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beyond good and evil, part 2 (nev-ora)

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beyond good and evil


Le voyage vers Naboo dans l’hyperespace avait duré une vingtaine d’heures, suffisamment pour se préparer à ce qui les attendait sur la planète, Feren et Nova. Suffisamment pour prendre un peu de repos, se sustenter, se détendre un peu, méditer ou s’entrainer. Le zabrak, après avoir quitté le cockpit en y plantant la jeune Padawan, s’était retiré dans ses quartiers qu’il n’avait plus quitté de toute la traversée, et seul Richi s’était permis d’entrer avec un plateau pour lui servir son repas, sans oser prononcer une raillerie ou une plainte particulière en apercevant son maître assis en tailleur sur son lit, les yeux clos et l’esprit tourné vers d’autres dimensions, d’autres pensées plus lointaines et éparses, plongé dans la réserve bouillonnante de ses émotions pour mieux les dominer, les dompter par la suite. Et le Sith avait eu bien du mal à daigner sortir du torrent cruel et moqueur que la jeune femme avait provoqué en lui, tant cette baignade avait quelque chose d’agréable. Il s’était tant amusé à la tourmenter qu’il regrettait de devoir arrêter si brusquement, même de manière temporaire, le temps de récupérer son artéfact ; toutefois la perspective du voyage de retour lui fit songer que par la suite, il pourrait s’en donner à cœur joie. Après tout, ne disait-on pas : qui aime bien châtie bien ?

Durant l’heure qui restait avant de sortir d’hyperespace, Feren sortit de son antre, simplement revêtu d’une tunique et d’un pantalon aux pans resserrés au niveau des mollets, une tenue qu’il portait habituellement pour s’entrainer. Le Sith n’aurait supporté de tourner en rond tel un fauve en cage en attendant que le temps passe, et après avoir préparé et vérifié cent fois son équipement, seule la perspective de se vider l’esprit de toute pensée parasite par l’activité physique trouvait grâce à ses yeux. Pieds nus, le zabrak s’était glissé vers une pièce du vaisseau qui était vide, n’ayant pas trouvé de fonction utile à celle-ci avant de songer que cela en ferait un bon lieu pour se défouler. Le seul objet qui se trouvait là, apposé contre la paroi métallique, était un vieux bâton de bois, de ceux qui se trouvaient également à Korriban, mais surtout, comme celui qu’il avait manié en étant un gamin sur Iridonia. Sans doutes un vieil héritage sentimental… une des rares choses qui le retenaient encore à son monde d’origine, à son peuple qui s’était taillé une réputation dans le maniement du fameux zhabokas, la double vibrolame qui était l’équivalent métallique du double sabre-laser.

Le zabrak referma lentement ses doigts sur le bâton. Au milieu de la pièce qui était tout de même assez exigüe pour des enchainements complexes, Feren, les yeux mi-clos, enchaina avec une lenteur calculée les mouvements d’abord simples, puis prenant en difficulté, comme s’il dansait un affrontement imaginaire. L’objectif n’était pas, ici, d’épuiser ses forces, alors qu’il en aurait besoin une fois sur Naboo, mais d’assouplir ses muscles et de préparer son mental à une concentration plus intense que d’habitude. Une concentration tournée non seulement vers les attaques extérieures, mais surtout vers les caprices que son humeur aurait à supporter. De ce fait, il s’était totalement coupé du reste du monde, uniquement focalisé sur les mouvements qu’il opérait. Feren oublia ainsi le passage du temps et ne reprit vraiment conscience qu’en entendant le choc sourd caractéristique des moteurs en sortie d’hyperespace. Une légère vague d’impatience emplit ses cœurs, qui tenait davantage de l’envie d’en découdre et d’en finir plutôt que de tester les effets de cette fichue bombe psychique. A vrai dire, ces effets étaient la seule inconnue véritablement problématique pour cette mission. Et s’il s’emportait, noyé dans une rage indescriptible, et qu’il éliminait purement et simplement Nova alors qu’elle était plus apte que lui à retrouver l’endroit exact de sa cachète dans les probables ruines qui les attendaient ? Non, il faisait confiance en ses capacités. Le zabrak n’avait jamais pensé à ce que ce soit simple mais il considérait que les difficultés étaient faites pour être surmontées. Il mettrait en œuvre toutes ses qualités et toute sa détermination pour ne pas céder au poison de Naboo.

