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Long time no see, old friend. ✖ Devon

Moira Sayall
Moira Sayall
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Long time no see, old friend. ✖ Devon M4R7teN
FEVER
(I've got a fever, so can you check ?
Hand on my forehead, kiss my neck
And when you touch me, baby, I turn red.
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YOU ARE MY SUNSHINE
(You make me happy
When skies are gray
You'll never know, dear
How much I love you.
)


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SLIPPING THROUGH MY FINGERS
(Do I really see what's in her mind ?
Each time I think I'm close to knowing
She keeps on growing,
slipping through my fingers all the time.
)

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Long time no see, old friend. ✖ Devon Original
HEART AND SOUL
(You're my heart, you're my soul
I'll be holding you forever
Stay with you together.
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Long time no see,
old friend.
Moira & Devon

Ses yeux sont plissés, son visage arbore une moue de concentration intense. Délicatement, elle termine de broder la petite étoile argenté qui est venue orner la douce couverture bleue pâle qui ne servira pas avant plusieurs semaines encore. Qu’a-t-elle d’autre à faire, à part s’occuper l’esprit et les doigts en s’adonnant à la broderie ? Par le Créateur, voilà qu’elle commence à agir comme sa soeur aînée ! Moira pousse un soupir, repose le tissu sur ses jambes avant de lever les yeux de l’ouvrage. Elle se sent un peu inutile; la Résistance ne sait toujours pas sur quel pied danser et l’isolement créé par le dôme ne cesse de peser sur les épaules de la pilote. Ses yeux se posent sur la petite veilleuse près de la tête de lit qui éclaire faiblement son travail, elle sait qu’elle devrait dormir mais ce n’est même pas la peine d’essayer; le sommeil ne veut pas d’elle. Sa main glisse sur son visage aux traits fatigués avant de venir se poser contre son ventre rond dans lequel le bébé s’agite inlassablement, rien que ça, ça l’empêcherait de fermer l’oeil. Avec un léger soupir, Moira range ses aiguilles, plie délicatement la couverture pour la ranger dans son sac. Sa tête se tourne, son regard se pose sur la silhouette endormie à ses côtés et son bras se tend pour que ses doigts viennent délicatement se glisser dans les cheveux bruns du général qui ne bronche pas; profondément endormi qu’il est. La pilote l’envierait presque, d’avoir un sommeil lourd comme le sien, de réussir à s’endormir ainsi. Il en a besoin. La brune se penche pour déposer un tendre baiser sur la tempe de Diarmuid avant de se lever du lit sans faire le moindre bruit. Cela ne sert à rien de rester ici, ce silence et son incapacité à dormir vont finir par la rendre folle. Comme si elle avait su d’avance qu’elle ne comptait pas trouver de repos ce soir, la jeune femme n’a pas pris la peine de retirer la robe grise, il lui suffit juste d’enfiler ses chaussures, son châle ainsi que sa besace pour finalement quitter la chambre sur la pointe des pieds. Elle sait qu’elle devrait mieux rester dans le bâtiment mais elle étouffe, a le vif besoin de respirer un grand bol d’air frais.

La brune passe du calme tendu de l’immeuble dans lequel les membres de la Résistance ont élu domicile à l’agitation de la capitale du système. Moira n’a jamais raffolé des grandes villes, des immeubles et de cette impression d’être minuscule, inexistant, au milieu de la populace. La tranquillité de Yavin IV lui manque brusquement, l’isolement de son petit village également. Peut-être n’aurait-elle dû pas penser à sa planète d’origine, voilà qu’elle ressent un vif pincement au coeur; des mois qu’elle n’a pas pu voir sa famille… Cinq, pour être exact. Moira prend une grande inspiration pour refouler les larmes qui menacent déjà de couler. Marcher. Ne penser à rien et éviter de se faire remarquer ; mais qui irait se douter que la pilote fait partie de la Résistance ? Elle du haut de son mètre cinquante-cinq et son gros ventre rond, elle se fond dans le décor avec aisance. Elle ignore où elle va, au moins la jeune femme a un bon sens de l’orientation, ne risque pas de se perdre. Normalement. La planète aurait sûrement plus à la petite Aloy, si avide d’aventure et de nouvelles planètes… Comme sa mère, ce qui n’est pas pour inquiéter Moira. Maintenant, la petite brune comprend mieux sa propre mère et l’inquiétude qui devait l’habiter lorsqu’elle entendait sa fille clamer haut et fort qu’elle ne voulait qu’une chose: parcourir la galaxie. Voilà maintenant qu’Aloy veut la même chose. Pourvu que la gamine ne se sente pas non plus l’envie de rejoindre les rangs de la Résistance comme sa mère, son père et son beau-père. Pourvu également que Dea ne suive pas les pas de ses parents.

