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In my experience there is no such thing as luck. | Darell & Keva
In my experience there is no such thing as luck. | Darell & Keva Mer 26 Avr - 13:23
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Keva & Darell
Ce qu’il s’est passé sur Naboo est indescriptible. Je ne suis pas toute blanche, j’ai du sang sur les mains, mais cette guerre entre la Résistance et le Premier Ordre commence à faire beaucoup trop de dommages collatéraux. Les rumeurs parlent également d’une bombe un peu particulière, une arme d’un autre âge, une magie inconnue de nos jours. Je n’en sais pas beaucoup plus, je sais simplement qu’à présent Naboo est inhabitable et tout le monde a fui. Mes pensées sont donc allées à ceux présents à Theed ce jour-là, en particulier un Résistant qui est plutôt coriace. Tuiren Yesmeth, un des contrats les plus gros que j’ai accepté. Par chance, contrairement aux deux autres, je ne connais pas vraiment ce mec et je n’ai donc aucune attache m’empêchant de mener à bien ma mission. Le trouver ne sera pas facile, le capturer non plus, mais je n’aurai pas de regret, ça c’est déjà une bonne chose. Sa capture ou sa mort pourrait me permettre de financer les soins d’Allyria et je ne peux pas passer à côté d’une telle opportunité. Mes recherches doivent donc reprendre car j’ai eu tendance à me laisser aller ces derniers temps, la tête ailleurs.
J’ai passé les derniers jours à parcourir l’Holonet à la recherche d’une solution, d’une ouverture et tout me redirigeait à chaque fois vers un seul et même mot-clé : Damoclès. J’ignore ce qu’est Damoclès. Si c’est une intelligence artificielle, une organisation, un pseudonyme d’un hacker. Les avis divergent pas mal sur l’Holonet des Chasseurs de Primes, mais m’est avis qu’il ne s’agit que d’une personne. En tout cas, tout semble me guider vers cette entité, comme quoi Damoclès serait la réponse à toutes les questions que je me pose concernant Tuiren Yesmeth. Je l’espère en tout cas, car à l’heure actuelle, trouver la Résistance n’est pas une mince affaire. Et ce commandant des Rogues n’est pas la seule cible que je me dois de capturer voire d’abattre. Il faut dire qu’ils ont cette fâcheuse tendance à chercher le Premier Ordre et eux, ils ont tendance à bien payer. Le choix est vite fait.
Après des nuits de recherches, j’ai fini par tomber sur un individu qui, je le pense, pourrait me venir en aide. Je l’ai contacté de manière anonyme en lui donnant rendez-vous sur Coruscant, au vieux marché galactique. A vrai dire, je n’ai aucune idée de s’il me rejoindra et s’il acceptera de me parler, mais je devais tenter le coup. De toute manière, j’ai une course à faire sur Coruscant, alors ce ne sera pas un trajet fait pour rien. Je demandai à Allyria de rester à la maison Renliss, pour le coup, je préférais éviter qu’elle ne soit dans mes pattes pour cette mission. Je la connais à toujours vouloir me ramener à la raison d’une part et puis je pense que négocier seule pour entrer en contact avec Damoclès serait préférable. Si c’est pour devoir retrouver ma sœur morte ivre dans une cantina alors que je lui demandais de m’attendre sagement, je crois que je préfère passer mon tour. La consigne est simple donc : elle doit rester sur Dartessex IV.
Après un long trajet en Navette depuis la maison Renliss, je posai enfin pieds sur Coruscant. Cette planète m’a toujours fascinée. Si je n’y ai jamais passé plus d’une ou deux journées, je connais la plupart des quartiers hors-la-loi comme ma poche et ça, c’est mauvais signe quand j’y repense. Mais bon, c’est ici que l’on trouve les meilleures affaires mais surtout les meilleures cantina, et pour ça, je ne refuse jamais une venue sur Coruscant. Mais l’heure était aux affaires, je n’avais pas de temps à perdre car l’heure du rendez-vous était proche. Je traversai toute la zone du spatioport pour aller trouver un taxi, le seul moyen de transport fiable de la planète. Enfin, je parle pour moi. Il ne vaut mieux pas me confier le pilotage d’un vaisseau ou d’un véhicule quel qu’il soit. C’est mieux. Pour la sécurité quoi.
J’arrivai alors dans le quartier de marché galactique de Coruscant, un endroit que je connais si bien. Maintenant la question qui se pose c’est de savoir si mon possible contact se montrera et s’il saura me retrouver. Je lui ai simplement indiqué que je porterais une veste rouge, rien de plus si ce n’est mon pseudonyme utilisé lorsque je l’ai contacté : Zerka Kyev. Je regarde tout autour de moi, je ne sais pas non plus comment le reconnaître, en revanche, sont présents de nombreux bons vieux amis. Enfin, amis est un grand mot. Mais je ferais mieux de me faire la plus discrète possible dès lors que mon contact m’aura retrouvée. Cette veste rouge est décidément trop voyante et je ne tiens pas à m’attirer des ennuis, pas aujourd’hui du moins.