Des doigts métalliques tapotèrent doucement à la porte, qui s’entrouvrit ensuite légèrement pour laisser apparaître la tête de Richi. « Nous sommes entrés dans le système de Naboo, maître. Nous ne devrions pas tarder à arriver en orbite sur la planète. » « Je sais. », répondit-il simplement, la voix pour une fois dénuée de reproche ou d’agressivité. Le droïde sembla hésiter un instant, restant silencieux pendant quelques secondes avant de finalement se lancer : « Maître… soyez prudent, là en bas. » A peine eut-il prononcé ces mots qui semblaient sincères, qu’il avait tourné les talons pour retourner au pilotage. Feren resta songeur pendant un court moment, plutôt surpris par cet aveu indirect d’attachement. Reprenant ses esprits, le zabrak abandonna son bâton à sa place pour quitter la salle, pour finalement apercevoir la silhouette de Nova au bout du couloir. « Oh ? Tu ne t’es pas enfuie du vaisseau… surprenant. », ne put-il s’empêcher de grincer avec ironie.

Une fois sur Naboo, réaction aux effets de la bombe:
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Do we get what we deserve ? Say way down we go. Way down we go... You let your feet run wild. Time has come as we all oh, go down. Yeah but for the fall oh, my. Do you dare to look him right in the eyes ? Cause they will run you down, down til the dark. Yes and they will run you down, down til you fall. And they will run you down, down til you go. Yeah so you can't crawl no more - Way down we go -Kaleo

Between good and evil
is there a limit ?
PART 2
Il l'avait plantée comme une idiote dans le cockpit, après ses dernières frappes de mots (trop justes, trop précis pour l'avoir laissée indemne). Il l'avait laissé, bouillonnant de colère, d'incompréhension et d'écœurement. C'était... Beaucoup d'un coup. Elle avait besoin de penser, de s'isoler. Mais si s'isoler du monde extérieur était simple, le faire d'elle-même et de ses émotions était une autre affaire.
Pourtant, Nev-Ora reste un moment sur place, figée dans la position qu'elle avait quand Feren était sortit, hypnotisée par la vue du couloir d'étoiles. Vertigineux, éblouissant. Terrifiant, aussi. C'était comme de se tenir en équilibre au dessus du vide. Elle en avait le souffle coupé. C'était un peu la représentation de ce qu'elle ressentait et vivait continuellement, équilibriste au bord du gouffre, cernée par la Forcé et ses émotions incontrôlables d'un bord, menacée par le côté obscur de l'autre.

Nev-Ora retourne enfin à "sa" chambre, comme un automate, et se retient de tout foutre en l'air et détruire à coup de sabre laser. Elle avait besoin de se débarrasser de toutes ces émotions négatives. En plus, si elle arrivait dans cet état sur Naboo, elle ne tiendrait même pas deux secondes avant de tenter d'arracher la carotide du Sith avec ses dents...
...L'idée était étrangement tentante, même là.

La première chose qu'elle fait en rentrant, c'est barricader la chambre en coinçant la porte. Ca ne servait pas à grand chose en fait, mais c'était pour la paix -pour le peu qui en restait- de son esprit... elle allait devenir folle dans cet endroit, ou elle ne pouvait rien faire pour combler ses pulsions paranoïaques. Elle n'était en sécurité nulle part.
La jeune Padawan décide ensuite de ses débarrasser -ou essayer, sans succès- des émotions négatives en s'entraînant. La chambre était assez vaste, si elle faisait attention, elle ne toucherait aucun mur... Elle règle l'intensité de la lame au minimum, puis se met en position... Et perd tout sens du temps, plongée dans les mouvements tant répétés qu'ils étaient inscrits en elle, faisaient partie d'elle. Elle aurait pu les reproduire, yeux fermés, sans toucher le mur... Normalement. Néanmoins elle n'est pas aussi concentrée qu'elle le voudrait et l'un d'entre eux se fait légèrement égratigner... à plusieurs reprises. En tant normal, une longue séance au sabre laser était pourtant le meilleur moyen de tout oublier.


Lorsque Richi lui apporte un plateau repas, elle ouvre juste assez la prendre pour lui prendre des mains avant de s'y enfermer à nouveau... Et lui fait une demande un peu inhabituelle au droide surpris.

Elle avait toujours eu énormément de mal avec la méditation. Maître Branwen l'avait aidée à trouvée une méthode un peu différente, et plus adaptée pour elle, de celle des autres Jedi. Pour cela, elle avait besoin d'un environnement particulier, naturel. Quelque chose qui l'a fasse se sentir assez à l'aise pour se plonger dans la méditation toute entière...
Mais malgré cette magnifique plante en pot que Richi réussit à lui trouver, dès qu'elle ferme les yeux, ce sont les cris, la souffrance et le sang qui lui brûlent les rétines. Ni paix, ni harmonie, ni rien de bon. Les paroles de Feren tournaient en boucle dans sa tête, terrible litanie. Il avait bien raison, sur elle. Nev-Ora déplorait le présent, le passe, et l'entre-deux lui manquait. Mais elle n'avait absolument pas un comportement digne des Jedi... Ce serait encore une de ces nuits d'insomnie, sans repos, sans répit. Mais elle était habituée à se priver de sommeil pendant plusieurs jours, ce ne serait donc pas le plus gros du défi qui les attendaient, que son manque de sommeil.