Après de longues minutes à marcher sans s’arrêter ou même prêter attention, la pilote finit par relever les yeux, regarder autour d’elle. C’est là qu’une silhouette l’interpelle, on dirait… Non. Ce n’est pas possible. C’est sûrement son imagination et la fatigue qui lui jouent des tours. Comment, sur l’entièreté de la galaxie, pourrait-il se retrouver dans ce système ? Mais si elle ne l’a pas rêvé ? Moira hésite, est-ce raisonnable d’entrer dans cette cantina dans laquelle l’ombre s’est engouffrée ? La raison lui dicte de faire demi-tour pour rentrer mais… Oh eh puis, à ne pas dormir ! Elle s’empresse vers l’entrée du bar, se faufile entre les gens. L’avantage de son ventre, c’est qu’en la voyant arriver, les personnes la laissent aisément passer et c’est sans problème qu’elle se fraie un chemin jusqu’au bar où il est accoudé, dos à elle. Alors Moira l’imite, s’accoude près de lui et interpelle le barman.

« Vous le resservirez, fait-elle en désignant l’homme à côté d’elle de la tête, et pour moi ce sera un jus, peu importe, tant que c’est sans alcool. »

Le barman hoche de la tête, Moira retire le châle de sur ses épaules, la chaleur qui règne dans l’endroit n’est pas des plus agréables. Dire qu’elle ne peut même plus boire !

« Quelles étaient les chances, pour que nous nous retrouvions coincés tous les deux dans le même système ? Elle tourne la tête vers lui. Bien le bonsoir Corran, j’espère que je t’ai manqué ! »

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Devon Thek
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Long time no see, old friend


Moira & Devon

Long time no see, old friend. ✖ Devon AMGLYVB

Devon avait encore bien des informations à retenir sur le système Corellien, il y avait tellement à voir qu’il n’aurait certainement pas fais le tour quand le « dôme » entourant le système ne se brise. Mais bon, qui pouvait dire quand cela prendra fin ? Peut-être qu’ils resteraient à tout jamais isoler du reste de la Galaxie. C’était une hypothèse qui avait germé il y a peu dans l’esprit du jeune homme, mais cela ne lui plaisait pas. Même si la fragile trêve entre les deux factions ennemies semblait encore en place, combien de temps cela allait bien pouvoir durer ? Les deux protagonistes étaient tellement différents, ils ne partageaient pas les mêmes idéaux. Le conflit était inévitable, ils ne faisaient que le repousser à plus tard pour pouvoir mieux se préparer au chaos qui engloutirait le système lorsqu’ils recommenceront à se tirer dans les pattes.

Le chevalier souhaitait que cette bulle d’énergie s’interrompe au plus vite, de façon à ce que le contact avec le Suprême Leader soit de nouveau établi. Ainsi, tous les dissidents seraient sévèrement punis pour leurs idées de sédition. « Puni » était un mot bien léger pour définir leur sort, cela serait étonnant que Snoke se montre miséricordieux en laissant subsister dans ses rangs des moutons noirs.  En tout cas, il espérait que sa seconde sortie sur Corellia se passerait mieux que la première. Oui si vous n’avez pas suivi cette aventure, il convient de vous faire un petit résumé. Trop confiant  la dernière fois, il avait lâché son pilote à l’astroport pour s’aventurer dans les rues, seul. Il pensait pouvoir se débrouiller, mais il s’était perdu au bout de quelques heures. Devon était arrivé dans une université où il crut qu’un groupe de charmantes demoiselles allait pouvoir l’aider à retrouver son chemin.

Cependant un étrange individu intervint pour disperser les étudiantes. Étrange, oui, car la Force se manifestait en sa présence, comme si elle tentait de l’avertir de quelque chose. Ils échangèrent un long moment ensemble, le chevalier avait cherché à percer le mystère autour du professeur, mais il ne réussit pas. Il le quitta donc avec plus de questions que de réponses. Il tenterait de méditer là-dessus, peut-être que cela pourrait l’aider. En tout cas, il s’était davantage préparé pour sa deuxième excursion. Il avait demandé quelques renseignements à des personnes à bord du destroyer qui s’étaient déjà rendus sur la planète par le passé. Ils ont ainsi pu lui donner des informations précieuses, mais surtout l’adresse de plusieurs bars sympas où il pourrait se poser.

