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Debut d'un duo de choc? pv Nael Thrawho

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Debut d'un duo de choc?


 

Je suis l'oeil qui voit tout, je suis le ciseaux qui coupe le fil, je suis la mort invisible.


 

 
 


A peine sortie de la salle de brefing, je sors un chewing-gum et l'enfourne dans ma bouche avant de faire une bulle et de tendre une des gomme à mâché à l'homme qui sort de la salle avec moi.  Chose que je fais rarement habituellement, mais apparement on seras amenée à faire de nouveau équipe alors il vaut mieux qu'on face un peu plus connaissance....bon après c'est peut-être pas la meilleur façon de lui faire comprendre qu'on devrait discuté un peu, mais je suis pas douée pour les contact humain....contrairement à lui normalement. Mon boulot est solitaire...le sien en tant qu'espion est d'être capable d'endosser n'importe quel rôle et d'être convainquant dans celui-ci...donc ça demande une certaine connaissance de toutes les façon d'aborder les gens non?

Puis après la semaine qui vien de passer, c'est même lui qui devrait m'invité ou autre. J'ai quand même passer 5 jours dehors sans voir une salle de douche , ni avoir un vrai repas.

La mission était simple...sur le papier, je devait le couvrir pendant qu'il se rapprochait d'une famille noble soupçonné de fournir la resistance, le but c'était trouver des preuves de cela et partir. Mon rôle? Trouver un coin tranquille, me poser, surveiller son avancer et préparé notre retraite . Le premier jours, il as tatonner pendant que je mettait en place notre sauve conduit. Le second jours, je me suis positionner sur le meilleur angle de tire possible et j'ai utiliser une armure avec systeme de camouflage qu'on m'avait fournit spécialement pour la mission. Je l'ai rendue dès qu'on est rentrée au bercail.

Une fois en position , j'ai du attendre en silence et verifier que tout se passait bien. Je ne sais pas vraiment ce qu'il faisait, j'ai trouver le temps long mais je suis restée fidèle au poste, mangeant que de petit gateau de survit deux fois dans la journée. Durant la nuit, lui à dormit , ayant reussi avoir acces à une chambre. Pour ma part, je me suis positionné en face de sa fenetre et n'ai fait que deux siestes de 10 minutes , une avant qu'il ne se couche, la seconde juste après son levé. Ensuite il continua la mission, pendant que je veillais au grain sans quitter mon poste même pour faire mes besoins.

C'est une des choses que je deteste le plus dans ses missions...lorsque je chasse seule , je m'arrange pour tuer dans les deux jours histoire d'être tranquille et evité l'inconfort. La difficulté n'étant pour moi, pas de restée immobile mais de ne pas vivre avec un minimum de confort.Après c'etait une mission officiel et j'avais un bon bonus sur celle-ci .

J'ai serrée les dents et tenue, je n'ai eu qu'as tirer une fois le troisième jours pour faire diversion. J'ai percer une reserve d'hydrocarbure qui s'est gentillement enflammé pendant qu'il fouillait dans les bureaux. Le cinquième j'eu à tirer pour mettre hors service un vehicule afin qu'une patrouille soit attiré vers le probleme de vehicule au lieu de s'occupé de mon "ami".  En dehors de cela la mission s'est passer comme sur des roulettes et à peine étions nous dans le transport qui quittait la planete que j'ai commencer à me déshabillé devant lui en allant vers la salle d'eau et d'en resortir avec un debardeur trop court et un pantalon de toile trop serré pour moi....le vaisseaux n'avait helas pas d'autre vêtement à bord. Après quoi j'ai dormis à point fermée pendant le reste du voyage allongé en face de lui, le vaisseaux n'ayant que deux banquettes et un poste de pilotage.

Le debriefing fu assez cours et je serais partie à mes occupation si ce n'est que pendant celui-ci , il fut laisser entendre que notre travaille contentait nos supérieurs au dela de leurs espérences et qu'on serait surement amenée à retravaillé ensemble sous peu.