J’ai passé les derniers jours à parcourir l’Holonet à la recherche d’une solution, d’une ouverture et tout me redirigeait à chaque fois vers un seul et même mot-clé : Damoclès. J’ignore ce qu’est Damoclès. Si c’est une intelligence artificielle, une organisation, un pseudonyme d’un hacker. Les avis divergent pas mal sur l’Holonet des Chasseurs de Primes, mais m’est avis qu’il ne s’agit que d’une personne. En tout cas, tout semble me guider vers cette entité, comme quoi Damoclès serait la réponse à toutes les questions que je me pose concernant Tuiren Yesmeth. Je l’espère en tout cas, car à l’heure actuelle, trouver la Résistance n’est pas une mince affaire. Et ce commandant des Rogues n’est pas la seule cible que je me dois de capturer voire d’abattre. Il faut dire qu’ils ont cette fâcheuse tendance à chercher le Premier Ordre et eux, ils ont tendance à bien payer. Le choix est vite fait.
Après des nuits de recherches, j’ai fini par tomber sur un individu qui, je le pense, pourrait me venir en aide. Je l’ai contacté de manière anonyme en lui donnant rendez-vous sur Coruscant, au vieux marché galactique. A vrai dire, je n’ai aucune idée de s’il me rejoindra et s’il acceptera de me parler, mais je devais tenter le coup. De toute manière, j’ai une course à faire sur Coruscant, alors ce ne sera pas un trajet fait pour rien. Je demandai à Allyria de rester à la maison Renliss, pour le coup, je préférais éviter qu’elle ne soit dans mes pattes pour cette mission. Je la connais à toujours vouloir me ramener à la raison d’une part et puis je pense que négocier seule pour entrer en contact avec Damoclès serait préférable. Si c’est pour devoir retrouver ma sœur morte ivre dans une cantina alors que je lui demandais de m’attendre sagement, je crois que je préfère passer mon tour. La consigne est simple donc : elle doit rester sur Dartessex IV.
Après un long trajet en Navette depuis la maison Renliss, je posai enfin pieds sur Coruscant. Cette planète m’a toujours fascinée. Si je n’y ai jamais passé plus d’une ou deux journées, je connais la plupart des quartiers hors-la-loi comme ma poche et ça, c’est mauvais signe quand j’y repense. Mais bon, c’est ici que l’on trouve les meilleures affaires mais surtout les meilleures cantina, et pour ça, je ne refuse jamais une venue sur Coruscant. Mais l’heure était aux affaires, je n’avais pas de temps à perdre car l’heure du rendez-vous était proche. Je traversai toute la zone du spatioport pour aller trouver un taxi, le seul moyen de transport fiable de la planète. Enfin, je parle pour moi. Il ne vaut mieux pas me confier le pilotage d’un vaisseau ou d’un véhicule quel qu’il soit. C’est mieux. Pour la sécurité quoi.
J’arrivai alors dans le quartier de marché galactique de Coruscant, un endroit que je connais si bien. Maintenant la question qui se pose c’est de savoir si mon possible contact se montrera et s’il saura me retrouver. Je lui ai simplement indiqué que je porterais une veste rouge, rien de plus si ce n’est mon pseudonyme utilisé lorsque je l’ai contacté : Zerka Kyev. Je regarde tout autour de moi, je ne sais pas non plus comment le reconnaître, en revanche, sont présents de nombreux bons vieux amis. Enfin, amis est un grand mot. Mais je ferais mieux de me faire la plus discrète possible dès lors que mon contact m’aura retrouvée. Cette veste rouge est décidément trop voyante et je ne tiens pas à m’attirer des ennuis, pas aujourd’hui du moins.
Re: In my experience there is no such thing as luck. | Darell & Keva Mer 3 Mai - 16:14
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I'm what i am...Naboo... Un désastre sans pareil. Impuissant je n'ai pu que fuir, et encore, avec l'aide de la résistance. La mission, ma mission n'était rien d'autre qu'un échec. Combien ont péri sur le sol de ma planète natale ?! Trop... et pourtant la galaxie n'avait pas cessé de tourner... sauf pour moi... quelques jours peut-être. Le fin mot de l'histoire ? La victoire de la Résistance, il paraît... Ils ont trouvé la carte menant au héros avec un grand "H" qui mérite tant de sacrifice ! Ô grand Skywalker, vient donc sauver la galaxie une nouvelle fois ! Nous t'en supplions... Pff. Où est-il ? Personne ne l'sait ! Môsieur, préfère jouer à cache-à-cache pendant que le Premier Ordre met la galaxie à feu et à sang. Personne ne m'avait dit que le fils de Vador était un farceur... Sacré Luke ! Ma foi... comme d'habitude, j'ai grogné dans mon coin pour ne pas faire de vague, et toutes ses pensées négatives se sont envolées lorsque j'ai retrouvé Gwen... la seule personne capable de me faire sortir de ce torrent d'idées noires ! Et cela même si c'est elle qui a retrouvé la carte. Fier ? Bien sûr ?! Même si j'suis pas d'accord avec l'objectif premier d'la Résistance, c'est quand même elle qui a récupérer l'artefact ! Dans un groupe seulement composé de Jedi ! Elle a quand même prouvé qu'on a pas b'soin d'agiter un néon coloré et d'brasser du vent avec ses mains pour sauver la galaxie. Alors bien sûr que j'suis fier d'elle, et encore plus d'être son p'tit copain !