C’est dans ce but qu’il s’était rendu sur la planète, il verrait s’il arrivait à faire une rencontre ce soir, sinon tant pis. S’accouder à un bar, profiter de l’ambiance locale en sirotant un verre serait pleinement suffisant pour lui permettre de décompresser. Le chevalier s’était muni d’une petite unité portative où il avait intégré une carte de Coronet, ainsi que les adresses qu’on lui avait conseillées. Au moins, il était sûr de ne plus se perdre cette fois-ci !  Il eut une bonne vingtaine de minutes de trajet à pied depuis l’astroport pour se rendre à une des adresses indiquées. Le nom du bar était assez atypique, «  Le Drall ivre ! ». S’ils affichaient un tel nom, c’est qu’ils devaient servir plein de bonnes choses à l’intérieur. En tout cas, l’endroit devait avoir une certaine renommée dans le coin, on va pas dire que l’intérieur était bondé, non, il y avait encore un peu de place. Disons plus simplement que la fréquentation était assez importante !

Le jeune homme dut se frayer un passage à coups de coude pour pouvoir accéder au comptoir, c’était le seul moyen, avec la musique en fond sonore et le brouhaha ambiant, jamais personne ne l’entendrait s’il demandait gentiment de se pousser. Il arriva à sa destination et interloqua le barman pour qu’il lui serve un whisky corellien. Ce qu’il fit en un rien de temps, quelle efficacité ! Et puis les prix étaient abordables, c’était vraiment une bonne adresse dis donc ! Il regarda rapidement autour de lui, bu deux gorgées et profita quelques instants de l’ambiance avant qu’une voix familière l’éveille de ses songes. Une voix qu’il reconnaîtrait entre mille, il était content de l’entendre, un grand sourire barra son visage. Elle était à sa gauche, mais il ne l’avait pas encore regardé. «- Un jus ? Pas d’alcool ?! T’appliques tes bonnes résolutions de la nouvelle année en retard, Aby ?    »

Il avait terminé sa phrase dans un rictus, verre à la main, il tourna la tête vers elle en buvant une gorgée. C’est vrai qu’il avait l’habitude de la voir dans des bars, à vrai dire, leurs rencontres s’étaient passées essentiellement dans ce genre d’établissements.  Quelque chose était différent, oui c’était étrange. Ses yeux s’abaissèrent vers le ventre de la jeune femme et il faillit recracher sa gorgée de whisky tellement la surprise fut grande. Devon reposa son verre sur le comptoir, il avait avalé de travers, il dut tousser à plusieurs reprises pour que cela passe. Il comprenait maintenant pourquoi elle avait commandé un jus. Il présenta ses excuses dès qu’il avait retrouvé tous ses moyens : « Désolé, Aby ! Disons que voilà… J’ai été surpris, je ne m’attendais pas à ce que tu sois…enfin tu sais…  » Il en perdait ses mots, ses mains décrivirent plusieurs fois la forme d’un balon pour qu’elle comprenne où il voulait en venir. « Enfin je ne savais même pas que tu avais quelqu’un dans ta vie à vrai dire.  » C’est vrai que la jeune femme ne s’était jamais étendue sur les détails concernant son quotidien, ne l’informant que de ce qu’elle voulait bien.

Cela paraissait invraisemblable qu’ils se trouvent bloqués dans le même système, toutes leurs précédentes rencontres l’étaient pour dire vrai. « Les probabilités étaient faibles, voire quasi-nulles même. Mais bien sûr que tu m’avais manqué ! Alors qu’est-ce-que tu deviens ? T’es dans le secteur pour affaires ?  » la questionna-t-il avec une certain enthousiasme, cela se voyait qu’il était content de la revoir.
Moira Sayall
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Moira & Devon

Ils ont toujours eu le chic pour se retrouver dans les cantinas les plus improbables de la Galaxie. A croire que le destin, la Force, appelez ça comme vous le voulez, les a toujours poussés à se croiser. Alors même qu’en dehors de leurs rencontres impromptues et spontanées, ils ne communiquent jamais l’un avec l’autre. Pour des raisons plus qu’évidentes. Il est déjà difficile d’avoir des nouvelles de sa famille sur Yavin IV alors d’un ami dont elle ignore… Beaucoup de choses, n’en parlons pas.

« Ah que veux-tu, je suis devenue quelqu’un de raisonnable. Tu verras, quand tu auras mon âge, les lendemains ne sont plus aussi faciles qu’à vingt ans. » Répond Moira du tac-au-tac avec un air taquin.

Aby. Comme c’est étrange de se faire appeler par un autre prénom que le sien, celui de sa mère de surcroit. Lorsqu’ils se sont rencontrés pour la première fois, bien des années plus tôt, la petite brune a spontanément donné le nom de sa mère au lieu d’en trouver un autre. Cela aurait sûrement paru bien étrange si la pilote s’était attardée trop longtemps à donner son prénom. Puis les années ont passé et jamais cela ne lui est passé par la tête de rectifier la chose; ce n’est pas une bonne idée, de toute façon. La brune ne s’est jamais étendue sur sa vie privée, ne donnant que des informations par-ci par-là qui ne seraient pas trop importantes ou risquées. Elle ne peut décemment pas parler de son quotidien sur une base de la Résistance ou même évoquer certains passages de son passé. Ce n’est jamais évident de laisser de grosses parts d’ombre pourtant cela n’a jamais empêché les deux de se lier d’amitié.