Je n'ai rien spécialement contre, il as bien fait son travaille même si part moment je lui ai fait des remarques sur plusieurs occasion qu'il avait manquer d'après moi et sur la longueur de la mission, n'ayant pas hésité à lui dire que lui pouvait prendre son temps car il avait tout le confort voulu grace à son infiltration mais que ce n'était pas le cas de tout le monde et qu'une certaine personne aimerait pouvoir revoir une douche avant l'année prochaine.

Bon après je l'ai critiquée plus par agacement que par connaissance de cause, je n'ai jamais fait son boulot  et je n'ai même jamais participé à une infiltration avec extraction d'information avant cette mission avec lui, et je suis sur qu'il est très bon dans son domaine...mais quand même.

Alors que je tend  la gomme à macher je lui dit.

- Bon et bien visiblement on as bien bossé, tu pourrais m'en dire plus sur ce genre de mission? Si on doit rebosser ensemble je preferais savoir à quoi m'attendre la prochaine fois.

 
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Nael travaillait seul la plupart du temps, alors quand on lui avait dit que pour cette mission, il aurait une coéquipière pour le couvrir, il avait un peu rechigné. Il se considérait comme assez grand pour veiller sur lui-même, merci bien. D’autant plus qu’en lisant le dossier de Vanille, Nael avait appris qu’elle n’était pas un véritable membre du Premier Ordre, mais plutôt une chasseuse de prime repêchée au milieu de la galaxie. Son instinct d’espion tout entier lui avait donc immédiatement hurlé méfiance. Pourtant, il aurait aussi été bête de s’exposer par simple fierté, et il n’était certainement pas du genre à discuter les ordres. Vanille, Nael et sa mauvaise humeur étaient donc partis tous ensemble après avoir reçu les consignes de la mission.

Une fois sur place, chacun vaqua à ses petites affaires, et ça allait très bien comme ça à l’espion. Vanille avait peut-être l’habitude des missions rapides et sanglantes, mais Nael lui, faisait dans la subtilité, et prenait donc nécessairement plus de temps à atteindre ses objectifs, en particulier lorsqu’il était si sensible. Nael naviguait en plein territoire ennemi - il pouvait le sentir à plein nez. Tout ce qui lui restait à faire, c’était d’en trouver les preuves, et en attendant il n’avait certainement pas intérêt à se faire démasquer. Il avait beau savoir Vanille en position, il n’était pas certain d’en sortir vivant si une patrouille entière se décidait soudainement à venir le cueillir. Alors il avait pris son temps avant d’approcher la famille. En ignorant la présence de Vanille qui devait lui coller aux basques, il avait fait son boulot exactement comme il en avait l’habitude. Il avait pris le temps d’observer, d’apprendre, et c’était seulement quand il s’était senti prêt qu’il avait tenté une approche.

Celle-ci avait plutôt bien marché d’ailleurs. Pourtant, Nael avait été forcé de le reconnaître, il avait été mauvaise langue en dénonçant l’inutilité de Vanille dans cette mission. Même si elle ne lui avait pas vraiment fait confiance sur le moment, elle avait plutôt bien joué son rôle en le sortant par deux fois de situations compliquées. Finalement, à deux ils avaient été beaucoup plus efficaces, et alors qu’il avait mis la main sur tout ce dont il avait besoin, Nael n’avait pu retenir un ricanement en entendant des gardes chercher non pas un espion mais un sniper qui les faisaient tourner en bourrique. La distraction était parfaite.

Finalement, la mission s’était terminée sans encombre. Les preuves étaient fournies, aucun incident n’était à déplorer, et personne ne serait capable de trouver la moindre trace du Premier Ordre lorsque les deux envoyés auraient décampé de la planète. Il ne leur avait d’ailleurs pas fallu longtemps pour rejoindre le vaisseau qui les attendait, et Nael avait été surpris de retrouver sa coéquipière affamée et épuisée. Il n’avait fait aucun commentaire lorsqu’elle s’était changé et endormie en face de lui, amusé de la voir à bout de forces, mais aussi impressionné par l’endurance dont elle avait fait preuve pendant ces cinq jours. Elle n’avait presque rien mangé et presque pas dormi. Certes, elle aurait pu être mieux préparée, mais par principe, Nael n’avait montré que du respect. Après tout, si elle s’était donné autant de mal, c’était pour assurer la réussite de la mission certes, mais pour protéger sa vie indirectement. Alors sans chercher à faire la conversation ou à se moquer de sa tenue vestimentaire originale, Nael avait laissé tomber sa tête en arrière pour fixer le vide et vider son esprit, le temps du trajet.