Perdue, incapable de méditer, encore moins de dormir même sur le sol de la chamber, Nev-Ora décide de sortir errer dans les couloirs du vaisseau. L'enfermement, surtout dans un environnement aussi métallique, la rendait claustrophobe et faisait remonter ces souvenirs bannis. Elle n'avait pas besoin de ça..... Ses pas la mène jusqu'à une pièce d'ou ressortait des sons qui la rendent mélancolique, un instant. Le son du sabre ou des bâtons tourbillonnants, les Maîtres et les Padawans performant les katas et différentes formes presque artistiques, dans leur beauté.... La jeune femme entrouvre discrètement la porte. Ni Jedi, ni Padawan. Mais un Sith, majestueux et dangereux. Feren était impressionnant, et Nev-Ora perd encore le fil du temps, presque envoûtée, en l'observant lui donner un aperçu d'une chorégraphie mortelle, de laquelle elle serait peut-être victime plus tard... De laquelle tant de Jedi étaient morts.

Elle referme la porte et s'éloigne rapidement lorsque le vaisseau sort de l'hyperspace, ne voulant pas être trouvée en pleine séance d'espionnage par Feren.

« Oh ? Tu ne t’es pas enfuie du vaisseau… surprenant. » Trop tard. Elle se crispe, la voix la fauche dans son élan, et fait échouer son plan de retarder le plus possible leur prochaine confrontation. Nev-Ora se retourne lentement vers lui. « J'ai nulle part ou fuir. Et j't'ai donné ma parole. » Elle lâche d'une voix faussement neutre. Même si ça ne signifiait rien, pour lui. Oh, elle était toujours furieuse. Simplement, elle avait suffisamment bataillé pour réprimer ses émotions, au moins un peu, sous la surface. Leur survie en dépendait -même si depuis leur dernière conversation, la survie de Feren était loin d'être une de ses priorités.

Sans attendre, elle commence a marcher vers le sas d'atterrissage. « Si j'meurs, j'ai laissé un sachet sur mon lit. Y'a des coordonnés. C'est une mécano de Tatooine, j'lui dois du fric. Tu pourras lui donner, un jour, p't'être. Si c'est pas trop d'mander. » Il y avait de fortes chances qu'il le garde pour elle ou le jette aux oubliettes. Non, elle n'avait pas le moins du monde confiance en lui. Mais c'était pas comme si elle pouvait demander à quelqu'un d'autre. De toute manière, quand elle serait crevée, ce serait plus sa responsabilité, si Nova était payée ou non pour les réparations qui n'étaient même pas encore finies.


Mais franchement.... Elle allait crever, massacrer par une bande de fous, ou par un Sith, alors à quoi bon se soucier de ça ? Nev-Ora soupire et tire sur sa tresse de Padawan, comme pour s'éclaircir l'esprit avec la douleur. Ca fonctionnait pas. Rien n'allait plus, depuis Naboo.

©Pando


Effets de ma bombe psychique de Naboo:
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Feren haussa un sourcil suspect en constatant que la jeune femme se crispait à ses mots. Et bien quoi, qu’avait-il encore dit d’absolument horrible pour qu’elle se fige presque comme une statue ? Un demi-sourire cynique se dessina lentement sur les lèvres du zabrak tandis qu’elle lui rétorquait qu’elle lui avait donné sa parole. Quelle valeur pouvait-on seulement donner à sa parole quand il avait été trahi par la Padawan ? Le Sith ne croyait pas aux paroles jetées en l’air, et ce pour la simple et bonne raison qu’il faisait partie d’un Ordre où le mensonge, le complot et les trahisons dans le dos étaient monnaie courante. Comme dans le reste de la galaxie. Mais en soi, en effet, où pouvait-elle bien aller, au delà du vide de l’espace intersidéral ? « Ta parole ? Mouais… En même temps, t’avais pas trop le choix. », rappela-t-il avec une pointe de sarcasme, observant Nova se diriger vers le sas alors qu’ils entraient à peine en orbite autour de Naboo. Pressée d’en finir, la gamine ?