Sa main se pose sur le dos du jeune homme qu’elle tapote pour l’aider à faire passer sa toux. L’envie d’éclater de rire est grande, Moira se mordille les lèvres car elle n’aurait pas envie que son ami pense qu’elle se moque de lui. Un peu, tout de même. Elle s’attendait à ce qu’il soit surprise mais pas qu’il en avale son whisky de travers !

« Enfin je sais ? Mmmh. Es-tu en train d’insinuer que je ressemble à une planète ? Les mains de les brunes sont sur ses hanches, ses yeux ont un air sévère. Ce n’est vraiment pas la chose à dire à une femme enceinte. »

Son regard reste sérieux un bref instant avant qu’un sourire ne vienne éclairer le visage de la jeune femme. Quand bien même il l’aurait dit, il aurait parfaitement raison et Moira ne peut pas le nier. Elle fait la taille d’une planète. Ou plutôt son ventre. Le jus de fruit est déposé sur le comptoir, la brune remercie d’un geste de la tête avant de porter le verre à ses lèvres. Elle ignore parfaitement quel fruit peut bien être dans ce jus bleuâtre mais cela lui rappelle vaguement certaines baies qu’elle pouvait ramasser sur Yavin IV.

« Je ne t’en veux pas, même moi je ne m’en remets pas à chaque fois que je veux voir mes pieds qui ont disparu de mon champ de vision depuis quelques semaines. Fait la brune avec un sourire. Ca n’a pas l’air comme ça, mais c’est drôlement bizarre de ne plus pouvoir voir ses pieds. »

Ca a tendance à faire rire Aloy, lorsqu’elle regarde sa mère qui de toute évident, a de sérieux problèmes pour mettre des chaussures, maintenant. Moira a tendance à répondre d’un regard noir qui fait plus rire la gamine qu’autre chose. Aucune crédibilité, aucune.

« J’en étais sûre. Mais pour être honnête, tu m’as manqué un peu aussi; je me demandais si nous allions finir par nous revoir. Ça fait quoi ? Cinq mois ? Six ? Je ne parviens même pas à me souvenir. »

Elle jette un coup d’oeil à la salle bondée dans l’espoir de trouver un coin un peu plus calme où s’asseoir… Il y a bien cette table dans le fond de la pièce mais encore faut-il s’y rendre en traversant la foule. Attrapant son verre, Moira fait un signe de la tête à son ami afin qu’il la suive. Par la Créateur, être enceinte n’a jamais été aussi pratique qu’à l’instant. Encore une fois, on la laisse passer sans se poser de question. Là, dans ce coin moins agité, ils pourront au moins parler sans pour autant devoir limite se hurler dessus pour se comprendre; c’est probablement ce que Moira aime le moins dans certaines cantinas.

« Toujours avoir une femme enceinte avec soit dans une cantina, c’est très pratique. Lance Moira en s’appuyant contre le dossier de la chaise. Pour répondre à tes deux questions, pas grand-chose en dehors de ça. Par ça, elle désigne son ventre rond. J’ai eu la merveilleuse idée de suivre mon compagnon sur Corellia. Enfin, j’ai insisté pour le suivre. Quand j’y pense j’aurais plutôt dû rester à la maison avec mon aînée. Ah oui, puisqu’on en est aux grosses révélations, j’ai une fille de sept ans. Surprise surprise. »

Evoquer l’existence d’Aloy ne lui est jamais passé a l’esprit. Mais il y a encore cinq mois, tout le monde pensait que la gamine de Moira était morte à la naissance alors pourquoi aurait-elle parlé de sa fille à un homme qu’elle ne croise que dans une cantina et de façon épisodique ? Quand bien même celui-ci est son ami.

« Et toi ? Comment t’es-tu retrouvé coincé dans ce fichu système, mmmh ? J’ai l’impression qu’on se retrouve toujours fourré dans des histoires louches, toi et moi. Tu ne trouves pas ça incroyablement frustrant d’être bloqué ici ? Ugh. Cela me rend folle, ce dôme. »

Et qui sait combien de temps encore ils vont devoir rester dans ce système ! Si seulement il y avait un moyen de le faire voler en éclats mais pour le moment, cela ne semble pas être la priorité de la Résistance. Ils tiennent tous sur un fil, l’équilibre est plus qu’instable mais quel camp lancera les hostilités en premier ? Pas eux, espère Moira. Dans le fond, elle préférerait une trêve mais elle n’est plus la gamine naïve qu’elle était, cela n’arrivera sûrement pas.

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