En arrivant, Nael aurait pu être content d’être rentré et d’en avoir fini avec cette mission. Pourtant, celle-ci c’était si bien passer que leurs supérieurs réclamaient une nouvelle collaboration prochainement. Nael avait alors camouflé son désarroi derrière son regard le plus neutre possible, mais on ne pouvait pas dire qu’en sortant de la salle, il était le plus heureux des hommes. Il faut dire que Vanille, bien que très talentueuse dans son domaine, était clairement insupportable à ses yeux. Elle lui avait entretemps rappelé de nombreuses fois combien la mission avait été longue et inconfortable pour elle, et les quelques critiques qu’elle avait pu émettre à son encontre avaient suffi à Nael pour qu’il la déclare exaspérante, sinon haïssable. Il s’était néanmoins efforcé de toujours répondre avec diplomatie, pour le bien de la collaboration. Et maintenant qu’il avait cru avoir enfin la paix, voilà que la petite blonde lui tendait un chewing-gum en lui demandant des conseils.

Par réflexe, il hésita une seconde avant de tendre la main pour attraper l’offrande en murmurant un bref merci. Pourtant, s’il avait été aussi froid avec elle jusqu’ici, c’était d’abord parce qu’elle n’avait pas été particulièrement agréable avec lui aussi. Alors puisqu’elle semblait enfin s’intéresser un peu à lui, il décida que ce n’était pas le moment de lui dire d’aller se faire cuire un œuf et prendre une douche qui lui avait tant manqué. Au contraire, il était même plutôt content qu’elle s’adresse à lui pour autre chose que lui adresser des remarques froides et agaçantes. Alors en lui adressant même un sourire amusé, il finit par la questionner : « Qu’est-ce que tu veux savoir ? » Au final, c’était presque marrant. Ce serait presque comme avoir un apprenti qui veut en savoir plus sur le métier, même si c’était surtout drôle qu’elle ait l’idée de se renseigner après la mission.
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Debut d'un duo de choc?


Je suis l'oeil qui voit tout, je suis le ciseaux qui coupe le fil, je suis la mort invisible.






Il semble hésité quand je lui propose de parler en lui tendant la gomme à macher. C'est vrai, que je n'ai pas été tendre avec lui pendant la mission, mais la fatigue, la faim et l'inconfort m'ont passablement irrité et chaque jours dans ses conditions n'as fait qu'amplifier ma mauvaise humeurs et puis il faut dire que je pensais que l'affaire serait bouclé en deux jours...du coups je ne m'étais pas préparé mentallement. Il faudras surement que je m'escuse pour cela...mais hors de question de le faire ici, ça attendras d'être en privé .

- Beaucoup de chose, on risque de discuter longtemps le mieux ça serais de boire un verre je pense. Dans ma cabine? J'en ai marre de me contentée d'eau.

Sans même attendre sa réponse, je me met en marche en m'étirant le dos et les bras, faisant surement un peu tache avec des vêtements civil dépareillé et un comportement aussi familier en plein milieu d'un vaisseaux de guerre. Mais qu'importe, on m'as engager pour mes capacités de tireur, pas parce que j'étais diciplinée, si ça avait été le cas je serais encore pietaille du plus bas rang comme beaucoup de troopers.

Mais moi, la reine du tir de précision je suis au dessus de cela, et je vaux beaucoup plus cher. Mais la reine est crévée et n'as pas encore fini son boulot. J'ai beau être entrainée et endurante sans la sieste pendant le retour je me serais surement endormie comme une pierre pendant le debriefing. Là j'ai assez recupéré pour quelques heures, jusqu'as ce soir peut-être au maximum, cependant ma conscience professionnel me dit de faire tout de suite la recolte d'infos de peur de pas avoir le temps plus tard parce qu'il serait occupé ou que je serais moi-même sur un autre terrain d'opération.