M'enfin... l'avenir se dessinait. Glorieux pour certain, incertain pour d'autres... comme moi. Ré-intégrer la Résistance était certes la prochaine étape, mais j'devais réfléchir aux conséquences. Serais-je prêt à endurer une autre catastrophe comme Naboo pour les beaux yeux d'un type dont on ne sait toujours pas s'il est en vie ? Serais-je prêt à lâcher ce pourquoi j'bosse depuis quelques années maintenant ? Damoclès ?! Non. C'est une partie de moi-même que je ne peux chasser... Damoclès continuerait d'exister... mais différemment... Puis,... le hasard a bien fait les choses. Trop peut-être... Un simple message. Zerka Kyev. Un rendez-vous ? Pour parler affaires... Mon nom apparaissait encore sur les registres des Bounty Hunters... pas étonnant que l'on continue à me contacter... Concis. Juste un rendez-vous sur Coruscant. Pas d'objet sinon qu'il s'agit sûrement d'un contrat. J'ai hésité un moment. La logique aurait voulu que je n'accepte pas,... j'ai jamais aimé ce job... mais ça payait bien... même si la plupart du temps je ne faisais pas ça pour l'pognon... mais ça payait bien quand même. Puis... avec la bataille de Naboo, mes investissements ne se résumaient plus qu'à quelques gravats... un atelier entier réduit en miettes... la baraque de mon enfance... et mes économies avec... alors oui. J'en suis pas fier, mais c'est l'appât du gain qui, pour une fois m'a poussé à m'y rendre. Comment j'ai justifié mon départ à quelques jours de ma possible ré-intégration dans la Résistance ?! J'devais aller chercher le Herald sur Seltos, alors un p'tit détour par Coruscant était totalement envisageable.
« Excusez-moi » disais-je en me frayant un chemin dans la mélasse graisseuse des rues de Coruscant. Les quartiers comme ceux-ci n'étaient pas franchement bien fréquentés... pour la plupart, des gusses qui usaient mieux d'leur armes que d'leur cerveau... et susceptible en plus. Combien d'fois j'ai failli m'faire péter l'nez pour avoir malencontreusement bousculer quelqu'un. L'vieux marché Galactique... on aurait au moins pu trouver un endroit moins fréquenter... M'enfin, l'client est roi. J'étais plus très loin, mais la question qui s'posait maintenant , c'était, comment reconnaître mon contact ?! C'bien gentil de dire qu'on porte une veste rouge... c'voyant y a pas à dire... seulement on parle de Coruscant ! Puis rouge, c'est vague... Du rouge sang ? Cramoisi ? Rouille ? Carmin ? Enfin, ma réflexion a été rapidement balayé par une scène assez curieuse d'un Gamoréen s’essuyant les pieds sur un Sullustéens qui visiblement n'avait rien d'mandé... enfin j'crois... Visiblement, les événements de Naboo ne semblaient pas avoir bousculer grand monde ici.
Il me fallut peut-être une petite heure encore pour atteindre le quartier du lieu de rendez-vous. Le Marché Galactique... plein à craquer comme je m'y attendais. Par contre,... l'nombre de personnes portant une veste rouge se comptait sur les doigts d'la main. Quelle chance ! J'ai tenté l'coup quatorze fois ! Les doigts d'la main hein... à croire qu'à chaque fois qu'j'abordais quelqu'un portant une veste rouge, une autre surgissait d'un recoin du quartier. Seulement j'avais omis un détail... Un type qui accoste des gens dans la rue,... en leur demandant « Zerka Kyev ? »... bah c'est étrange... Surtout quand on tombe sur un gars qu'on a prit pour une nana de dos et qui prend ça pour une insulte dans une autre langue que le Basic. Le coup est parti... dans l'pif en plus... pour changer, ça faisait bien longtemps que j'm'étais pas r'trouver par terre... Oh... puis l'gaillard à pas l'air d'être commode... 'tain j'suis pas v'nu ici pour m'faire péter la gueule...
