Native de Mirial, Meïko croit comme ses semblables à la conduite de sa destinée. Elle s’efforce donc de réfléchir à chacune de ses actions avec sagesse, comme le lui a appris sa mère. Pourtant, depuis le départ de celle-ci, la tristesse et la colère de Meïko l’ont rendu plus impulsive, son jeune âge ne l’aidant pas non plus à trouver facilement la paix. En mémoire à ses parents, elle met tout de même beaucoup de bonne volonté à respecter ses traditions.

Livrée aux soins de la résistance alors qu’elle était encore jeune, Meïko a vite appris à se débrouiller seule. Elle déteste être un boulet pour les autres, et c’est pour ça qu’elle préfère rester dans la galère plutôt que demander de l’aide. Cet entêtement pour ne dépendre de personne lui a pourtant déjà causé quelques ennuis, mais elle est beaucoup trop fière pour admettre qu’elle est trop jeune et trop faible pour s’occuper d’elle-même toute seule. En fait, s’il est si important pour elle de montrer à tous qu’elle est indépendante, c’est pour se persuader elle-même qu’elle n’a besoin de personne, et surtout pas de ses parents. Elle est d’ailleurs très fière des tatouages qui marquent les épreuves de sa vie.

Pourtant, lorsqu’elle n’envoie pas sèchement les autres voir ailleurs, elle a gardé cette habitude curieuse de s’intéresser à tout, propre aux jeunes enfants. Elle aime poser des questions sur tout et découvrir la logique de tout ce qui l’entoure. Elle apprécie beaucoup lorsque quelqu’un lui accorde du temps et de l’attention pour lui apprendre de nouvelles choses. L’acquisition de compétences est très importante pour elle, ce qui fait d’elle une apprentie très attentive.
Les conditions dans lesquelles elle a grandi l’ont rendu courageuse, mais son manque de lien stable l’a aussi rendu influençable par ceux qui lui témoignent de la gentillesse. Elle a tendance à faire confiance un peu trop facilement, mais chaque déception la rend plus ferme et plus mature, en la détachant de sa naïveté naturelle.

L'assassin + (m/f) Le ou la chasseur de prime qui a abattu son père pour les crédits. Il/Elle a aussi abattu sa mère qui était remonté jusqu'à lui et voulait venger son mari. Lorsqu'il/elle a réalisé que la fille était sur ses traces aussi, il lui a donné une bonne leçon qui a bien failli expédier Meïko 6 pieds sous terre. Néanmoins, il/elle n'a pas pris la peine de l'achever, par orgueil sans doute, en considérant que Meïko était bien trop faible pour être un danger. Il/Elle l'a donc laissé (sur)vivre en se moquant de sa quête de vengeance pathétique. Meïko l'a haït pour cette rencontre et l'aveu de l'assassinat de ses parents. Pourtant, elle a désormais pris davantage de recul et sa quête de vengeance a bien moins d'importance pour elle, surtout depuis qu'elle a rejoint les jedi. Qui sait cependant ce qu'il pourrait advenir si leur chemin se croisait à nouveau ?(x1)
   Des copains + (m/f) Résistants ou Jedi, des gens avec qui Meïko se sent bien et à qui elle aime poser mille questions sur les choses qui l'entourent. (illimité)
   Un ange-gardien + (m/f) Quelqu'un en qui elle a pleine confiance et qui l'a pris sous son aile lorsque Meïko a perdu ses deux parents à l'âge de 13 ans. Cette personne sait tout d'elle, et c'est probablement lui/elle qui est venu la chercher sur Mirial après son échec cuisant contre le chasseur de prime pour venger ses parents. (x1)
   Une seconde famille + (m/f) Des gens avec qui elle a un lien plus fort que les autres au sein de la Résistance. Sans doute des gens qu'elle a côtoyé depuis son plus jeune âge, qui l'on vu grandir et qui ont possiblement connu ses parents avant leur disparition. (x3 ou 4)
   Un défi + (m/f) Des gens qui n'ont eu aucune pitié envers sa condition d'orpheline. Avec eux, Meïko a été heurté à la dure réalité de la vie, mais c'est aussi grâce à cette rencontre que la petite a pu s'endurcir et trouver la motivation de s'entraîner aussi dur pour survivre dans ce monde de brutes. Elle cherche constamment à gagner leur respect en se donnant à fond pour ne plus être traité comme un boulet.  (x1 ou 2)