Bref, sur le chemin de mon quartier, je m'assure qu'il me suis en me tournant tout en remettant une meche de cheveux derrière mon oreille, montrant la cicatrice à ma tempe au passage, mes cheveux que je laisse pousser expres la cache en temps normale.

- Dit moi, le genre de mission qu'on as fait, elles sont toujours aussi longue? Je pensais que cela se reglais en deux jours maximum. Mais apparement tu as fait suffisament vite en une semaine d'après la réaction de nos supérieurs.

J'avais poser la question sur un ton calme, assez gentil, je pense, même si aucun émotions n'y transparaissait, mais en general à par l'aggacement ou la colere aucune émotion n'y transparait jamais.


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Vanille lui répondit avec son habituel air détaché. En lisant le dossier de sa coéquipière avant de partir en mission, Nael avait pu découvrir que son détachement pour toute chose était dû à un accident de son enfance. Pourtant, il restait perturbant de voir quelqu’un exprimer si peu d’émotions dans une conversation. Même lui, qui était entraîné pour ne pas laisser transparaître ses propres sentiments, laissait toujours entrapercevoir quelque chose, même de simulé. Face à elle cependant, il ne percevait rien. Déconcertant.

Doublement déconcertant qu’elle lui proposait en plus de ça de se joindre à elle pour aller boire un verre. Nael ne put retenir un air surpris en levant un sourcil. Il faut dire que leur relation n’avait pas été des plus harmonieuses depuis leur rencontre, et même si la mission avait été un succès, rien ne les obligeait à copiner en dehors des moments de collaboration. Pourtant, n’ayant rien de mieux à faire, et puisqu’il s’était engagé à répondre aux interrogations, il acquiesça d’un mouvement de tête pour accepter l’offre. « C’est pas faux. » Il échappa un sourire quand elle fit mention de la discipline stricte du Premier Ordre, que beaucoup se plaisaient à critiquer en privé. « Ça me va, je te suis alors. » Il ne lui en fallait pas plus pour tourner les talons et se mettre en marche. Alors poussé par la curiosité, Nael lui emboita le pas pour la suivre docilement. Il se laissa guider dans les couloirs, portant tout de même un œil critique sur sa tenue et son comportement. Elle avait beau ne pas être passée par l’académie, elle se permettait tout de même des transgressions au règlement bien trop évidentes selon l’espion, qui ne voyait pas une telle prise de liberté d’un très bon œil. Certes, il ne s’agissait pas de marcher au pas dans les couloirs, mais plutôt de faire preuve d’un minimum de respect envers les règles et ses supérieurs. Elle avait eu de la chance que sa tenue face à eux ne provoque pas son renvoi, et maintenant, Nael était presque fatigué de voir que Vanille n’éprouvait aucun remord à continuer à ignorer le minimum requis.