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Re: In my experience there is no such thing as luck. | Darell & Keva Jeu 4 Mai - 11:44
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Les minutes qui s’écoulèrent à attendre mon contact semblèrent durer des heures. Je ne compte plus le nombre de regards qui se sont posés sur moi et le nombre de fois où je me suis demandé si c’était l’abruti que je devais rencontrer. J’avais envie de leur gueuler que oui, j’étais bien Zerka Kyev, mais j’ai rapidement décelé dans le regard de ces enfoirés que leurs intentions étaient mauvaises. Du moins, plus mauvaises que les miennes. Je les regarde tous passer devant moi, certains repasser encore et encore. Je ne fais pas de vagues car je veux rester discrète et Coruscant n’est pas le genre de planète sur laquelle je veux avoir des problèmes. Mais je ne peux m’empêcher de repenser à un de ces enfoirés que j’ai fait coffrer une fois. Ce genre d’homme semblable à ce père biologique que j’essaye d’oublier en vain. Un pervers, aussi sale qu’un bantha en chaleur. Rien que d’y penser, l’image me dégoûte, mais le pire, c’est qu’il n’était pas un cas isolé.
Je ne sais pas combien de temps j’ai attendu la personne que je devais rencontrer. Non pas que j’ai donné une heure en particulier, mais j’ai surtout pas mal douté de sa venue. Je m’apprêtais d’ailleurs à partir quand j’ai enfin repéré qui il était. Je n’en pouvais plus d’attendre là, debout à rien faire et à devoir supporter les regards de ces êtres malsains. S’il ne s’était pas finalement pointé, j’aurais dû me tourner vers quelqu’un d’autre pour contacter ce Damoclès, mais pour le coup, ce déplacement aurait été non pas inutile, mais disons que j’aurais pu le remettre à plus tard. Non, finalement, le jeune homme semblait être mon contact. Je ne m’attendais pas à ça. Enfin, je ne m’attendais pas à quelqu’un en particulier, en fait. Finalement, il a la bonne tête de celui qui pourrait hacker tout ce que je lui demande. S’il ne me conduit pas à Damoclès, finalement, je pourrai toujours tenter d’acheter ses services à lui directement.
Je me résous à me bouger pour aller le voir, histoire d’au moins le questionner pour savoir si effectivement il est celui qui cherche « Zerka Kyev », mais j’ai à peine le temps de le rejoindre que la scène dégénère sous mes yeux. Je me stoppe net. Il est encore temps de partir et de ne pas me mêler de ce qui ne me regarde pas. Je l’entends dire mon nom que l’autre personne avec une veste rouge, évidemment, mais qui n’a rien d’une femme, se retourne. Je ne l’avais pas vu venir, il lui fout un coup dans le nez et mon contact tombe à terre. J’aurais dû prévoir qu’un informateur pouvait être faible et du coup, le lieu de rendez-vous était peut-être mal choisi. Mais ça, il est un peu trop tard pour faire marche arrière. Je sors mon fusil blaster. Certes ce n’est pas l’arme la plus discrète dans ce genre de situation, mais je n’ai que ça sous la main. Je mets en joue l’agresseur. « Va-t’en, laisse-le tranquille. Crois-moi, tu ne veux pas avoir de problème avec moi. » J’attrape mon contact par le bras pour le faire se relever tout en gardant l’autre en vue. Il finit par partir en vociférant ce que je pense être des insultes et je pars alors dans la direction opposée avec celui qui s’est fait agresser.
Après avoir marché quelques minutes et après être certaine de ne pas avoir été suivie. « Je suis Zerka Kyev. Dites-donc, la prochaine fois, évitez d’attirer l’attention sur vous comme ça. Le mot discrétion, ça ne vous connait pas on dirait. » J’enlève ma veste rouge qui depuis tout à l’heure ne fait qu’accentuer ma présence. Je parle de discrétion, mais pour le coup, je ne suis pas mieux dans ce cas-là. « Vous avez de la chance, ce n’est que le nez. Bon, ça va vous défigurer un coup, mais ce n’est pas la mort. Vous auriez pu tomber sur un fou furieux de la gâchette qui vous aurait abattu en moins de deux. Enfin, je comprends, c’est de ma faute, je n’aurais pas dû vous faire venir dans un endroit avec ce genre de fréquentation. » Si je me montre trop mauvaise à lui faire des reproches à tout va, je prends le risque qu’il s’en aille. Le pauvre, il n’a pas l’air d’être un mauvais garçon, mais le pauvre est tombé sur la mauvaise personne.
Maintenant certaine qu'il est celui que je cherche, je mets les choses au clair. « Je ne vous ai pas fait venir pour vous faire la morale. Je pense que vous êtes probablement le plus à même pour me renseigner et je ne voulais pas vous le demander directement sur l’holonet, c’était trop risqué, on est constamment surveillés. » La preuve en est, je suis la première à demander service pour qu’on me surveille certaines conversations. Je serais stupide de ne pas être prudente moi-même. Je sais que beaucoup de personnes veulent ma peau. « Pouvez-vous me parler de Damoclès ? Ce que vous savez sur lui, ou elle, je n’en sais trop rien. Savez-vous s’il s’agit d’une personne, une organisation, un programme ? » C'est assez direct, mais je ne voulais pas tourner autour du pot. S’il ne savait pas me répondre au moins, les choses seraient rapidement claires. Pas besoin de faire des manières ou quoi. J’espère simplement qu’il ne me demandera pas des cents et des mille. J’en ai peut-être trop fait en disant dans le message que je paierais bien. Mais sans ça, il ne serait très certainement pas là. Les rues sont presque désertes là où on est. Je sais que parler debout, adossés à un mur ce n’est pas l’idéal, mais je n’ai rien de mieux à lui offrir. Pourvu qu’il ait des choses à me dire.
