venu. Enfin, regretter est un bien grand mot, voir Keva lui faisait énormément plaisir mais la voir pour lui faire du mal, ça non il ne le supportait pas. Aram n'aimait pas cette ambiance qui résidait en ce moment entre eux, pas du tout même, ce silence pesant, trop long silence. Heureusement il fut interrompu par l'arrivé d'une personne et pas des moindres, c'était Allyria la petite sœur de Keva. A première vu elle semblait plus frêle que dans ses souvenirs, mais il ne fit aucun commentaire, après tout il avait déjà assez fait de gaffe pour la journée. Keva demanda à sa sœur si elle se souvenait d'Aram. La jeune femme regardait Aram avec un regard noir qui voulait tout dire « Tu fais du mal à ma sœur je te tue », ce qui était assez paradoxale quand on sait que c'était lui la proie dans l'affaire. Bref, elle finit par dire que oui elle se souvenait du pilote, elle le salua et Aram fit de même en adressant un simple mouvement de tête.
Après ça, Allyria s'adressa à sa sœur, c'était a propos du vaisseau, apparemment celui-ci n'était pas prêt de redecoller de cette planète, la jeune sœur avait encore quelques petites reparations et modifications à faire sur le vaisseau. Aram connait bien ça, Skoji était pareil. Bref, Keva répondit qu'elle n'y pouvait rien et sa sœur avoua que c'était juste pour la tenir au courant, probablement en cas ou la chasseuse de prime voulait quitter la planète rapidement. Après cette brève entrevue entre les deux sœurs Kryze, Allyria finit par partir sans oublier de menacer ce bon vieu Aram, il avait l'habitude maintenant, même s'il ne voyait pas souvent Allyria. Il adressa un sourire amusé aux propos de la jeune femme et il regarda Allyria partir au loin. Laissant de nouveau Keva et Aram seuls, la jeune femme ne tarda pas à parler d'ailleurs, comme si l'arrivée d'Allyria donnait un nouvel élan a leur « rencard ». Elle demanda de quoi ils parlaient, c'était pas bien compliqué à répondre, ils ne parlaient plus de rien, c'était le silence qui avait la main mise sur la conversation maintenant. Elle enchaina en demandant si Aram était sur cette planète pour longtemps. Aram but une nouvelle gorgée de sa boisson avant de répondre :
- Bonne question, j'en ai aucune idée, tout dépendra des contrats… Si on trouve rien on peut tout à fait partir ce soir, ce n'est pas moi qui décide , c'est Norin. Et toi ? Apparemment tu n'es pas prête de partir à en croire l'état de ton vaisseau. Demanda t'il un brin amusé. Elle n'a pas changé ta sœur, toujours ce caractère qui fait son charme...
Keva revint sur les événements de tout à l'heure et elle finit par s'excuser de son comportement de tout à l'heure, apparemment comme Aram elle s'en voulait et ne se sentait pas à l'aise devant cette situation, ce pourrait-il que Keva ait des sentiments pour le natifs d'Hutta ? Un aveugle le verrait ! Tous le monde le voit, sauf Aram, ce gros boulet. Bref, Aram se sentit soulagé, du moins un peu par les propos de la jeune femme, il la regarda droit dans les yeux, un regard compatissant, celui que très peu de gens connaissent de Fray.
- Tu n'as pas à t'excuser Keva, ma blague était de très mauvais goût et ta réaction est tout à fait légitime. Je me suis comporté comme un mauvais garçon d'Hutta. Dit-il avec le sourire.
A son tour il bu une nouvelle gorgée de sa boisson, non deux, ah non en fait il la finit d’une seule traite. Keva lui demanda ensuite s’il comptait rester à la bière, elle lui demanda s’il avait des obligations par la suite. Même s’il était pilote, même sous l’effet de l’alcool Aram restait un bon pilote et au pire des cas il y avait le pilotage automatique. Bref, il adressa un sourire avant de sortir :
- Je suis toujours disponible pour accompagner une charmante jeune femme ! Je n’ai aucune obligation je suis un grand garçon tu sais. Il fit un signe au barman. Deux whisky Corellien s’il vous plait ! C’est ma tournée ! Aram était content de voir que Keva ne lui en voulait pas trop par rapport a sa remarque de tout a l’heure. En témoigne son sourire charmeur qui était revenu sur son visage, ce visage amoureux, ce sourire qui a si longtemps quitté le visage du natif d’Hutta.
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