Cette observation lui prouvait bien que Vanille se contrefichait du respect du Premier Ordre, et que sa seule motivation se rattachait à l’appât du gain et au confort qu’elle pouvait obtenir ici. En somme, pas la moindre once de loyauté, et donc rien qui n’inspirait de la confiance selon Nael. Intrigué par cette fille qui semblait si chère aux yeux des supérieurs, Nael ne la quittait pas des yeux et tentait d’en comprendre la logique lorsqu’elle se retourna subitement vers lui pour rompre le silence, tout en poursuivant son chemin. C’est en posant sa première question qu’elle révéla à l’espion la cicatrice de sa tempe, seule trace de son accident passé. Par son geste pour repousser ses cheveux, elle attira le regard de Nael sur l’endroit. Néanmoins, celui-ci s’abstint de la moindre remarque sur le moment, en particulier parce qu’elle aborda à nouveau le sujet de la longueur de leur mission commune. Un sujet qui était devenu presque tabou entre eux depuis qu’elle lui avait pris la tête par manque de préparation évident. Pourtant, cette fois-ci Nael décida de ne pas le prendre comme une attaque. Il abandonna le ton sec sur lequel il s’adressait d’habitude à elle pour lui répondre plus calmement. « On en a souvent pour plusieurs jours, oui. Il faut d’abord localiser la cible, identifier son mode de vie pour mieux pouvoir l’approcher, et ensuite seulement on peut envisager l’extraction de l’information. » C’était une évidence pour Nael, mais clairement une découverte pour Vanille, alors il s’efforça de donner le maximum d’informations pour rendre les choses claires. « Sinon tu prends le risque que la cible devienne méfiante et détruise les preuves. Ou pire, tu peux être démasqué. » Il estima qu’il n’avait pas besoin de lui faire un dessin pour qu’elle comprenne toutes les complications qu’une telle situation pouvait causer. L’air grave qu’il avait pris à ce moment traduisait parfaitement les difficultés engendrées par une telle situation. La plupart du temps, si l’espion était démasqué en pleine action, sa seule option était la fuite, et elle était rarement fructueuse. « L’espionnage, c’est un peu plus subtil que l’assassinat, hein ? » Il avait lancé la pique sur un ton un peu moqueur, mais sans penser à mal. D’ailleurs, il enchaîna d’un air plus doux. « Mais tu t’es bien débrouillé. Les distractions étaient bonnes. » De toute évidence, ce n’était pas ses compétences qui étaient à remettre en question, mais seulement sa préparation avant la mission. Après leur discussion, leur prochaine mission ensemble se passerait probablement dans les meilleures conditions possibles. « Tu n’as fait que de ça avant ? De l’assassinat ? » Finalement, lui aussi s’était mis à la questionner, c’était plus fort que lui. Il avait beau avoir lu son dossier, il voulait toujours en savoir plus sur ses interlocuteurs. Savoir d’où ils venaient, ce qu’ils avaient fait, comment ils pensaient. C’était ça, son mode de vie à lui.
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Debut d'un duo de choc?


Je suis l'oeil qui voit tout, je suis le ciseaux qui coupe le fil, je suis la mort invisible.






Après ma question, nous reprime la route et il me répondit en donnant des détails, je n'en demandait pas tant mais cela me permet de me faire une bonne idée du boulot, ce qui n'est pas plus mal vu qu'au final je joue la babysitter, la question c'est, est-ce qu'il est au courrant que j'ai ordre de le descendre s'il se fait choppé? Enfin il n'as pas besoin de le savoir et doit s'en douté vu son boulot. Moi au moins si je me fait choppé je peu rien raconté , je n'ai vraiment que le minimum d'information à chaque fois.

Arrivée devant la porte de ma loge, je me tourne vers lui.

- Bon, si c'est toujours long je me preparait un peu mieux. Désolé pour les remarques durant la mission, l'inconfort et la fatigue me rende facilement irritable...Je tiendrais ma langue la prochaine fois .

En disant cela je lui tendis la main pour faire definitivement la paix, en souriant, un sourire forcé evidement car ce genre de mimique ne m'est pas du tout naturel...j'espère juste qu'il ne sonne pas trop faux.

- Je ne dirais pas que c'est plus subtil juste diffèrent ...Je ne dirais pas que c'est plus subtil juste diffèrent ...Notamment lorsqu'il faut faire passer ça pour un accident. Sinon je n'ai pas été qu'assassins, j'ai aussi servit de garde du corps, pas longtemps mes clients essayent de me faire rejoindre leur lit, et convoyeuse, par contre l'espionnage, j'ai jamais essayé, pas ma tasse de thé..

Je rentre alors dans ma loge et je me dirige tout de suite vers la reserve mes caisses de materiels, certaines contenant de l'alcool, heureusement que je suis affilié à l'ordre et pas vraiment dans le systeme sans cela je n'aurais pas le droit d'amené ce genre de chose. Je sors une bouteille de Lum pour moi et propose à mon invité.

Tu veux boire quoi? Et si tu as des questions pose les, si on doit retravaillé ensemble autant se connaitre un minimum.


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