Je ne sais pas combien de temps j’ai attendu la personne que je devais rencontrer. Non pas que j’ai donné une heure en particulier, mais j’ai surtout pas mal douté de sa venue. Je m’apprêtais d’ailleurs à partir quand j’ai enfin repéré qui il était. Je n’en pouvais plus d’attendre là, debout à rien faire et à devoir supporter les regards de ces êtres malsains. S’il ne s’était pas finalement pointé, j’aurais dû me tourner vers quelqu’un d’autre pour contacter ce Damoclès, mais pour le coup, ce déplacement aurait été non pas inutile, mais disons que j’aurais pu le remettre à plus tard. Non, finalement, le jeune homme semblait être mon contact. Je ne m’attendais pas à ça. Enfin, je ne m’attendais pas à quelqu’un en particulier, en fait. Finalement, il a la bonne tête de celui qui pourrait hacker tout ce que je lui demande. S’il ne me conduit pas à Damoclès, finalement, je pourrai toujours tenter d’acheter ses services à lui directement.
Je me résous à me bouger pour aller le voir, histoire d’au moins le questionner pour savoir si effectivement il est celui qui cherche « Zerka Kyev », mais j’ai à peine le temps de le rejoindre que la scène dégénère sous mes yeux. Je me stoppe net. Il est encore temps de partir et de ne pas me mêler de ce qui ne me regarde pas. Je l’entends dire mon nom que l’autre personne avec une veste rouge, évidemment, mais qui n’a rien d’une femme, se retourne. Je ne l’avais pas vu venir, il lui fout un coup dans le nez et mon contact tombe à terre. J’aurais dû prévoir qu’un informateur pouvait être faible et du coup, le lieu de rendez-vous était peut-être mal choisi. Mais ça, il est un peu trop tard pour faire marche arrière. Je sors mon fusil blaster. Certes ce n’est pas l’arme la plus discrète dans ce genre de situation, mais je n’ai que ça sous la main. Je mets en joue l’agresseur. « Va-t’en, laisse-le tranquille. Crois-moi, tu ne veux pas avoir de problème avec moi. » J’attrape mon contact par le bras pour le faire se relever tout en gardant l’autre en vue. Il finit par partir en vociférant ce que je pense être des insultes et je pars alors dans la direction opposée avec celui qui s’est fait agresser.
Après avoir marché quelques minutes et après être certaine de ne pas avoir été suivie. « Je suis Zerka Kyev. Dites-donc, la prochaine fois, évitez d’attirer l’attention sur vous comme ça. Le mot discrétion, ça ne vous connait pas on dirait. » J’enlève ma veste rouge qui depuis tout à l’heure ne fait qu’accentuer ma présence. Je parle de discrétion, mais pour le coup, je ne suis pas mieux dans ce cas-là. « Vous avez de la chance, ce n’est que le nez. Bon, ça va vous défigurer un coup, mais ce n’est pas la mort. Vous auriez pu tomber sur un fou furieux de la gâchette qui vous aurait abattu en moins de deux. Enfin, je comprends, c’est de ma faute, je n’aurais pas dû vous faire venir dans un endroit avec ce genre de fréquentation. » Si je me montre trop mauvaise à lui faire des reproches à tout va, je prends le risque qu’il s’en aille. Le pauvre, il n’a pas l’air d’être un mauvais garçon, mais le pauvre est tombé sur la mauvaise personne.
Maintenant certaine qu'il est celui que je cherche, je mets les choses au clair. « Je ne vous ai pas fait venir pour vous faire la morale. Je pense que vous êtes probablement le plus à même pour me renseigner et je ne voulais pas vous le demander directement sur l’holonet, c’était trop risqué, on est constamment surveillés. » La preuve en est, je suis la première à demander service pour qu’on me surveille certaines conversations. Je serais stupide de ne pas être prudente moi-même. Je sais que beaucoup de personnes veulent ma peau. « Pouvez-vous me parler de Damoclès ? Ce que vous savez sur lui, ou elle, je n’en sais trop rien. Savez-vous s’il s’agit d’une personne, une organisation, un programme ? » C'est assez direct, mais je ne voulais pas tourner autour du pot. S’il ne savait pas me répondre au moins, les choses seraient rapidement claires. Pas besoin de faire des manières ou quoi. J’espère simplement qu’il ne me demandera pas des cents et des mille. J’en ai peut-être trop fait en disant dans le message que je paierais bien. Mais sans ça, il ne serait très certainement pas là. Les rues sont presque désertes là où on est. Je sais que parler debout, adossés à un mur ce n’est pas l’idéal, mais je n’ai rien de mieux à lui offrir. Pourvu qu’il ait des choses à me dire.