Croisant les bras et se calant contre une paroi métallique en écoutant ses dernières volontés avec un air on ne pouvait plus moqueur sur le visage, sa joue tiqua légèrement, subrepticement, lorsqu’elle parla de la mécano. Se pouvait-il que… ? Peu probable, des mécaniciens, sur Tatooine, il y en avait des masses, et pour qu’il s’agisse de son ami Nova, il fallait plus qu’un miracle tant les probabilités étaient faibles. « Tu crois vraiment qu’il y a écrit facteur sur mon front ? », rétorqua-t-il, pince-sans-rire. Il semblait protester au premier abord, mais puisque cette personne devait être payée, il aurait été ingrat de ne pas lui livrer rapidement la solde au cas où… Au fond de lui, Feren préférait ne pas envisager cette possibilité. Qui allait-il tourmenter si la Padawan disparaissait ? Oh, certes, il y avait une multitude d’apprentis à torturer gentiment, mais c’était différent. Faire marcher une jeune apprentie Jedi qui courait là où il envoyait des balles et qui semblait même se saboter son propre parachute, il n’y avait que Nova à qui le zabrak pouvait le faire. Et c’était bien trop amusant pour qu’il lui permette de mourir comme ça.

La moue peu convaincue qu’arborait son visage jusque-là se transforma en neutralité impassible, lorsqu’il finit par hausser les épaules. « Mais puisqu’il faut bien quelqu’un pour accomplir tes dernières volontés… Ne crois pas pour autant que je vais te laisser crever, je n’en ai pas terminé avec toi. » Tant de bonté pour un Sith, il aurait sans doutes dû s’en étouffer. A ses mots, il la planta dans le sas, puisque de toute évidence, ils n’étaient pas encore sur le point de se poser, une bonne vingtaine de minutes s’imposaient probablement. Il en profita donc pour regagner ses quartiers pour y enfiler son armure, vérifiant tout avec des gestes méticuleux. L’avenir qui se jouait sur la planète empoisonnée et était aussi sombre que les confins de l’espace, dont on ne pouvait distinguer le moindre horizon, puisque ce dernier n’existait pas, aussi insaisissable qu’un nuage nébuleux. S’emparant de la poignée de son sabre double, Feren quitta son petit cocon qui, il n’en doutait pas, deviendrait rapidement ce qu’on appelait un chez-soi, faisant un bref crochet par le cockpit, d’où il put observer l’obscurité du vide infini qui avait cédé à la luminosité claire et presque aveuglante de l’atmosphère de Naboo.

Les nuages que le vaisseau traversaient semblaient comme du coton dont on ne pouvait se saisir et bientôt, la surface apparut à ses yeux, encore lointaine, mais défilant avec rapidité dans une succession de forêts et d’étendues de plaines. Un endroit si tranquille, si paisible, en apparence seulement… à présent hanté par la folie qui avait contaminé les esprits et qui risquait aussi de les corrompre. « Quand tu auras atteint les coordonnées, arrange-toi pour faire un vol stationnaire à quelques mètres du sol à proximité après avoir balayé un peu la zone avec les scanners biologiques. Dès qu’on sera à terre, tu reprendras de la hauteur pour éviter de trop attirer l’attention. On reste en contact pour repartir d’ici. » « Comme vous voudrez, maître. » Les instructions étant données et comprises, le zabrak s’en fut vers le sas où il avait laissé plus tôt la jeune Padawan, lançant et rattrapant d’un air nonchalant son sabre éteint. « Une heure pour notre promenade de santé, j’espère que ça suffira. », souffla-t-il en entrant en état de demi-introspection, afin de mettre toutes leurs chances de leur côté et de ne pas perdre trop rapidement la tête. Bien que l’air du vaisseau était filtré et autonome, au moment où ils ouvriraient la rampe d’accès, l’atmosphère empoisonnée de Naboo viendrait leur agresser les neurones.

La voix de Richi leur parvint depuis l’autre bout du couloir : « Scan de la zone complété, maître. J’ai détecté des formes de vie plusieurs habitations encore en état. Il y a une zone déserte à proximité de la rue principale, mais faites attention, il y a beaucoup de décombres. C’était une place, avant… » « D’accord, on peut sauter là. Commence ton vol stationnaire. », répliqua le zabrak au droïde. La réduction de la vitesse se fit sentir, tandis que la gravité augmentait légèrement avec l’effort fourni par les moteurs pour se maintenir à ras du sol avec une aussi faible vélocité, d’autant que celle de Naboo jouait et était légèrement différente de la gravité artificielle du vaisseau dans l’espace. Feren rabattit la capuche de son manteau sur sa tête et appuya sur le bouton d’ouverture de la rampe, qui s’ouvrit dans un appel d’air saisissant. Sous leurs yeux, en effet, une place aux côtés encombrés de décombres, des ruines de murs qui se maintenaient encore debout par on ne savait quel miracle. Aux premières inspirations de l’air putréfié de Naboo, le Sith sentit effectivement s’inciser en lui un fond d’agressivité qui, pour l’instant, et à condition de ne pas le pousser à bout, serait gérable. « Bon, et bien, nous y sommes. », dit-il fatalement, avant de sauter, pour se rétablir lourdement au sol.
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