Re: In my experience there is no such thing as luck. | Darell & Keva Lun 8 Mai - 20:21
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I'm what i am...Aïe ! 'Tain mec, t'pouvais pas juste me dire que c'est pas toi ? Ouais... ça m'aurait évité d'me retrouver avec le nez encore en miette... c'pas comme si depuis quelques semaines il était devenu la cible des règlements d'compte. J'sais pas c'qu'il a mon pif... il doit pas leur revenir... nan franchement je sais pas. Il revient à la charge, m'insultant de tout les noms,... alors que j'essaie de lui faire comprendre qu'il ne s'agissait pas d'une insulte, mais d'une simple question. L'gars est sourd visiblement,... il continue de grogner. M'enfin,... comme si ça suffisait, une nana s'en mêle, avec un jouet bien plus gros qu'les poings, déjà assez important, du gaillard. Elle pointe son arme sur lui, lui sommant de me foutre la paix sous peine d'avoir des problèmes avec elle... c'te bonne femme, m'a pas l'air bien commode quand même... le genre de femme qu'il ne faut pas trop bousculer si vous voulez mon avis. Ah... mais... elle porte une veste rouge elle aussi... Est-ce qu'elle se... Pas l'temps d'poser la question qu'elle m'attrape par le bras, et m'aide à me relever. Une bien gentille attention, mais j'aurai pu m'débrouiller seul. J'ai l'air de quoi maintenant ?! L'autre abruti n'était même plus là d'ailleurs. AH, quelle loque... j'vous jure. Bon en tout cas, j'crois qu'ma cliente m'a trouvé...
On a marché quelques minutes pour s'écarter d'l'endroit où j'm'étais donné en spectacle, à mon insu, pour trouver un coin plus calme et peut-être plus propice à la discussion. Je suis « Zerka Kyev ». Elle est bien ma cliente. D'ailleurs, elle ne tarde pas à enlever sa veste,... et à m'faire remarquer l'manque de professionnalisme des événements précédents. Que voulez-vous ?! A votre avis, pourquoi ne suis-je jamais devenu espion ? J'suis bien trop maladroit pour l'être... la preuve, j'ai encore l'tarin en vrac. M'enfin... elle nuance ses propos, insinuant que j'ai eu d'la chance, mais qu'elle avait sa part de responsabilité dans c't'affaire... « Un fou d'la gâchette ?... un peu plus dans votre style ? » répondis-je en faisant un mouvement de tête vers elle pour désigner le fusil blaster. « La prochaine fois, on pourrait voir à s'rencontre dans une taverne, autour d'un verre... j'sais pas réserver une table, donnez m'en l'numéro... ça s'ra certainement plus simple pour vous trouvez j'vous assure » continuai-je rigolant. Ce n'est pas un reproche, enfin si, un peu, j'l'ai mauvaise pour mon nez, mais j'tâche de rester correct !
Très rapidement, le sujet change, laissant de côté cette rencontre un peu chaotique. Je l'écoute, frottant l'bout d'mon nez frénétiquement à cause de la douleur. Elle ne m'avait pas donné la raison pour laquelle elle avait besoin d'moi... car elle ne voulait pas passer par l'holonet, à cause de sa surveillance. Ah ! A qui le dîtes-vous,... j'en sais quelque chose... prudente, faut bien le reconnaître... Puis soudainement, elle évoque un nom... Damoclès. Trop occupé à triturer mon nez, je ne relève pas de suite. « Ah ! Vous cherchez Damoclès ? Si je sais c'que c'est ? Bien s... » Soudainement, réalisant la requête de la jeune femme, je sens ma salive prendre la mauvaise route, m'étouffant avec et toussant encore et encore pendant quelques secondes. « Damoclès ?! » répétai-je subitement en essayant d'calmer ma toux. Quelle ironie... Je suis Damoclès, et v'là qu'on passe par moi pour trouver... moi. Je ne dois pas faire tomber ma couverture, et si vous voulez mon avis, avec une réaction pareille, c'mal barré.
J'tente de reprendre un peu de contenance, me redressant, le visage rougit par ma quinte de toux. La question du paiement disparaît d'mon esprit, je ne pense plus qu'à une chose : Pourquoi ? Pourquoi était-elle passée par moi pour trouver Damoclès... ma couverture serait déjà tombé ? Quelqu'un saurait ? Impossible... Mais... aussi... pourquoi cherche-t-elle à contacter Damoclès ? Tant de questions. « Alors vous cherchez Damoclès... celui qui s'amuse à diffuser des infos sur l'holonet ? » repris-je en tentant d'oublier la scène précédente. « J'suis pas sûr d'en savoir beaucoup plus que vous... mais si vous voulez mon avis,... il doit être aussi vivant que vous ou moi... » . Plongeant mes mains dans mes poches, je réfléchis un instant. Rien ne m'oblige à lui révéler de véritables informations. L'appât du gain. « M'enfin... c'possible que je sache deux ou trois petites choses susceptibles de vous intéresser... » Je me tais un instant, la regardant dans les yeux. « Ceci dit,... chaque info's à son sujet vaut son pesant d'or... j'espère que vous avez les moyens... donc... plutôt que d'me demander tout c'que je sais à son sujet, dîtes moi plutôt c'que vous voulez savoir... » J'm'aventure dans un jeu dont je ne maîtrise même pas les bases : la négoce... m'enfin... ça s'ra l'occasion de trouver des réponses et surtout de savoir pourquoi elle le cherche.
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Re: In my experience there is no such thing as luck. | Darell & Keva Jeu 11 Mai - 10:10
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Certes, notre rencontre ne fut pas des plus ordinaires. Je n’ai peut-être pas fait les choses comme j’aurais dû, mais dans la précipitation, je n’ai pas su dire un autre endroit que le vieux marché galactique de Coruscant. Disons qu’il y a eu plus de peur que de mal, enfin… Pour moi en tout cas. Le mec n’a pas trop abîmé mon possible informateur, en tout cas pas au point qu’il perde connaissance ou ne puisse plus parler. Honnêtement, c’est tout ce qui m’importe. Mais ça, je ne vais pas lui dire au risque de le faire fuir et d’avoir fait tout ça pour pas grand-chose au final.
Après lui avoir fait un peu la morale comme si j’étais sa mère il en vient à presque me reprocher le choix du lieu. J’ai admis mon erreur, il semble assez insistant. « Je sais bien que l’endroit n’était pas le mieux. Disons que je vous ai envoyé le message avec un peu de précipitation, sans vraiment réfléchir. Le marché est la première chose qui m’est venue à l’esprit. » Je ne m’éternise pas et j’en viens très rapidement aux faits. S’il ne peut m’aider, autant ne pas m’attarder avec lui. On ne sait jamais qu’un autre fou furieux veuille encore lui mettre son poing dans le nez, personnellement, je préfère rester loin de toutes histoires. J’en ai suffisamment comme ça au quotidien pour devoir m’amuser à protéger un pauvre mec sur qui pas mal de malheurs semblent s’abattre. Enfin je n’en sais rien, mais c’est la première impression que j’ai eue de lui et on dit souvent que c’est la bonne. Enfin, je lui explique grossièrement le pourquoi du comment et ce que je compte apprendre de notre entrevue.
Sa réaction est étrange, suspecte même. Mais je tente de me convaincre qu’il y a juste une poussière passée au mauvais moment pour qu’il se mette soudainement à tousser comme ça. Je l’observe et je l’écoute. On aurait presque dit qu’évoquer Damoclès était comme insulter ses parents ou prononcer un mot interdit. Mais je reste perplexe. Il semble m’interroger de nouveau, s’assurant que c’est bien ce que j’ai dit et j’acquiesce brièvement. « Il s’agit bien de CE Damoclès que je cherche. Je n’en connais pas d’autre… » Et sa réponse ne me convient pas. Vraiment. Je ne sais pas trop à quoi je m’attendais, en fait. Tomber sur le meilleur pote de Damoclès ? Quand bien même c’était lui, il ne viendrait pas me vendre des infos sur lui. A moins d’être un traître ou un lâche. Mais bon, avec quelques crédits, il y a toujours moyen d’obtenir des informations que les interrogés ignoraient pourtant au départ. J’ai toujours trouvé ça amusant de voir à quel point l’argent pouvait faire revenir la mémoire. Comme s’il y avait une réaction chimique ou quoi. « Vous n’en savez pas plus… » Je fais la moue, un peu embêtée. Mais comme je l’avais imaginé, ce mec est intéressé par l’argent. Je ne croule pas sous l’or, mais je pense avoir de quoi lui acheter une ou deux informations. « Je m’en serais doutée, je ne comptais pas obtenir de vous quoique ce soit gratuitement. »
Je me mets donc à réfléchir sérieusement, je ne veux pas gâcher de l’argent inutilement en posant des questions qui n’ont pas de sens. S’il porte des caleçons à fleurs, par exemple, ça ne va pas faire avancer mon enquête. Ce qui m’intéresse principalement, c’est de savoir de quelle manière le joindre. « Comment on peut joindre Damoclès ? Est-ce qu’il a un intermédiaire ou on peut s’adresser directement à lui ? » Je dois avouer que je n’ai pas choisi de m’adresser à l’informateur le plus évident. J’aurais pu continuer l’ancienne méthode, mais je suis trop intriguée et intéressée par ce que ce Damoclès pourrait avoir à me donner d’inédit. « J’ai une autre question pour le moment. Est-il capable d’infiltrer le réseau holonet interne de la Résistance ? » Ce serait une bonne chose, ça permettrait d’obtenir d’un coup tout ce que j’aimerais savoir. J’ai étrangement pas mal de cibles à la résistance dont une qui me résiste plus particulièrement puisque je ne sais rien de lui : Tuiren Yesmeth. On le dit pilote et originaire de Coruscant. Le reste demeure un mystère pour moi. « Je vais vous payer ne vous en faites pas, je ne suis pas une voleuse. Vous préférez quel genre de paiement ? J’utilise de préférence les dataries républicaines, mais il y a moyen de s’arranger si vous préférez autre chose. » Les négociants sont parfois difficiles et utilisent des monnaies locales. Je n’en possède malheureusement pas énormément, à part quelques Wupiupi récoltés après une mission accomplie pour le cartel des Hutts.
Après lui avoir fait un peu la morale comme si j’étais sa mère il en vient à presque me reprocher le choix du lieu. J’ai admis mon erreur, il semble assez insistant. « Je sais bien que l’endroit n’était pas le mieux. Disons que je vous ai envoyé le message avec un peu de précipitation, sans vraiment réfléchir. Le marché est la première chose qui m’est venue à l’esprit. » Je ne m’éternise pas et j’en viens très rapidement aux faits. S’il ne peut m’aider, autant ne pas m’attarder avec lui. On ne sait jamais qu’un autre fou furieux veuille encore lui mettre son poing dans le nez, personnellement, je préfère rester loin de toutes histoires. J’en ai suffisamment comme ça au quotidien pour devoir m’amuser à protéger un pauvre mec sur qui pas mal de malheurs semblent s’abattre. Enfin je n’en sais rien, mais c’est la première impression que j’ai eue de lui et on dit souvent que c’est la bonne. Enfin, je lui explique grossièrement le pourquoi du comment et ce que je compte apprendre de notre entrevue.
Sa réaction est étrange, suspecte même. Mais je tente de me convaincre qu’il y a juste une poussière passée au mauvais moment pour qu’il se mette soudainement à tousser comme ça. Je l’observe et je l’écoute. On aurait presque dit qu’évoquer Damoclès était comme insulter ses parents ou prononcer un mot interdit. Mais je reste perplexe. Il semble m’interroger de nouveau, s’assurant que c’est bien ce que j’ai dit et j’acquiesce brièvement. « Il s’agit bien de CE Damoclès que je cherche. Je n’en connais pas d’autre… » Et sa réponse ne me convient pas. Vraiment. Je ne sais pas trop à quoi je m’attendais, en fait. Tomber sur le meilleur pote de Damoclès ? Quand bien même c’était lui, il ne viendrait pas me vendre des infos sur lui. A moins d’être un traître ou un lâche. Mais bon, avec quelques crédits, il y a toujours moyen d’obtenir des informations que les interrogés ignoraient pourtant au départ. J’ai toujours trouvé ça amusant de voir à quel point l’argent pouvait faire revenir la mémoire. Comme s’il y avait une réaction chimique ou quoi. « Vous n’en savez pas plus… » Je fais la moue, un peu embêtée. Mais comme je l’avais imaginé, ce mec est intéressé par l’argent. Je ne croule pas sous l’or, mais je pense avoir de quoi lui acheter une ou deux informations. « Je m’en serais doutée, je ne comptais pas obtenir de vous quoique ce soit gratuitement. »
Je me mets donc à réfléchir sérieusement, je ne veux pas gâcher de l’argent inutilement en posant des questions qui n’ont pas de sens. S’il porte des caleçons à fleurs, par exemple, ça ne va pas faire avancer mon enquête. Ce qui m’intéresse principalement, c’est de savoir de quelle manière le joindre. « Comment on peut joindre Damoclès ? Est-ce qu’il a un intermédiaire ou on peut s’adresser directement à lui ? » Je dois avouer que je n’ai pas choisi de m’adresser à l’informateur le plus évident. J’aurais pu continuer l’ancienne méthode, mais je suis trop intriguée et intéressée par ce que ce Damoclès pourrait avoir à me donner d’inédit. « J’ai une autre question pour le moment. Est-il capable d’infiltrer le réseau holonet interne de la Résistance ? » Ce serait une bonne chose, ça permettrait d’obtenir d’un coup tout ce que j’aimerais savoir. J’ai étrangement pas mal de cibles à la résistance dont une qui me résiste plus particulièrement puisque je ne sais rien de lui : Tuiren Yesmeth. On le dit pilote et originaire de Coruscant. Le reste demeure un mystère pour moi. « Je vais vous payer ne vous en faites pas, je ne suis pas une voleuse. Vous préférez quel genre de paiement ? J’utilise de préférence les dataries républicaines, mais il y a moyen de s’arranger si vous préférez autre chose. » Les négociants sont parfois difficiles et utilisent des monnaies locales. Je n’en possède malheureusement pas énormément, à part quelques Wupiupi récoltés après une mission accomplie pour le cartel des Hutts.
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